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Tytuł:
Konserwacja Ołtarza Mariackiego Wita Stwosza
CONSERVATION DE L’AUTEL DE WIT STWOSZ, À L’EGLISE NOTRE-DAME
Autorzy:
Słonecki, Marian
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536030.pdf
Data publikacji:
1949
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Ołtarz Mariacki
uszkodzenia Ołtarza Wita Stwosza
drewniany ołtarz
renowacja ołtarza mariackiego
konserwacja ołtarza Wita Stwosza
Opis:
Lorsqu’on 1946, l’autel de Wit Stwosz revint à Cracovie, il fut placé — pour le temps que dureraient les travaux de conservation, dans les grandes salles claires du bâtiment No 5 au Wawel. La température et l’humidité de ces salles correspondent aux conditions de l’église Notre- Dame. Le séjour que fit l’autel dans l’abri de Nuremberg, le long voyage, les secousses lors de l ’emballage et d ’autres circonstances ont provoqué de nombreux endommagements; cependant ils ne sont dangereux ni par leur nombre, ni par leur caractère. Le problème principal (pie devaient envisager les conservateurs était celui de la destruction du bois des sculptures pur des insectes, l.e professeur Rubel a décrit dans le No 1, I-ère Année, de „Ochrona Zabytków“ la ma nière dont l’autel fut soumis à l’action des gaz dans une chambre spéciale. Comme on avait constaté, dans la predelle, les ravages causés par un insecte (Anobium pertinax), on a soumis à une stricte observation toutes les pièces de l’autel; le bois auxiliaire a été pr éventivement désinfecté dans l’atelier. On peut affirmer aujourd’hui, après deux ans d ’observations, qu’aucune autre pièce de Lautel n‘a été attaquée par les larves de l’insecte. Le programme des travaux de conservation comprenait trois problèmes: 1) conservation du bois de tout l’autel, 2) examen et conservation des surfaces dorées, 5) examen et conservation des parties recouvertes de polychromie. On a actuellement saturé de résine tous les endroits endommagés ou menacés; pénétrant dans les fissures et les canaux creusés par les insectes, cette résine a donné à tout le bois un caractère de masse dure. On a remarqué, au cours des travaux, que les canaux creusés par les parasites n’étaient que peu profonds, il fut alors aisé de faire une juste e stimation de l’état du bois. I.es ravages ont atteint approximativement 15%. Après avoir été remplies de résine, toutes les ouvertures ont été hermétiquement bouchées à l’aide de mastic. Les parties invisibles sont recouvertes d’une double couche de minium afin de mieux préserver le bois contre l’humidité et les parasites. l'ne des plus grandes difficultés a été de retrouver l’emplacement exact de certaines menues pièces d’architecture qui s ’étaient détachées et se ressemblaient beaucoup par leur forme. Cependant, le profond respect qu’inspire l’autel a fait tenir compte des moindres parcelles originales; elles ont toutes été rattachées à des bandes de tilleul à l’aide d’une colle résistant à l’humidité. On a renforcé et conservé de la même manière la construction de l’autel en chêne et en mélèze. On va encore renforcer à l’aide d’une charpente en acier le coffe central de l’autel; ceci permettra d ’ouvrir plus aisément les immenses volets et d ’éviter toute secousse. L’examen des surfaces recouvertes d’or a démontré que nombre d’entre elles avaient été redorées au cours de conservations antérieures. Après avoir constaté que les dorures primitives s ’étaient conservées, on enleva mécaniquement toutes les couches ultérieures. On lit de même avec le vernis qui recouvrait les dorures des bas-reliefs. On nettoya l’or iriginal. on le polit et lui redonna son aspect primitif; on put remarquer, à cette oc casion, qu’il s ’était fort bien conservé. Au cours de la troisième étape des travaux, on se mit à éliminer toutes les peintures des XVI l-e et XlX-e s. qui recouvraient de 2 ou s couches la polychromie primitive. Les couches à l’huile du XlX-e s. lurent enlevées par une méthode chimique, celles du XVII-e mécaniquement. Après une année de travail, on a, a c tu ellement, dégagé des peintures superflues toutes les statues et 16 bas-reliefs. Lorsqu’on eut mis au jour le coloris primitif, on put se rendre compte de la richesse de la palette de Stwosz.. Les effets, déjà si variés, sont encore enrichis par le g la cis placé sur l’argent (rouge ou sienne brûlée). L’auteur de l’article cite bien des couleurs connues en littérature et employées au moyen âge. et que l’on a c on statées dans la polychromie de l’autel. La technique, l’emploi des couleurs, la manicie de les préparer, la façon d’appliquer les azurs, tout cela est fait avec une grande maîtrise. Les surfaces bien conservées donnent l’impression d’émail lisse. Les diverses couleurs sont généralement composées. Suivant la nuance, il y a, en dessous ,une couche cle couleur semblable, plus intense, qui forme le fond de l’azur placé en dernier lieu. Cela donne des tons profonds et intenses. Les surfaces, d’un brillant spécial dû aux composants de la matière cohérente, sont lisses, on n‘y voit pas la trace que laisse le pinceau. Les verts sont les mieux conservés. Dans le bas-relief „La présentation au temple“ on a réussi à mettre à découvert, sous deux couches de pe inture, un encadrement extrêmement bien conservé et qui imite le marbre vert. Tous les bleus de la polychromie primitive sont soutenus par une première couche d'un gris chaud. Les rouges ont été les moins résistants, car, au XlX-e s., on a ôté les azurs. On ne les retrouve qué dans les plis des vêtements. Dans la scène principale, le visage de la Vierge a été repeint par deux fois. Jl a actuellement retrouvé son coloris primitif. La ponc tuation sera la dernière étape des travaux et cela uniquement pour les endroits véritablement endommagés. On peut supposer que les travaux seront terminés vers la fin de l ’année courante.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1949, 1; 44-51, 71-72
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kościół św. Andrzeja w Krakowie
L’EGLISE ST ANDRÉ A CRACOVIE
Autorzy:
Świszczowski, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537443.pdf
Data publikacji:
1949
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
„Liber beneficiorum” Długosza
kościół św. Idziego i św. Adrzeja w Krakowie
kościół św. Andrzeja historia
charakter obronny kościoła
klaryski
Opis:
L'église st André à Cracovie, qui remonte à la fin du Xl-e s., est un des plus importants monuments romans de Pologne. Récemment encore, sa forme primitive était entièrement cachée par les constructions ajoutées au cours des siècles. Des travaux de conservation ont été entrepris en 1947. On devait conserver tous les monuments anciens ayant quelque valeur et éliminer tout ce qui déformait la masse de l’église. On a ainsi laissé la vieille constiuction du toit, probablement du XVII-e s., et le mur oriental supérieur de style gothique. On a recouvert la sacristie d’un toit peu élevé pour ne point cacher la frise romane des arcades. On a également retenu une petite chapelle baroque, en raison de précieux stucs. On a abaissé le terrain à l’entour de l'église. Le seul fragment entièrement reconstruit à neuf, c'est le faîte nord du transept; les autres travaux avaient surtout pour but de dégager la forme première et de l’assurer. On a enlevé _les pierres qui muraient les^ fenêtres de la tour qui, elle, a été renforcée par une construction en ciment armé. On a également démoli le grand porche du côté nord, les murailles au-dessus de la sacristie et entre la tour et le transept. On a mis à nu une fenêtre jumelle à trois compartiments de l'ancien faîte entre les tours, ainsi que presque toute la façade nord et une partie de la façade orientale. La masse principale de l'édifice a conservé sa forme primitive, cependant un certain nombre d ’impoitants fragments a complètement disparu; on ne peut les reconstiuire que par analogie avec les autres monuments. Le tympanon de la façade entre les tours pose un problème qu'il sera peutêtre possible de résoudre quand on aura enlevé le crépi. L'aspect des bases octogones des tours a également disparu. Enfin, la forme des grandes fenêtres du choeur et des nefs, agrandies au XVI-e et XVIII-e s.f demeure incertaine. On a découvert, au cours des travaux, quelques intéressants fragments lomans. Une petite fenêtre, ignorée jusqu’ici, trouvée à côté du portail baroque, va nous permettre de retrouver avec plus de certitude l'aspect primitif. L'examen détaillé des voûtes a démontré qu'il y avait au croisement des nefs despendentifs romans au-dessus desquels s’élevait la coupole. On n'a point trouvé jusqu'ici de stricte analogie avec l'église st André. Pour ce qui est des édifices cracoviens du XI-es., notamment la cathédrale du Wawel, on ne peut noter quelque ressemblance que dans les détails ou dans la technique des murailles et des voûtes. Le système des voûtes, c-à-d. l’application de berceaux en bras de croix avec une coupole au milieu, indique nettement des influences françaises, à savoir provençales et d’Aquitaine. II se peut que lorsque W. Herman, fondateur de cette église, fut envoyé en ambassade à l'abbaye de St Gilles, en 1084. des relations artistiques se soient établies. D’autre part, c’est fur les bords du Rhin que l’on voit le plus fouvent cette union du jet central à celui de la basilique. Ainsi donc, le problème des influences n’est point encore élucidé
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1949, 2; 93-108, 143-144
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Malowidła w kosciele św. Katarzyny w Gdańsku
PEINTURES MURALES DE L’ÉGLISE À GDAŃSK
Autorzy:
Mieszkowski, Bronisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535883.pdf
Data publikacji:
1949
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Katarzyny w Gdańsku
scena zabójstwa św. Stanisława
malowidło św. Stanisława
Opis:
On a découvert, au cours des travaux de conservation, des fragments de peinture sur le mur est et sur le pilier de la tour de l ’église. On a dégagé, sur le pilier, une scène à nombreux personnages représentant le meurtre de st Stanislas. Elle remonte sans doute n la seconde moitié du XV-e s. Sur le mur, on voit st Christophe et l'Enfant, grandeur plus que naturelle, traités graphiquement. Audessus, l’ange de l’Annonciation aux grandes surfaces gris-vert et quelques accents cinabres et rouges. A côté, ste Catherine, très abîmée. Ces dernières scènes peuvent remonter à diverses phases du développement du style, de la fin du XIV-e à la moitié du XV-e s.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1949, 1; 35-36, 70-71
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zabezpieczenia w kościele św. Anny (oo. bernardynów) w Warszawie
LA PRÉSERVATION DE L’ÉGLISE Ste ANNE (DES BERNARDINS) A VARSOVIE
Autorzy:
Biegański, Piotr
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539596.pdf
Data publikacji:
1950
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Anny w Warszawie
zabezpieczenia kościoła św. Anny
zahamowanie zsuwu skarpy
zabezpieczenie ścian przed pękaniem
stabilizacja gruntu
elektroosmoza
bauksytyzacja gruntu
Opis:
Au cours de la construction de l’artère W—Z, des travaux furent entrepris pour enlever une partie de la pente de l’escarpe de yarsov ie. Vinrent ensuite de grandes pluies. Tout ceci causa un affai ssement de la hauteur sur laquel le était bâtie l ’église gothique ste Anne (1454) reconstruite au XVI I-e et au XVl I l - e s. Les expert s convoqués constatèrent le 29. IV. 1949 des fissures dans les murs de l’abside, la voûte du choeur, le dal lage et les caves. On pouva it clairement observer que le côt é nord-est se détachait en même temps que s ’affaissait la hauteur. Il I a l lait agir d'urgence et cela de deux m a nières: drainer la pente et arrêter l’aflaissement, mett ie les murs de l’égl ise à partir des fondations à l’abri de nouvelles fissures. Cette opération, ex t r ême ment diffici le à exécuter et à organiser, fut couronnée de succès au bout d ’un bref délai. En trente jours on parvint à stabiliser la ^erre, deux mois après J’église était ouverte au public. Pour stabiliser le sol, ou construisit au p.cd de la colline un mur de c iment de 4 m. de large. 6 ni. de haut eur et de plus de 30 m. de long. De plus on fixa deux rangs de pieus — pot eaux d ’acier, enfoncés à 15 et 17 m, de profondeur, eu tout 45 pot eaux. Ils étaient ciment és à l’i n t é rieur et à l’extérieur, recouverts de c i ment sous pression de 8 atmosphères. On arrêta ainsi l ’af fai ssement de la masse de terre. On opéra en même t emps à l’aide de l’électroosmose le drainage du terrain à l’entour et dans l’égliise même. On tira plus de 15 000 litres d ’eau. On fit aussi une hauxi ti sati on du sol à l’aide d’é l e c trodes d’aluminium. En outre, on injecta du ciment le long des fondat ions de l’église jusqu’à une profondeur de 8 m. et en des points situés de 1,5 m. en 1,5 m. On s ’occupa ensuite de garantir les murs de l’église contre de nouvel les fissures. On mesura l’a f fa i ssement avec les nivelleurs de Zeiss. En vue d ’arrêter, tout mouvement des murs, on construisit un anneau (d’env. 160 m. de long) immé di atement autour des fondat ions sous forme de baguettes d’acier. A hauteur d ’appui de la voûte on f ixa dos serres d’acier. Au cours des premiers jours la tension des serris était de 320 kg/ cm2; elle tomba à zéro au bout de 6 semaines. A l’intérieur de l’église, on étançonna les fragments relâchés et ceux qui menaçaient ruine; une fois qu’on eut constaté leur stabilité, on plaça des poutres de 1er: los fissures furent combl ées de ciment sous pression. Enfin, on construisit un toit de fer à couverture de tôle cuivrée. Au cours des travaux de conservation à l’intérieur, on opéra de nombreuses d é couvertes d’une grande impor tance pour l’histoire de l'art.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1950, 1; 60-67, 72
0029-8247
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Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kamienna konsola z popiersiem Mojżesza z kościoła św. Jana w Toruniu
LA CONSOLE EN PIERRE AU BUSTE DE MOÏSE DE L’ÉGLISE ST. JEAN À TORUŃ. SON ÉTAT DE CONSERVATION LES CAUSES DE SA DÉTÉRIORATION, LES PROBLÉMESDE SA CONSERVATION
Autorzy:
Domasłowski, Wiesław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537658.pdf
Data publikacji:
1963
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Jana w Toruniu
popiersie Mojżesza
stan zachowania konsoli z popiersiem Mojżesza
przyczyny zniszczeń popiersia Mojżesza
badania produktów rozpadu wapienia
wilgotność w kościele św. Jana w Toruniu
niszczące działanie soli
Opis:
La console médiévale en pierre calcaire est très endommagée; outre les dommages mécaniques on y voit les fines couches de pierre qui se sont écalées e t la surface s ’est pulvérisée. Le calcaire décomposé s ’amoncellait dans les cavités de la sculpture (il n ’etait pas enlevé) et par sa quantité croissante on peut se rendre compte du développement de la détérioration. Pour expliquer ce développement on a examiné les particularités de la pierre (planche I); par extraéction on a déterminé le pourcentage des sels solubles dans l’eau contenus dans la poudre (c’est à dire dans le produt de la decomposition delà pierre) dans le calcaire, dans les briques du mur dans le mortier en ciment qui a servi a seller la console dans le mur (planches II et IV); on a déterminé l’imbibition, l’absorptivité et l’humidité des matériaux dont on a extrait les sels (planche IV); on a fait l ’analyse chimique de ces sels (planche III) et on a mesuré l ’humidité et la température à l’é glise (diagrammes 1 et 2). Par ces analyses et observations on a constaté que l’endommagement de l’objet en question a été causé par l’action des sels solubles dans l’eau (dont 7% a peu près se trouvent dans le produit de la décomposition du calcaire) qui proviennent du mortier en ciment employé pour seller la console dans le mur. En plus l ’humidité et les changements de la température ont aussi causé des endommagements (la pierre est très hydrophile et s’imbibe facilement; l’église n’est pas chauffée, pendant les mesurages la température la plus basse était de —15°C, et l’humidité relative de l’air montait à 99%). La détérioration était d’autant plus intense que la console avait été peinte plusieurs fois (les restes de couleurs apparaissent encore) et sous les couches de couleurs à l ’huile les sels se crystallisaient dans les pores de la pierre. En tenant compte de l’état de conservation de l’objet, des particularités de la pierre et des causes des endommagements, on a proposé de transporter la console au musée et la remplacer à l ’église par une copie, de consolider les fines couches de le pierre qui s ’écalent, d’enlever le mortier en ciment de la plaque de la console et d’extraire les sels de la pierre.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1963, 3; 3-15
0029-8247
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Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Prace konserwatorskie w drewnianym kościele parafialnym w Boguszycach koło Rawy Mazowieckiej : II część
TRAVAUX DE CONSERVATION DANS L’ÉGLISE PAROISSIALE EN BOIS À BOGUSZYCE PRÈS DE RAWA MAZOWIECKA
Autorzy:
Puciata, Maria
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536649.pdf
Data publikacji:
1963
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół w Boguszycach
malowidła ścienne w Boguszycach
drewniany kościół w Boguszycach
ołtarze szafkowe
Poliptyk Jana Jantasa
Tryptyk Mistrza I.S.
Boguszyce
Opis:
Les travaux de conservation dans l ’église à Boguszyce comprenant les fragments décoratifs de l ’autel provenant du XVIe siècle ont permis de compléter presque entièrement trois retables et de rétablir l ’aspect primitif du tableau de la Vierge à l ’En'ant. On a nettoyé les éléments particuliers du décor de leurs vernis vie illis, on a enlevé les couches de pe'ntures postérieures, on à complété les parties de bois et de la préparation manquantes, des manques é té retouché et la surface couverte par des couches protectrices de vernis et du cire. Au cours de travaux de conservation on a découvert au dos du volet gauche intérieur du polyptique de Jan Jantas une inscription: Jantas fecit. Cette inscription est complétée par la date Anno 1558 se trouvant sur le volet droite. Dans la partie centrale on a découvert une inscription partiellement effacée qu’on a déchiffré: Jantas fecit pictor warschoviensis Anno 1558. La même date 1558 fut retrouvée au dos de certaines sculptures et de certains listeux séparant les quartiers des volets particuliers. A l ’avers du volet droite du triptyque du Maître P. S., après avoir enlevé les saletés, on a déchiffré le monogramme P. S. lu jusqu’à présent comme I. S. On a rétabli l ’aspect primitif du tableau de la Vierge à l’Enfant. Ce tableau peint en 1558 sur une planche de tilleul a été entièrement repeint dans le contour de sa composition originale. A présent des couches postérieures ont été enlevées à la le ssiv e et à l ’alcool. L’original fut placé sur un mur du presbytère; sa place dans le retable a été prise par une copie exécutée avant la restauration du tableau.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1963, 1; 28-45
0029-8247
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Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Przesuwanie budynków zabytkowych w Warszawie : Rogatka Grochowska, kościół p. w. Nawiedzenia N. M. P. na Lesznie
TRANSPORT DE DEUX BÂTIMENTS À D’AUTRES PLACES À VARSOVIE (LA PORTE DE VILLE DE GROCHÓW ET L’ÉGLISE DE VISITATION DE LA VIERGE À LESZNO)
Autorzy:
Lenard, Jan Zbigniew
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536332.pdf
Data publikacji:
1963
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Przesuwanie budynkówzabytkowych
Przesuwanie Rogatki Grochowskiej
dyslokacja budynków
Opis:
En 1961—62 deux bâtiments historiques à Varsovie furent transportés à d’autres places — la porte de ville de Grochów et l’église à Leszno. La porte de ville de Grochów aux dimensions suivantes: 8,5 m X 16,5 et 7,6 m de hauteur, en tout 1000 m cubes de volume, est faite en briques au mortier. Elle n ’avait des caves que sous certaines parties. Son état de conservation indiquait une importante déformation des murs portatifs (craquelures) ainsi que des briques des fondements entièrement pourries. Il était absolument nécessaire de changer complètement les fondements. Avant de transporter le bâtiment il a été ceint de bandes en acier à trois niveaux. La construction devant servir au transport consistait de couronnes en béton armé sous chaque mur; ces couronnes .étaint composées de deux poutres en acier, parallèles (30 X 40 cm), fondues à 15 cm dans le mur des deux côtés et unies par des bandes en béton armé. Ensuite on a préparé 9 voies de poutres en acier posées sur des traverses en bois, attachées à une fondation en béton. Le matériel pour faire rouler le bâtiment consistait de cylindres en acier à 105 mm de diamètre et de poussoirs de poutres en double té de 200 mm. Pour transporter le bâtiment sur le matériel à faire rouler on a enfoncé des coins en acier. Au poids du bâtiment de 600 tonnes on a employé la force de 20 tonnes (4 entraîneurs à 5 tonnes). La vitesse de roulement s’élevait à 10 cm par minute et la distance était de 10,56 m. Les préparations du bâtiment pour le transport par une équipe d’un charpentier et de 9 ouvriers ont pris 82 jours de travail. Les mesurages de contrôle, faits par des équipes de géodésiens, n’ont relevé aucun endommagement du bâtiment. L’église à Leszno a présenté un problème beaucoup plus; difficile à cause de ses dimensions (33 m de longueur, 22 m de largeur et 18 m de hauteur) et du fait que le bâtiment n ’est pas uni horizontalement par des plafonds. En plus certains éléments de construction ont subi des déformations importantes pendant les hostilités de la dernière guerre. Le bâtiment devait être particulièrement soigneusement préparé au transport ét il devait être raffermi. On a commencé par renforcer la voûte en berceau aux lunettes en l’accrochant à une plaque en béton armé en croix, épaisse de 10 cm, aux côtes portatives en longueur et en largeur, liées par une couronne ceinte autour du bâtiment. Sous tout le bâtiment on a mis un gril de côtes transversales puissantes de 100 X 100 cm, unies en longueur par des poutres raidissantes. Ces côtes ont été calculées comme des poutres continues en tenant compte d’un affaisement inégal. Ce gril transportait le poids du bâtiments sur des poussoirs à double té de 300 mm qui s’appuyaient sur des roulettes. On a fait six voies. La construction d’une voie consistait d’une plaque doublement armée, épaisse de 40 cm, et sur cette plaque les rails étaient posés sur des traverses en bois de pin. Le système de raidissement des murs et du volume du bâtiment consistait en un „plafond artificiel” d’une grille de tuyaux et en des cloisons grillées à travers la grande nef de l’église. On a posé aussi 5 installations de contracteurs en acier diagonaux. Le bâtiment était ceint de bandes contractantes à plusieurs niveaux. Le travail était fait dans des conditions très difficiles. Dans les murs du fondement il y avait environ 600 grandes pierres qu’il fallait briser avec des marteaux pneumatiques. 900 m cubes de béton armé et 250 tonnes d’acier ont été employés pour protéger le bâtiment. Tout l’acier a été récupéré. On s’est servi en moyenne de 60 tonnes de force pour pousser 6800 tonnes. Le roulement durait 227 minutes à une vitesse moyenne de 93 mm par minute. L’église roulait uniment; pendant le roulement elle était éclairée et pouvait être ouverte. La distance du transport montait â 21 m. Dans ce cas la traction la moins1 puissante fut appliquée de tous les cas connus de ce genre. On n’a trouvé aucune nouvelle craquelure dans les murs de l’église. La déviation du bâtiment de son axe longitudinal est de 8 cm. L’analyse économique des méthodes appliquées démontre une grande économie. Les frais des travaux exécutés n’ont pas excédé 50°/o des frais d’un bâtiment nouveau de même cubature. La bâtiment pouvait être normalement utilisé pendant tout le temps. Cette méthode permet aussi d’économiser les matériaux et elle réduit le temps de l’opération.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1963, 2; 13-29
0029-8247
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Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Odkrycie i konserwacja malowideł z XIV-XVI wieku w prezbiterium kościoła w Olkuszu
DÉCOUVERTE ET CONSERVATION DE PEINTURES DU XlVe AU XVÏe SIÈCLES DANS LE CHOEUR DE L’ÉGLISE À OLKUSZ
Autorzy:
Dutkiewicz, Józef E.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538121.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół pw. św. Andrzeja w Olkuszu
odkrycie malowideł w kościele w Olkuszu
przenoszenie malowideł na nowe podłoże
Olkusz
Opis:
C’est durant les années 1960—63 que l ’auteur d.e cet article avec le concours d ’un groupe de conservateurs firent l ’examen des murs du choeur de l’église St. André à Olkusz; ils y découvrirent des peintures, qu’ils ont depuis restaurées et conservées. Cette église fut probablement fondée par Casimir le Grand vers le milieu du XlVe siècle. Incendiée en 1553 et 1588 et ensuite reconstruite et rénovée jusqu’au début du XVIIe siècle. Pour l ’examen des murs il fallut appliquer le système d ’un réseau de sondages en rectangles de 100X120 cm. La stratification des quatre murs et de la voûte fut établie d ’après ces sondages en révélant quatre couches principales. La première couche étalée sur le mur en pierre porte des traces de peintures du XIVe siècle sur le mur sud et nord; la deuxième couche de trois Chaulages, avec une peinture du XVIe siècle encore visible, (posée ,s:ur la première couche corrodée par les incendies, fut découverte sur le mur Eist; au dessus se trouve la trosième couche avec des chaulages du XVIIIe et XIXe siècles, ainsi que la dernière couche, la quatrième avec le fond en colle et une peinture de 1914—17. La disposition des couches est inégale, sur le mur Est la troisième couche manque, ainsi que sur la voûte la 2-e e t la 3-e couche. Ensuite, en enlevant les 4-e et 2-e couches des murs sud et nord, on découvrit une peinture sur le premier mur au-dessus de la niche du ,.sedilium”, représentant le Christ Miséricordieux, les donateurs aux armes Topór e t le Saint Patron, tandis que le mur nord, en partie en dehors des stalles, révéla une peinture ofolongue aux 16 scènes figuratives. Les deux sont peintes à la détrempe avec un fini sec à la fresque. Sur le mur Est la ipéinture découverte présente des motifs végétaux, des médaillons avec des armes e t des initiales et tout en bas le motif d ’un rideau qui passe aux miurs sud e t nord. On trouva aussi une fenêtre gothique emmurée, possédant une ouverture, de même qu’on renforça une poutre d ’époque Renaissance, sur laquelle reposait auparavent le triptyque gothique de la chapelle de Ste Anne. C’est en considèrent que les préparations, les chaulages et les surfaces des peintures découvertes étaient fortement corrodées, des injections de caséine et de pierre ponce furent introduites dans les couches profondes des préparations, ainsi que des injections e t imbibations du polyacetate de vinyl acetalé dans les endroits où les couches des préparations étaient décollées, dans les craquelures et là où les chaulages, les préparations et les couches de couleurs se réduisaient en 'poudre. Les endroits où la préparation manquait furent comblés d ’enduits en caséine et en chaux, ensuite les surfaces furent applanies, les parties comblées furent colorées de manière à correspondre au fond et là, où la couche picturale était endommagée, les couleurs furent ajoutées. Lorsque’il fut nécessaire pour rendre l'ensemble compréhensible, la reconstruction de la peinture fut marquée par un contour noir simplifié ou par des traits Obliques en couleurs. Le transfert de la peinture aux 16 scènes du mur nord sur un nouveau support mobile fut un des plus importante travaux de conservation. Ce tra ite ment fut appliqué parce que la moitié de cette peinture de grande valeur historique et artistique avait été cachée par les stalles en 1594. A cause de ses grandes dimensions (580X233 cm) la peinture fut coupée en sept segments, le long des cadres limitant les scènes. Pour protéger la surface par le papier de soie japonais, la gaze, la toile et le papier d ’emballage, on a employé une colle consistant en 75°/o de la farine, en 25°/o de la colle glutineuse et en 15% de l ’ensemble — du miel naturel, de 5% de glycérine et 1% de phénol comme plasltificateur. Après le masticage des petites lacunes, la peinture coupée en sept parties fu t enlevée du mur e t transportée en bas dans des caisses spéciales. Cet enlèvement fut très difficile à cause de l'épaisseur des couches et de l ’inégalité des assises. Le revers de la peinture fut poli jusqu’à ce que son épaisseur ne soif que de 2 à 5 mm et les plaques furent collées sur un panneau en fibre, laminé d ’un côté et étendu sur des cadres en bois, portables, renforcés p ar des armatures en acier. Les plaques avaient été collées au copolimère d’acétate vinylique. Aux endroits où les plus grandes parties de la peinture manquaient la plaque en fibre avait été découpée. Les plaques furent attachées au mur à l’aide de fixateurs d’acier sur le revers du cadre aux 6 poutres en acier, emmurées dans le mur. Des 16 scènes visibles sur la peinture transferee les sept de la p artie supérieure r eprés entent les sept Oeuvres de Miséricorde et la huitième — Jérusalem Céleste. Celles de la partie inférieure représentent les sept péchés capitaux et la gueule de l ’enfer. Dans les scènes de la partie supérieure les personnages sont représentés sur un fond d ’architecture entassée, tandis que dans la partie inférieure les péchés capitaux sont représentés par des couples — homme et femme — en costumes de courtisans de la seconde moitié du XIVe siècle, montant des animaux symboliques: ainsi le lion est le symbole de l’orgueil, la grenouille — la convoitise, le cochon — la luxure, le loup — l'intempérance, la hyène — la jalousie, l ’ours — la colère èt l’âne — la paresse. Ce rôle symbolique des animaux dans l’iconographie s ’est répandu au XIVe e t XVe siècles, surtout dans les peintures murales des églises rurales, où ces symboles servaient d ’aide aux prêcheurs de sermons. Les représentations des Oeuvres de Miséricorde étaient bien plus rares. Ces Oeuvres avaient été remplacés plutôt p a r les représentations des vertus chrétiennes, souvent luttant contre les péchés, c ’est à dire qu’elles présentaient la dite „Psychamachie”, sujet bien connu du poème de Prudence. La peinture d’Olkusz peut être considérée comme .une sorte de variante des 'Psychomaehies et son analogie la plus proche se trouve à l’eglise St. Jacques à Lewocza (Tchécoslovaquie) de la même époque à peu près. La peinture sur le mur sud est un tableau d ’adoration, peut être un tableau votif de deux représentants de la famille Toporczyik de Tęczyn et de Rabsratyn. Cette peinture, de môme que la précédente, provient de la fin du XIVe siècle. La peinture sur le mur Est fu t exeoutée vers 1592 (la date sur le mur) probablement comme encadrement du polyptyque médiéval qui y avait été placé de nouveau suivant le placement d ’un nouvel autel dans la chapelle de Ste Anne. Au sommet de la peinture les anges soutiennent les médaillons portant les initiales de Jésus Christ et de la Sainte Vierge. Plus bas des deux côtés de la fenêtre on voit deux cartouches aux armes de la Pologne et de la ville d’Olkusz, soutenus par les mineurs dans leurs costumes de travail et avec des pics à l’épaule. C’est probablement la plus ancienne représentation de ce genre en Pologne, bien compréhensible dans la capitale de la région minière de cette époque. Les travaux exécutés après l’incendie en 1588 furent continués jusqu’à 1612 sous le patronat des mineurs locaux. Au coure des travaux de conservation et de restauration, le polyptyque médiéval avec son cadre du style de la Renaissance, fut réinstallé dans le choeur comme grand autel. Aux murs et sur la voûte, où l’on n’a pas retrouvé l’ancienne ornementation, une sobre décoration graphique moderne fut appliquée.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 3; 11-35
0029-8247
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Artykuł
Tytuł:
Rekonstrukcja wnętrza korpusu kościoła św. Tomasza w Lipsku
BERICHT ÜBER DIE DENKMALPFLEGERISCHE WIEDERHERSTELLUNG DES H ALLENLANGHAUSES DER THOMASKIRCHE IN LEIPZIG
LA RECONSTRUCTION DE L’INTÉRIEUR DE L’ÉGLISE DE ST. THOMAS À LEIPZIG
Autorzy:
Magirius, Heinrich
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535335.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Tomasza w Lipsku
renowacja kościoła św. Tomasza w Lipsku
łuk tęczowy
Opis:
Die Thomaskirche in Leipzig, berühmt als Wirkungsstätte Johann Sebastian Bachs, wird seit 1961 unter Leitung des Instituts für Denkmalpflege, Arbeitsstelle Dresden, im Inneren erneuert. Während die auf die Gründungszeit des Augustinerchorherrenstits 1212 iZiurückgehenden und im 14. Jh. umgestalteten Chorteile gegenwärtig restauriert werden, wurde das spätgotische Hallenlanghaus von 1482—96 schon im ersten Bauabschnitt bis zu den Jubiläumstfeierlichkeiten von Kirche und Thomanerchor im Sommer 1962 fertiggestellt. Der denkmalpflegerischen Entscheidung über die farbige Raumfassung gingen eingehende Farbuntersuchungen voraus, die das farbige Erscheinungsbild der Kirche im Laufe ihrer Geschichte klärten. Raumfassung 1, 1496: Wesentlich ist der durch die Farbe betonte architektonische Kontrast zwischen den Wänden, den verhältnismäßig eng gestellten Pfeilerreihen (weißer Kalk) und dem darüber „eingehängten”, reich figurierten Gewölbenetz (roter Bolus). An den Schlußsteinen Rankenbemalungen, teilweise stark stilisierten teilweise von ziarter Einfühlung in das Naturvorbild; an den Rippenkreuzungen Flammenbündel. Die Rippen setzen entsprechend der Breite des Schiffes verschieden hoch an. Genau in der Mitte der Halle ist ein architektonischer „Bruch” zu bemerken, die Rippen in den Seitenschiffen laufen in der Osthälfte tiefer aus als in der Westhälfte. Diese architektonische Eigenart wird durch die Bolusfaissung der Rippenansätze — Begleitstreifen in der Westhälfte, Andeutung von Quadern in der Osthälfte — betont. Raumfassung 2, wohl 1540, ausgedehnt auf die 1570 neu eingebauten Renaissanceemporen: vornehmes Silbergrau an allen Raumteilen, Pfeiler schwarzweiß gefugt. Rippen und Fenstergewände durch Fugen abgesetzt, an der Westempore Schriftbänder. Raumfassung 3, 1638: Rötliches Grau an Pfeilern und and Gewölben, an den Pfeilern spiralig sich hochwindende schwarze Streifen, an der Stirnwand der Halle eine illusionistische Architekturmalerei, die „große Perspektive”, Emporen marmoriert. Raumfassung 4, 1721: Einheitliche Ausmalung in einem hellen Grau als „Grund” für die reiche Barockausstattung. Wohl schon früher ist das spätgotische Kontrastverhältnis Stütze — Gewölbe durch Abschlagen der Rippenansätze und durch Einfügung von Kämpfergesimsen im „klassischen” Sinne regularisiert worden. Raumfassung 5 und 6, Anfang 19. Jh.: graugrüne und weißgraue Farbfassung ohne künstlerischen Anspruch. Raumfassung 7, 1886—89 durch Constantin Lipsius, Dresden: Pfeiler geputzt, Rippenansätze im Sinne „baumartigen” Herauswachsens falsch ergänzt, Emporen abscharriert und bemalt, Ausmalung in grüngrauen und dunkelroten Farben mit frei e r fundenen Ornamenten. Neugotische Ausstattungsstücke, hölzerne Wandverkleidungen, bunte Fenster sollen den Raum mystisch idealisieren und zugleich den Eindruck einer „gemütlichen Bürgerkirche” erzeugen. Die Erkenntnis, daß die ursprüngliche Farbgebung der künstlerischen Eigenart der Halle am gemäßesten war und der verhältnismäßig gute Erhaltungszustand der ornamentalen Bemalung legten eine Rekonstruktion der ersten Farbfassung nahe. Allerdings stand von vornherein fest, daß man angesichts der besonderen Qualität der Ranken und Flammen hier auf jede Ergänzung verzichten müsse. Nach Abnahme des Putzes an den Pfeilern wurden die Picknarben sorgfältig geschlossen, Pfeiler, Gewölbekappen und Wände wie ursprünglich weiß gekalkt. Die Rippenansätze wurden in Kalkstuck im originalen Sinne ergänzt und die Bemalung der Rippen und Rippenansätze archäologisch getreu rekonstruiert. Die „secco” gemalten Ranken ließen sich nach Aufweichen der darüberliegenden Kalkanstriche mit Federmesserchen subtil freilegen. Um der oft nicht ganz eindeutigen Form des Ornaments habhaft zu werden, wurde der Grund erst einmal mit Kalk, dem Titanweiß zugesetzt wurde, ausgelegt. Klärte sich die „Figur” nicht, wurden Teile der Ranken oder der ganze Gewölbezwickel mit Kalk ausgestrichen. Die Bemalungen wurden lediglich konserviert. Die Renaissant ceempore wurde in einem an die zweite Farbfassung angelehnten Silbergrau gefaßt. Obwohl die Ausstattung des 19. Jh. zunächst nicht verändert und nur zum Teil reduziert werden konnte, ist die ursprüngliche Wirkung des Raumes, zu dem die Farbe entscheidend beiträgt, weitgehend wiedergewonnen worden. Das intensiv rote Rippennetz steht in leuchtendem Kontrast zu den Pfeilern und Wänden, aber auch zu den weißen Gewölbekappen. Die leichten Variationen an den Rippenansätzen tragen zu der in der Architektur angelegten Bewegtheit des Raumbildes bei. Zwar sprechen Ranken und Flammen nicht mehr in der originalen Farbkraft und Vollständigkeit, sie sind aber noch immer „stark” genug, um die ineinander verschränkten Gewölbefigurationen optisch erfassen zu helfen. Sie bezeichnen außerdem den Kirchenraum als „himmlischen Garten”, als Paradieslaube.
L’église de St. Thomas à Leipzig est fameuse comme Le lieu de l’activité de Jean Sebastien Bach. Depuis 1961 la restauration de son intérieur est réalisée par l’atelier de Dresde de l’Institut de Conservation des Monuments Historiques. Le choeur provenant de la date de l’établissement du chapitre des chanoines de St. Augustin en 1212, transformé au XVIs siècle, est en train d ’être restauré. L’intérieur des nefs gothiques, toutes de la même hauteur et provenant de 1482—96 a été restauré en 1962 pour le 750 anniversaire de la fondation de cette église. La décision du choix des moyens de conservation du coloris de l’intérieur fut prise après de nombreuses et sérieuses études qui ont expliqué les changements du coloris de l’église au cours de son existence. Pendant ces études sept couches de peintures ont été découvertes; les dernières proviennent de 1886—89, les précédentes du début du XIXe siècle, de 1721, de 1638, d’environ 1540 et la couche première de 1496. La première décoration de l’interieur souligne par les couleurs le contraste architectural des murs et des piliers relativement nombreux (enduits de blanc) à la voûte aux arêtes rouges. Le coloris des arêtes de la voûte était complété par des ornements peints autour des clefs des voûtes et par des faisceaux de flammes autour des croisements des arêtes. La constatation que le premier coloris convenait le mieux au caractère spécifique de cet intérieur ainsi que le bon état de conservation des peintures d’ornement ont influencé la décision de rétablir le premier coloris. On se rendait compte d’avance que vu la qualité spécifique des ornements peints et des flammes il fallait résigner de tout autre supplément. Après avoir enlevé les couches de couleurs plus récentes et après avoir reconstruit les formes originales des éléments architecturaux de l’intérieur qui avaient été endommagés, les peintures polychromes furent reconstruites aussi fidèlement que possible. Les peintures ornementales furent conservées sans remplir les places où elles manquaient. Malgré qu’il était impossible de modifier complètement l’arrangement de l ’intérieur du XIXe siècle — on n’a pu que le réduire quelque peu — l’effet original de l’intérieur est rétabli en grande mesure surtout par le coloris. Le rouge intense des arêtes contraste fortement avec les piliens et les murs, ainsi qu’avec les parties blanches de la voûte. Les petites différences de la position des sommiers des arêtes ajoutent encore à l ’effet du mouvement produit par l’architecture de l’intérieur. Les ornements et les flammes n’ont plus leur coloris intense mais il est encore assez „fort” pour faciliter la perception optique de la disposition des parties différentes de la voûte. En plus ces ornements déterminent l’intérieur de l’église comme „le jardin céleste”, comme une tonnelle au Paradis.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 1; 22-36
0029-8247
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Tytuł:
Konserwacja malowideł ściennych w kościele św. Mikołaja w Bejscach
TRAVAUX DE CONSERVATION DES PEINTURES MURALES DANS LE CHOEUR DE L’ÉGLISE ST. NICOLAS À BEJSCE
Autorzy:
Furdyna, Józef
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538929.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
malowidła ścienne
kościół św. Mikołaja w Bejscach
Bejsce
kościół gotycki
polichromia gotycka
wspornik
prezbiterium
znaki kamieniarskie
punktowanie polichromii
kazeina wapienna
polioctan winylu
Opis:
L’église gothique à Bejsce fu t construite vers la fin du XIV-me siècle en brique avec éléments en pie rre de taille (nervures de voûte, clefs, arcs diu transept, baies d e fenêtres etc.). La polychromie gothique a été découverte en automne 1963 sous deux couches de crépi e t sous environ sept couches de blanc de chaux. Elle s’étend su r une surface de 34 mètres carrés, et, à l’exception de la place occupée par le tombeau de E. Firlej, style ren a issance, la polychromie même est restée en principe intacte. Elle rep résen te l ’lhistoire de la Rédemption dans les scènes suivantes: Annonciation, Adoration des Rois Mages, Flagellation, 2 Crucifixion, Ecce Homo, Ascension (mur cud), puis, Adoration des Rois Mages la Cène, V'ir Dolorum (mur nord). Au mur et dans le fond du m a ître -a u te l se trouve la scène du Jugement dernier. La scène des Péchés Capitaux e t la peinture de St. Cristophe s’apparentent de loin à la base thématique générale. Les tra v a u x de conservation consistaient dans le détachement des couches de crépi e t d u blanc de chaux de la peinture, dans les trav au x d e conservation eux-mêmes et dans la restitution de son ca ractère primordial. Les m an ques du crépi é ta ie n t remplies de mortier calco- -sableux e t les p erte s en polychromie é taien t pointées d’une raie verticale p a r des pigments en poudre à base du lian t du polyacétate de vinyle. On s’est abstenu de po in te r les fragments contestables au point de vue de leur couleur ou dessin. Les crépis se d é ta ch an t du m u r ont été fixés à l’aide d’injections d’une dispersion du polyacétate de vinyle. La polychromie est étendue su r un crépi dur, peu corrosif. Elle est effectuée à base du 'blanc de chaux humide en appliquant probablement la technique calcaire avec addition minime du liant organique. On p eu t discerner dans la couche du crépi des lignes d ’intersection qui perme ttent d’attester que les tr a vaux de pein tu re ont été exécutés à la journée. Au dessus de la polychromie on remarque une tram e en brique avec des joints recouverts de couleur blanche. Au cours de trav au x on a dévoilé des niches maçonnées dans les murs e t les arcs, ainsi q u ’une dizaine de marques su r pierres. On a enlevé le retable du m a ître -au te l e t deux épitaphes du XlX-me siècle. À la voûte, deux voussures ont conservé des fragments de la polychromie du XVII-me siècle et le re s te des surfaces a été recouvert d‘une couleur u n iforme. En ré su lta t de trav a u x de conservation, la documentation suivante fu t établie: relevé des t r a vaux, dessins illu s tran t l ’é ta t de conservation à l ’échelle 1:1, photos e t essais techniques de laboratoire. Les trav au x fu re n t effectués p a r M. Joseph Furdyna et M. Jacques Radołowicz en été 1964. La polychromie découverte à Bejsce présente une oeuvre d ’a rt de plus grande valeur a p p a rten a n t au décor gothique des in té rieu rs religieux en Pologne.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 4; 47-57
0029-8247
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Tytuł:
Problemy konserwacji rytowanej posadzki gipsowej odkrytej w krypcie I kościoła romańskiego w podziemiach gotyckiej kolegiaty w Wiślicy
PROBLÈMES SUR LA CONSERVATION DU PLANCHER DE PLÂTRE GRAVÉ DÉCOUVERT DANS LA CRYPTE ROMANE DANS LES SOUTERRAINS DE L’ÉGLISE COLLÉGIALE À WIŚLICA
Autorzy:
Wartołowska, Zofia
Penkalowa, Barbara
Ciachowa, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537172.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kolegiata w Wiślicy
gotycka kolegiata
rytowana posadzka gipsowa
Zespół Badań nad Polskim Średniowieczem
dekorowana posadzka
krypta romańska
struktura gipsu
płyta nagrobna z epoki Merowingów
technologia masy gipsowej
ługowanie kryształów gipsu
Opis:
L’article discute les résultats de recherches effectuées .par la Faculté de Chimie e t de la Technologie du Matériel de Bâtiment qui servent de base pour l’élaboration des méthodes de conservation du plancher en plâ tre provenant probablement du XII-ème siècle. La valeur importante de l’objet d ’a r t exigeait des trav au x préparés convenablement qui résoudraient avantageusement tous les problèmes touchant à sa conservation. Dans la première phase des travaux, des analyses précises fu re n t effectuées sur les échantillons pris des différentes parties d u plancher pour déterminer sa structure , sa composition minéralogique e t l’éta t de sa réaction. Ces épreuves ont démontré que le plancher est préparé d’une masse en plâtre où le rôle de remplisseur jouait la pie rre de blocage en plâ tre émiettée et le rôle de colorant — la céramique émiettée également. Les cristaux du remplisseur de plâtre ont subi un lessivage très avancé qui pour la plupa rt a laissé des espaces vides. Vu qu ’au cours de la conservation d u plancher, la nécessité de remplir les espaces vides peut s’avére r iplus grande, on a élaboré à la base des résultats d ’analyses effectuées sur la masse du plancher, une technologie de preparation de la masse en p lâ tre correspondant à la matière de laquelle le plancher a été produit. On a également analysé les propriétés de la masse préparée en les comparant à celles de la matière première du plancher. On a également trava illé la technologie de la masse teinte en couleur noire répondant à la masse employée pour remplir les entailles burinées. L’Éstrichplâtre a été employé en qualité de liant, et le poix, le noir de fumée ainsi que le charbon de bois en ta n t que colorant. Pour remplir les craquelures et les fentes in signifiantes, on a employé la méthode qui consiste à les remplir de lait de plâtre. Il a été établi que pour nettoyer la surface de plancher, l’acide sulphurique délayé convenait le mieux car il débarasse la surface de toutes saletés et poussières et lui restitue sa couleur rose originaire. L’acide sulphurique n ’exerce aucune influence nuisible sur la masse du plancher puisqu’aucun no u veau composant n ’y est introduit. L ’article discute également les efforts apportés jusqu’à présent pour mettre fin au procès de destruction, et présente le projet de couvrir le p la n cher d ’une vitre de protection installée avec conditionnement d’air.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 2; 35-48
0029-8247
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Artykuł
Tytuł:
Rekonstrukcja portalu kościoła podominikańskiego w Poznaniu
RECONSTRUCTION DU PORTAIL DE L’ÉGLISE POST-DOMINICAINE À POZNAŃ
Autorzy:
Linette, Eugeniusz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537675.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
portal
rekonstrukcja portalu
kościół podominikański w Poznaniu
Poznań
wczesnogotycki kościół dominikanów
archiwolta
wendyjski układ cegły
węgary portalu
kościół dominikanów w Sandomierzu
portal w Sandomierzu
Opis:
L’article est un compte-rendu des travaux de reconstruction effectués su r le p o rtail de l’église des Dominicains à Poznań en 1961. Fondée par Przemysł 1er, prince de la 'Grande Pologne, l’église fut érigée en tre 1244 et 1253. Le corps principal en b riques présentait à l'origine u n très beau décor a r chitectural, ta illé dans la pierre e t détruit p ar suite d ’une reconstruction d e l'in té rieu r après l’incendie de l’année 1803. Les resites du décor précite ont été découverts dans les fondements du portique accolé à la façade occidentale posté rieure à l’incendie et démontée dans les années 1957/1958. Le p o rtail dont la construction remonte aux o rigines de l ’église elle-même (1244—1253) ap p a rtien t p a r son ca ractère à l’époque dite transitoire pour l'architecture historique, soit dit au X lIIe siècle. Il possède une s tru c tu re d e forme développée, malgré q u’il soit presque entièrement en briques (sauf les bases e t les chapiteaux des colonnettes en pierre). De grandes briques appareillées et profilées constituent le matériau d e sa construction. Le p o rtail en saillie sur la façade ouest, s ’in se rra it dans le cadre du portique jusqu’au moment de son démontage. Il fu t découvert en 1922 et l’année suivante on procéda à s a reconstruction, to u t en le plaçant à un niveau un demimètre plus élevé qu’à l’origine compte tenu de l’excroissance du te rra in . La reconstruction toutefois se limitait à la façade ne concernant n i les murs latéraux, ni les décorations du mur en saillie qui se trouva englobé dans le m u r nouveau longeant la façade à l'in té rieu r du portique. Ce n ’est qu ’au cours des tra v a u x de démontage du portail (1957— 1958) que la saillie du m u r fu t dégagée des constructions postérieures. Les murs endommagés, n ’e n tra n t plus dans la composition du p o rta il surélevé exigeaient une re sta u ra tio n fondamentale comme d ’ailleurs le portail dépourvu du pignon qui le couronnait précédemment. Après la cuite de nouvelles briques on en trep rit les travaux de construction en automne 1961. Le te rrain de la place où se trouvait le porche fu t nivelé et abaissé env. d'un demi-mètre, compte-tenu de la penite donnée à l ’accès de l ’église. On décida toutefois de laisser le p o rtail au niveau qui lui fu t donné en 1923 pour éviter un démontage de plus compte-tenu de la faible résistance du m a té rie l 'en brique, d’ailleurs en grande p a rtie substitué déjà pendant la première reconstruction. Il a fallu donc assortir au portail surélevé les murs la térau x du portique abandonnées au niveau original. I l était toutefois impossible de démonter les murs, on e n tre p rit donc d e compléter les manques et d’échanger les éléments endommagés. E tan t donné l’écartement des deux niveaux qui é ta it équivalent à 3,5 assises de briques de grandes d imensions, on a dû tout d’afoord niveler l’é c a rt d e la moitié d ’une assise. Vu que les angles des murs étaient endommagés p a r le bas, lors de la reconstruction, on nive la l’écart par des lits de mortier. La corniche de la baie au-dessus du portail, cons tru ite avec d e larges dalles en céramiques fu t pro longée ju sq u ’aux murs latéraux du portique, les su rp assan t de h au teu r de 3,5 assises. Sous la corniche e t au-dessus d’elle, fu re n t placés les dalles reconstruites avec les angles profilés. Au-dessus de la corniche, dans la p a rtie de l’archivolte l’assortiment des couches de briques n e présentait plus aucun problème. Dès lors on pouvait, dans la partie frontale reconstruite, au-dessus de l’archivolte, se ré fé re r à l’angle nord en grande p artie conservé de la construction. D'après cet angle nord on a pu également re stitu e r l’aspect original de la saillie du mur n o tam ment en comptant l’écart des 3,5 assises, et même plutôt, des 4 assises par le profil d’en h au t e t p ar une dalle unie. La reconstruction de ces murs la téraux confirme atte s te que le portail avec l’archivolte extérieure et la bande disposée en frise courant le long de l’archiivolte, susdite, s’in se rra it dans un bloc en saillie dont les proportions rappe laient le carré. Le couronnement du portique demandait une solution des plus difficiles, car les indices vestiges manquaient. Aucune trac e de ce couronnement su r la façade vu que le p o rta il construit en briques plus grandes é ta it accolé à la façade sans former un seul corps avec elle. La h au teu r des murs la téraux ne p e rm e tta it pas de composer le pignon d u couronnement car ce pignon s e ra it tro p grand pour n ’avoir aucune décoration. D’ailleurs, il n e fa lla it pas amoin d rir la v aleu r d ’authenticité de certains éléments en introduisant une reconstruction douteuse. C'est pourquoi on adopta la solution de la to itu re à trois pans dégradés e t recouverte de larges dalles. Cette forme en dégradation a été employée pour raccourcir l’a rê te horizontale superposée de ,1a toiture to u t en se rap p o rtan t dans une certaine mesure à la forme origin ale de la construction en saillie que forma it l'ancien portique.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 4; 35-42
0029-8247
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Ochrona Zabytków
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Artykuł
Tytuł:
Ruina jako obiekt turystyczny : koncepcja zabezpieczenia i udostępnienia na przykładzie kościoła NMP w Chojnie
CONSERVATION D’UN MONUMENT À L’ÉTAT DE RUINE À DES FINS TOURISTIQUES. CONCEPTION DE PROTECTION ET D’ACCESSIBILITÉ SUR L’EXEMPLE DE L’ÉGLISE NOTRE-DAME À CHOJNA
Autorzy:
Gruszecki, Andrzej
Widawski, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536753.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół NMP w Chojnie
trwała ruina
Henryk Brunsberg
kaplica Mariacka
lizeny
historia kościoła NMP w Chojnie
Chojna
konserwacja ruin
angielska szkoła konserwacji ruin
zabezpieczenie przed wpływami atmosferycznymi
Opis:
Le pro jet présenté dans ce compte-rendu et concernant la conservation de l’Église Notre-Dame à Chojna 'en forme de ruine permanente * constitue une solution-modèle, ayant pour but en même temps de sauver le monument e t de le ren d re accessible aux visites des touristes. Le projet fu t précédé par des recherches scientifiques. Ce sujet a été tra ité déjà avant la guerre dans un article dont l’auteur Voss considérait le bâtiment en question comme unité rep a rtie suivant les époques de sa construction, notamment en p artie orientale consacrée en 1407 et en partie-occidentale terminée en 1459. En résultat des recherches architecturales e t archéologiques effectuées sur pla ce par la Faculté de l’A rchitecture à Varsovie (Chaire de l’Architecture Polonaise) au cours des années 1960—1962 on a prouvé que l’ancienne tour é ta it probablement antérieure au corps principal de l’église et constituait un é lé ment de l’église du XlV-ème siècle connue jusqu’ici uniquement par des notes historiques. L ’église du XVe siècle fu t érigée probablement sur l’emplacement de la précédente dont la tour fu t annexée au nouvel édifice et surélevée d ’un étage au cours de son adaptation. L’église du XVe siècle se range parmi les monuments de haute valeur artistique et son architecture accuse des affinités avec les oeuvres de l’atelier d’Henri Brunsberg dont probablement elle est issue. A la fin du XVe siècle fu t annexée à cette église la chapelle St. Anne. Dans les siècles suivants la toiture de la tour a changé de forme. En 1859/61, après l’écroulement de l’an cienne tour on en éleva une autre à sa place, haute d e 95 m., néogothique, remaniée par suite ein 1932— 1933. Dans la seconde moitié du XIXe siècle l’inté rieu r de l’église fu t également reconstruit et en cet é ta t l’édifice est conservé jusqu’à la seconde guerre mondiale pendant laquelle les voûtes et les toitures fu re n t détruites en grande partie. Les murs quoique endommagés se sont conservés en général ju sq u ’à la corniche du couronnement. É tan t donné que l’église post-conventuelle du voisinage suffisait aux besoins du culte, il n ’y av a it aucune prémisse pour procéder à la reconstruction de l’Église Notre-Dame. Toutefois la haute valeur artistique de ce monument étant reconnue, on n e pouvait le laisser tomber en ruine sans entrep ren d re des mesures de protection. C’est pour cela qu’on adopta, en fin du compte, la solution de sa conservation à l’aspect de ruine en p ro je tan t d ’en ouvrir l’accès aux touristes. Le projet s’allie p a r sa conception à la meilleure des écoles de conservation contemporaines soit d it à l’école anglaise. Ses principes de base fu re n t su ivis de près compte tenu toutefois de certaines modifications nécessitées par des conditions spécifiques de notre climat. Donc, le principe selon lequel les murs ne doivent pas être reconstruits sauf quand l'exige l'é ta t technique de l’ensemble, n ’a pas pu ê tre suivi à la lettre. Le programme prévoyait la reconstruction p artielle des voûtes et des balustrades des tribunes pour ren d re possible les visites des touristes. On appliqua les principes anglais suivants: refection des m u rs e t des mortiers, à la surface; relèvement des planchers à leur niveau primitif; enlèvement des plantes e t de la mousse des murs, pour incruster l’ensemble de la ru in e dans le cadre de la verdure environnante. Dans le projet de l’aménagement des pelouses on introduisit certaines modifications. Compte tenu des difficultés d’en tretien d ’un gazon de verdure sans sentiers on p ro je ta de poser su r le chemin des visiteurs des dalles en béton dont les interstices seraient envahis par la mousse. Ce genre de tro tto ir semble être meilleur que les sentiers de gravier employés p ar les Anglais en prévision d’un trafic touristique animé. Le programme de l’aménagement des plantes hautes en ta n t que décor plastique de la ru in e n ’est qu’un développement de l’école anglaise selon laquelle la conception d ’un fond de verdure de plantes hautes à l'ex térieu r de la ruine ne fu t pas envisagée. Les principes anglais se trouvent complétés p a r un soulignement voulu de la ligne des interventions conservatrices, à l’aide d’un liant distinct ainsi que par une repa rtition d u bâtiment suivant la chronologie de sa construction. L ’attention fu t toutefois portée surtout à la p rép a ra tio n des services e t du mouvement touristique, dont les itinéraires fu re n t élaborés d’avance comme dans le cas des musées. On p ré para pour les touristes des postes de „prise de vue” et, pour g aran tir la continuité du mouvement to u ristique, on projeta deux cages d ’escalier supplémentaires, une en béton armé, l’au tre en acier. Outre les visites touristiques coutumières on a prévu des itinéraires spéciaux pour les historiens de l’a rt et pour les conservateurs. C’est ici que fu re n t e x posés les vestiges concernant la rép a rtitio n chronologique du bâtiment et les procédés de sa conservation. Pour principe général on adopta l’adjonction d’éléments exécutés dans un matériau nouveau de forme différenciée, quoique en harmonie avec le site historique. Comme matériau po u r les éléments nouveaux é tait prévu: le béton armé, la brique en silicate e t le fe r graphie, tandis que les délabrements dans les parties du bâtiment conservées seraient comblés p a r les matériaux récupérés.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 2; 5-22
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zagadnienie konserwacji romańskiego portalu kościoła św. Marii Magdaleny we Wrocławiu
PROBLÈME DE LA RESTAURATION DU PORTAIL ROMAN DE L’ÉGLISE STE-MARIE-MADELEINE À WROCŁAW
Autorzy:
Ciach, Teresa
Penkalowa, Barbara
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536728.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
portal romański
kościół św. Marii Magdaleny we Wrocławiu
opactwo benedyktyńskie w Ołbinie
portal z Ołbina
archiwolta
imposty
lapidarium
tympanon Jaksy
piaskowiec arkozowy
piaskowiec kwarcowy
spoiwo krzemionkowe
spoiwo ilasto-krzemionkowe
spoiwo wapienne
spoiwo węglanowe
krzemionka
proces niszczenia kamienia
Opis:
be présent ouvrage a pour but d ’analyser l’état auquel s ’est conservé le portail roman de l ’égliise Ma rie-Madeleine à Wiroclaiw et d ’éclaircir les causes des détériorations sur la base des recherches effectuées jusqu’à présent sur l ’initiative du Conservateur Municipal de Wrocław. Comme le révèlent les recherches, les éléments authentiques provenant du portail d’Olbin sont e x é cutés dans des grès arcosiques qui dénotent actuellement une désalcalisation considérable du matériel liant et la dégradation de la structure. Il a été établi que la cause principale d’usure réside dans l'emplacement défavorable du portail du côté sud, sur la paroi revêtue de brique hollandaise de l ’église ainsi que dans le traitement de conservation inconvenable effectué dans les années 1912—1934 et consistant en un emploi de moyens de protection uniquement superficielle. L’ouvrage présente des propositions en oe qui concerne la protection et la conservation du portail par voie d ’une modification de conditions dans lesquelles il se trouve et de complément du matériel liant désalcalisé en vue d’en renforcer la structure.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 3; 22-28
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Badania i konserwacja polichromii na ścianie tęczowej kościoła parafialnego w Płoskini
RECHERCHES ET CONSERVATION DES PEINTURES MURALES SUR LE MUR DE L’ARC TRIOMPHAL DE L’ÉGLISE PAROISSIALE A PŁOSKINIA
Autorzy:
Erdman-Przełomcowa, Maria
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535125.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół w Płoskini
polichromia Sąd Ostateczny
barokowe polichromie
badania technologiczne polichromii w Płoskini
Opis:
Au cours des travaux de conservation de la peinture baroque sur le mur de l’arc triomphal de l’église à Płoskinia on a découvert deux couches de peintures murales d’origine antérieure datées de la Renaissance et de l’époque gothique. La peinture gothique présente un programme iconographique assez complexe. Une fois les surpeints éliminés des fragments de peinture décoverts ont mis à jour la scène de l’entrée du Christ à Jérusalem, dans la partie supérieure du mur. Dans les parties inférieures — des anges adorants, le soleil et la lune. Ces derniers motifs ont été réemployés dans la composition baroque du „Jugement dernier”. La peinture murale renaissance, dont les fragments ont été conservés, constitue un ensemble ornemental composé de motifs végétaux et géométriques. Le manque de mention à ce sujet dans les documents écrits ne permet pas de préciser la chronologie de ces peintures. Toutefois elles semblent être liées aux transformations architectoniques successives de l’église de Płoskinia qui trouvent leur attestation dans la documentation archivale. A base de ces indications, on pourrait, de façon approximative, reporter la peinture murale gothique à la moitié du XlVe siècle et attribuer celle de la Renaissance — à la moitié du XVIe siècle et celle du Baroque aux années qui suivirent 11654. Les traits caractéristioues qui ont marqué le style de ces peintures ainsi que les résultats des essais technologiaues effectués sur la matière, l’enduit sec, les liants et les couleurs viennent à l’appui de ces suggestions. Sur la couche baroque de ces peintures on a trouvé des traces de plusieurs repeints et retouches. En vue des valeurs historiques et esthétiques des peintures polychromes antérieures on a limité sciemment la conservation de la peinture baroque aux traitements indispensables. A l’aide de la caséine de chaux, les boursouflures et les soulèvements les plus marquants de la couche diu surpeint, ont été liés au support. On a protégé contre une perte plus grande d’adhérence, les couches d’enduit susjacentes, dans les emplacements les plus susceptibles à se dégraisser, en fixant les bords de ces oouches à l’aide d’une faible solution de la caséine. Les lacunes de mortier ont été complétées par l’enduit sableux de la chaux. La surface fortement salie de la peinture a été nettoyée à l’aide de pinceaux et de mie de pain tout en renforçant les parties écaillées ou effritées de la peinture. Les fragments découverts dans les parties de la peinture entièrement repeints, après un traitement de consolidation par la solution de caséine, ont été recouverts d’une couche protectrice d’enduit sec. On a employé pour les refections et les retouches une couleur plus claire traçant les contours des lacunes par une ligne blanche. Le transfert de la peinture baroque du „Jugement dernier” et des fragments conservés de la composition renaissance ornementale serait indiqué en raison d’une mise à jour de la peinture murale gothique.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 4; 38-50
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł

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