Informacja

Drogi użytkowniku, aplikacja do prawidłowego działania wymaga obsługi JavaScript. Proszę włącz obsługę JavaScript w Twojej przeglądarce.

Wyszukujesz frazę "świątynia Hatszepsut" wg kryterium: Temat


Wyświetlanie 1-5 z 5
Tytuł:
Zastosowanie fotogrametrii w badaniach archeologiczno-architektonicznych świątyni Harszepsut
THE PHOTOGRAMMETRIC METHOD AS APPLIED IN ARCHEOLOGICAL AND ARCHITECTURAL INVESTIGATION OF HATSHEPSTJT TEMPLE
Autorzy:
Wójcik, Jerzy
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537904.pdf
Data publikacji:
1976
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
fotogrametria
świątynia Hatszepsut
świątynie w Tebach
pomiar fotogrametryczny
zdjęcia fotogrametryczne
Opis:
The author of the present article participated in the work carried on by the Polish Archeological Station in Egypt on behalf of the State-Owned Ateliers for Conservation of Cultural Property and took p art in accomplishment of th e surface su rveying of Hatshepsut Temple. He presents the object’s characteristics and the way in which introductory proceedings consisting, among others, in the choice of basic scales used for drawings were carried on. Next he discusses equipment used in photogrammetric work and the methods applied (e.g. assigning planes for the relating of plans and sections, control points etc.). Having taken the photographs they proceeded to the work consisting in making photographic plans of different parts of the Temple and preparing a linear drawing of the whole object in the scale of 1 :50. The author estimates th a t an accuracy of measurements is within the range of ±3—5 cm,
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1976, 3; 218-222
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Rekonstrukcja świątyni Hatszepsut w Deir-el Bahari
RECONSTRUCTION DU TEMPLE D’HATCHEPSOUT À DEIR-EL BAHARI
Autorzy:
Dąbrowski, Leszek
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535363.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
świątynia Hatszepsut
architektura starożytna
Deir el Bahari
Portyk Ptolemejski
świątynia Mentuhotepów
świątynia Tutmesa III
Opis:
C’est au début de l’année 1963 que l’é ta t Egyptien p rit la decision de faire reconstruire l’une des plus belles pièces de l ’antiquité Egyptienne. Le temple de la reine Hatchepsout se trouve su r la rive gauche du Nil, sur les hauteurs de Luxor, à l’emplacement de l’ancienne Thèbe, près de la chaîne des collines. La direction de l’opération fu t laissée à l’auteur de cet article étant à la fois architecte en chef du Centre Polonais d ’Archéologie Méditerranéenne de l’Université de Varsovie au Caire, dirigé par le Professeur Kazimierz Michałowski avec la contribution de spécialistes d’autres disciplines telles que l’archéologie, l’égyptologie etc. Portique face de la troisième terrasse La reconstruction du portique face de la troisième te rra s se était sans doute l’opération la plus urgente. Quand à la fin du ΧΙΧ-e s. les fouilles mirent à jour le temple, on ne trouva seulement que les vestiges du portique. Pour que l’on en vienne à la reconstruction de cette partie du monument il fallait attendre le déb u t du XX s. Cette mission fu t confiée à l’architecte frança is Baraize. Il e n tre p rit la construction des huit piliers de front et d ’une représentation d ’Osiris. En faisan t l’examen des emplacements, on s’aperçu toutefois que Baraize plaça bon nombre de blocs à des en d ro its dont les dits blocs n ’é taien t pas originaux. On décida subséquemment au nom de l’authenticité re p ré sentée par les trav au x de conservation, d ’ex tra ire une p artie de ces blocs et de rem e ttre en chantier de m a niè re à ce que la reconstruction des 16 pilliers n ’accentue pas encore le défaut. Les blocs utilisés par Baraize pour reconstruire les piliers, ainsi que ceux que nous découvrîmes furent utilisés à la reconstruction comme éléments existants — tous ces blocs étaient très endommagés. Mais les siècles n ’en étaient pas la raison unique — presque 3.500 ans — ces dégâts d a ta n t de l’antiquité étaient l’oeuvre d ’une main consciente. Après la mort de la reine Hatchepsout on fit disparaître toutes les traces de son régne. Cent ans plus ta rd on effaçait de même les représentations d’Amon. Ensuite Ramsés II recouvrait les murs du temple de son nom. Et fin a le ment, à l’époque chrétienne, les représentations des divinités, fu ren t considérées comme celles de démons maléfiques, et fu ren t martelées. C’est ce précédent qui ren d it le trav a il beaucoup plus malaisé su rto u t dans le cas de la reconstruction des osiriaques. A en juger par les traces un certain nombre d’osiriaques fu re n t détachés des piliers mêmes; ensuite brisés et se trouvaient dans des carrières avoisinantes, tandis que certains fragments plus heureux sont au Musée de l ’Art Egyptien au Caire, d ’autres enfin ont été envoyés au Metropolitan Museum of Arts à New York. Les fragments que nous découvrons ma intenant sont déposés provisoirement dans le magasin constru it à cet effet sur le te rra in de fouilles ju sq u ’au moment de leur mise en (place. Au cours de la saison des fouilles 1962—63 nous avons recollé les fragments en obtenant 10 têtes et 3 torses. Dans ces conditions le portique ne peut être r e construit q u ’en partie, puisque l’on n ’a retro u v é qu’un nombre incomplet de blocs originaux. De l’ensemble des 192 blocs on ne put identifier que 89 et encore avec des manques importants. De même en ce qui concerne la reconstruction des architrave s: au début ils é ta ie n t 25, actuellement on ne peut reconstruire que 12 et encore en fragments. L ’importance de la reco n stru ction du portique est principalement la ferm etu re spatiale de la vue sur l’extérieur de l’édifice. Le fro n ton s ’orn e ra de quelques osiriaques dont les visages sont relativement bien préservés. De p a rt et d ’au tre des faces — les vestiges du nom de la reine. Des deux côtés des piliers des lambeaux de l’inscription perpendiculaire, couronnée d ’Horus représenté en vautour. La partie postérieure des piliers a moins souffert, ce que l’on ne peut pas dire malheureusement de leur partie supérieure, où se sont conservés intactes les vautours aux ailes ouvertes dans la position de dieux protecteurs. Pareillement les architraves sur lesquels les in scriptions avaient été martelées très précisément. Le principe de base des trav a u x de reconstruction est de ne pas toucher aux blocs originaux. La chose la plus difficile est de les compléter. On fa it alors un moulage en béton armé adhé rent à la base originale de manière à ce que le ciment complémentaire n ’adhère pas à la pierre et ne 1’ endommage pas. On arrive à ce résultat en recouvrant la pierre originale d’une toile de lin. Ensuite on plâ tre cette toile et l’on comble les manques par du ciment. Nos trav au x concernant la reconstruction des piliers du fronton sont en voie de réalisation. Nous avons utilisé jusqu’à maintenant 16 blocs originaux. La reconstruction de certains blocs sera réalisée dans un lapse de temps très court, suivant les plans détaillés conçus pour chacun d’eux. Quant aux plus de 10.000 blocs re stan t sur le te rra in du temple on devra les étudier conséquemment de manière à prép a re r les possibilités d’une reconstruction complète. La cour de la troisième terrasse Au cours des deux premières campagnes de fouilles en 1961—62 e t 1962—63 les trav au x avancèrent dans les profondeurs de la troisième terrasse, là où le temple adhère au rocher à la hauteur de 100 m. Ici se trouve une cour presque entièrement ruinée et mesu ran t 37 m sur 25 m. Seul un portique à 8 colonnes se tro u v an t près de l ’entrée du sanctuaire conserva sa forme architectonique. Il ava it été construit plus tard, à la période ptolémaïque, ce qui le différencie des autres parties du temple. La chose la plus urgente fu t de le protéger contre un effritement eventuel de la roche. Après des examens interminables e t des essaies on a pu avoir raison du danger, présenté par la roche menaçant de s’effondre, à l ’aide d ’un plâtrage léger. C’est à ce moment que l’on pu a rriv e r à un trav a il concret. On a trouvé quelques blocs très précieux avec des reliefs colorés en re tro u v an t sans aucune dificulté les endroits dont ils provenaient. Ensuite le nettoyage de la cour révéla quelque chose qui ju sq u ’à présent n ’avait pas a ttiré l’attention des savants: Le pavement de la cour fu t composé de blocs recouverts de reliefs colorés. Un examen plus approfondi démontra les suppositions émises au début, c’est à dire q u ’ici devait se tro u v e r l’emplacement d’une salle qui fu t le th é â tre d’une catastrophe et ceci encore 1000 ans avant n o tre ère. Le nombre des colonnes, architraves et des reliefs colorés donnent à penser qu ’il s’agissait ici d ’une salle hypostyle. Dans un proche fu tu r on réa lise ra le plan des emplacements de cette salle. Et plus ta rd sans aucun doute sa reconstruction partielle sera réalisée. A cet endroit ju sq u ’a ma intenant on n ’a reconstruit que le portique ptolémaïque se tro u v an t avant l’entrée du sanctuaire d ’Amon. La découverte d’un temple iconnu jusqu’à nos jours Entre le temple de Hatchepsout et le temple de Mentouhotep II et III, au pied de la paroi rocheuse se forma au cours des siècles un énorme éboulis. La menace pesait surtout sur le sanctuaire de Tothmes I relié à l’ensemble de Hatchepsout se tro u v an t au n o rd - ouest, le plus proche de l’éboulis. On décida d ’e x tra ire les débris du mur extérieur du sanctuaire et de l’ab riter d’un toit provisoire. Le début des trav a u x ne révéla rien d’intéressant. A la fin de mars 1962, on finit par trouver des grands blocs de calcaire, une pile de blocs de grés et finalement deux grandes figures de calcaire blanc. Leurs inscriptions nous les firen t identifier comme provenant de l’époque de Ramsès II. Nous en avons informé l’inspecteur égyptien, le Service des Antiquités et le Centre Polonais. Et chaque jour de nouveaux blocs, fragments de colonnes, d’architraves et de corniches furent m is .à jour... Nous avions dû interrompre notre trav a il ju sq u ’à la nouvelle campagne qui commença au mois d ’octobre 1962 et fu t terminée à la fin d’avril 1963. Nous découvrîmes alors nombre de colonnes et une grande partie d ’une terrasse du nouveau temple. Il n ’y avait plus aucun doute qu ’un temple in connu jusqu’alors fut découvert et qu’il n ’a jamais été mentionné dans aucune publication. Ce temple avait été construit à l’endroit le plus haut de la vallée Deir el Bahari, entre le temple des Mentouhoteps au Sud e t celui de Hatchepsout au Nord. Autrefois une rampe longue de plus de 100 m conduisait au temple à la h au teu r de 18 m. Seulement la partie inférieure s’est préservée; elle é tait connue au temps des fouilles de Naville mais personne ne pouvait deviner à quoi servait-elle. La partie découverte dernièrement c’est l’angle droit du temple. Les blocs trouvés au début c’é ta it le stylobate. Les lignes martelées indiquent l’épaisseur du mur. A l’inté rieur du mur il y avait deux rangs de colonnes au diamètres de 91 à 93 cm. La colonnade de même que le mur tournait à l’angle droit. De nombreuses colonnes se sont préservées jusqu’à 2 m de hauteur, des autres seules les bases sont restées. Elles étaient taillés en prismes 16-latérales, donc elles étaient de type „proto-dorique”. Ensuite nous avons mis à jour des bases encore plus grandes. Les deux types de colonnes nous font supposer que nous avons découvert une salle hypostyle. Les murs du temple é ta ien t recouverts d ’un riche relief coloré. Les fragments des blocs récupérés du débris en témoignent. Nous avons été obligés de construire un dépôt spécial pour emmagasiner, dresser l’inventaire et étudier ce grand nombre de fragments. La technique du relief est très différente des r e liefs beaucoup plus précis du temple de Hatchepsout. La technique des couleurs du nouveau temple est cependant beaucoup plus précise et souligne chaque détail. La fra îche r des couleurs est surprenante. Le nom de Tothmès III de la XVIIIe dynastie figurent sur de nombreux fragments des reliefs — p a r conséquant la provenance de ce temple ne présente aucun doute. C’était une idée bien audacieuse que de placer le temple entre deux autres, à l’endroit le plus h au t de la vallée et d ’employer un module architectonique plus grand que celui du temple plus ancien de H a tchepsout et d’au tan t plus que celui du temple de Mentouhotep. Les trois temples attachés à la roche escarpée créent l’ensemble de Deir el Bahari aux valeurs spatiales extrêmement intéressantes.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 2; 39-49
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Restauracja ściany wieńczącej nad III tarasem świątyni Hatszepsut w Deir el Bahari : z prac misji PKZ w Egipcie
RESTORATION OF THE CAP-WALL ABOVE THE THIRD TERRACE OF THE TEMPLE OF QUEEN HATSHEPSUT ET DEIR EL BAHARI
Autorzy:
Misiorowski, Andrzej
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537406.pdf
Data publikacji:
1971
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
świątynia królowej Hatszepsut
Kazimierz Michałowski
Deir el Bahari
Opis:
Apart from archaeological explorations and investigations conducted by the Mediterranean Archaeology Center, University of Warsaw, for several years are carried put the restoration, wortkis in the Queen Hatshepsut Temple at Deir el-Bahari, West Thebes for whom are responsible Palish experts. The above works are now concentrated on the third terrace of the temple in question. The Hatshepsut Temple ils to be considered as one entirely unique with regard to its design which g re a tly dqparts from those commonly encountered in other Egyptian temples. It is a terrace temple built in tight connection with n atu ra l features of the surrounding site. The third of its three terraces is resting on the steep rock wall. Above this terrace once existed and has been preserved up to our times, however in .scarce fragments only, a stone wall which formed the rock facing being a t the same time architectural cap of the temple itself. The Temple of Queen Hatshepsut was designed as a burial temple by the architect named Sen-Mut ca. 11500 B. C. Within the compass of time it was subjected to different reconstructions u n til the Coptic period and at last seriously damaged. The restoration and investigatory works were started as fa r back as in the mid-nineteenth century (Mariette, iNaville, Wiolock, Baraize). Within the present series of works have been investigated the techniques used for erection of the cap- -watl, surveyed its original overall dimensions and architectural forms. Thanks to the fact th a t the rock terrace of about 10 metres width has been discovered and revealed it became possible to define the original wall height ranging to 8.20 m. However, the shape of its central portion still remains controversial in much the same measure as that of its south end. As the steep rock wall above the temple permanently weathered this wide rook terrace was safeguarding the temple against the falling stones and rock debris. A number of drawings have been prepared representing the alleged architectural solution once applied for th e wall cen tral portion (i.e. th a t above the sanctua ry entrance) and taking as their basis the many times encountered uniformity of constructional solutions lUsed in Egyptian structures. However, none of conceptions being th e result of the above-mentioned studies could be fully supported by facts so it has been decided to leave these fragments not rebuilt. Qnily those partionjs of cap-wall not raising doubts aie being reconstructed in their original overall dimensionls and along their original course. When studying the preserved fragments it became also possible to Obtain an explanation for a jump present a t th e wall footing. I t proved to be nothing else than a rdlic of original flooring th a t was laid on plates forming the covering of portico hall. The objective outlined for restoration of the cap-waill consisted, in addition to restoring the temple’s architectural expression, in restoring the safeguarding function of the rock terrace. To secure distinction between the authentic component p a rts .and those rebuilt and nevertheless for economical reasons all blocks used for the wall construction are made of prefabricated concrete. Their facings are executed from artificial istone having the shade similar to th a t of original stone blocks. As the raw materials for concrete production are used the Portland and white cement, sand and gravel coming from the local lime-stone. To obtain the proper stre n gth the ready blacks are carefully cured. Since the manufacturing conditions are primitive enough (wooden moulds boxes, varying ra te of concrete shrinkage, etc.) and the need exists to meet the highly rigorous tolerance requirements the methods used for manufacture are constantly improved. The free spaice .between th e wall now under construction and the rock face ils being filled with concrete. As the rock structure is easily decayed by wate r and th e space filled has the wedge-like form a number of large -sized steps, measuring about 1.50 m in the ir height and width a re farmed to secure the proper support on rook while to dampen the impacts of faffing stones and rodk debris on completion .of the cap-wall is planned to lay on the rock terrace a sand cushion about ,1.0 m thick. All the Conservation work is carried out under immediate direction of highly skilled architects being the members of expedition sent by the State Ateliers of Historic Monument Conservation whereas the scientific supervision as well as consultations and all the aid within th e Egyptological range is supplied by the Mediterranean Archaeology Center in Cairo, Both the above Course of works and the supervision and p e rsonal help lofferred by Professer K. Michałowski enable to attain in a proper way all the objectives p u t forward by the conservation programme.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1971, 3; 183-196
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Techniki budowlane starożytnego Egiptu na przykładzie świątyni Hatszepsut w Deir el-Bahari – wstęp do badań
Ancient Egyptian building techniques on the example of the temple of hatshepsut at Deir El-Bahari: an introduction to research
Autorzy:
Dziedzic, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/28407411.pdf
Data publikacji:
2023
Wydawca:
Stowarzyszenie Konserwatorów Zabytków
Tematy:
techniki budowlane
starożytny Egipt
świątynia Hatszepsut
Deir el-Bahari
building techniques
Ancient Egypt
Temple of Hatshepsut
Opis:
Artykuł prezentuje zarys historii stosowanych technik i przebieg procesu budowlanego w świątyni Hatszepsut w Deir el-Bahari w Egipcie. Na wstępie opisano wygląd świątyni z XV wieku p.n.e. i przybliżono postać jej fundatorki. Następnie w oparciu o źródła, badania laboratoryjne i terenowe prześledzono podstawowe materiały i techniki budowlane wykorzystywane podczas wznoszenia świątyni i odniesiono je do aktualnego stanu badań. Wstępne analizy poszczególnych elementów konstrukcyjnych pozwoliły wykazać przywiązanie do tradycji, a jednocześnie nowatorskie na ówczesne czasy rozwiązania, jakie wykorzystali budowniczowie świątyni. Całość wraz z uwzględnieniem wyników badań starożytnych procesów budowlanych pozwala podjąć próbę poszerzenia wiedzy na temat historii budowy świątyni w okresie Nowego Państwa w Egipcie.
This paper presents an outline of the history of the techniques used and the course of the building process in the Temple of Hatshepsut at Deir el-Bahari in Egypt. The introduction describes the appearance of the temple from the fifteenth century BC and discusses its founder. Then, based on the literature, laboratory and field studies, the basic building materials and techniques used during the construction of the temple were investigated and compared to the current state of research. Preliminary analyses of individual structural elements found and demonstrated attachment to tradition and, at the same time, solutions that were innovative for those times, used by the builders of the temple. The whole, together with the results of the study of ancient building processes, provides new insights into the history of the construction of the temple during the New Kingdom period in Egypt.
Źródło:
Wiadomości Konserwatorskie; 2023, 73; 132--147
0860-2395
2544-8870
Pojawia się w:
Wiadomości Konserwatorskie
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
3D scanning and modeling of the upper terrace of the Hatshepsut Temple in Deir el-Bahari as an example of architectural heritage documentation for restoration purposes
Skanowanie i modelowanie 3D górnego tarasu świątyni Hatszepsut w Deir el-Bahari jako przykład dokumentacji dla celów konserwatorskich
Autorzy:
Kościuk, J.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/217213.pdf
Data publikacji:
2009
Wydawca:
Stowarzyszenie Konserwatorów Zabytków
Tematy:
technologia skanowania 3D
Świątynia Hatszepsut w Deir el-Bahari
konserwacja
Hatshepsut Temple in Deir el-Bahari
conservation
Źródło:
Wiadomości Konserwatorskie; 2009, 26; 705-717
0860-2395
2544-8870
Pojawia się w:
Wiadomości Konserwatorskie
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
    Wyświetlanie 1-5 z 5

    Ta witryna wykorzystuje pliki cookies do przechowywania informacji na Twoim komputerze. Pliki cookies stosujemy w celu świadczenia usług na najwyższym poziomie, w tym w sposób dostosowany do indywidualnych potrzeb. Korzystanie z witryny bez zmiany ustawień dotyczących cookies oznacza, że będą one zamieszczane w Twoim komputerze. W każdym momencie możesz dokonać zmiany ustawień dotyczących cookies