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Wyszukujesz frazę "Małgorzata, Dąbrowska" wg kryterium: Autor


Tytuł:
Bizancjum, Francja i Stolica Apostolska w drugiej połowie XIII wieku
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/688222.pdf
Data publikacji:
1986
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Tematy:
Historia powszechna społeczno-polityczna i gospodarcza
Historia średniowieczna
Historia Francji
Bizancjum
Historia Kościoła
Historia literatury francuskiej
Historia kultury
Badania nad kulturą
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1986, 27
0208-6050
2450-6990
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Bizancjum, Francja i Stolica Apostolska w drugiej połowie XIII wieku
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/books/1450038.zip
https://bibliotekanauki.pl/books/1450038.pdf
https://bibliotekanauki.pl/books/1450038.mobi
https://bibliotekanauki.pl/books/1450038.epub
Data publikacji:
1986
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Opis:
Dans cet ouvrage l’auteur présente une question peu connue, notamment le contact de l’empereur de Byzance Michel VIII Paléologue (1224–1282) avec le roi, de France Saint Louis (1214–1270). Etant donné que l’Europe était à cette époque, partagée entre l’Occident catholique et l’Orient orthodoxe, ce qui n’était pas causé tellement par le schisme du 1054 que par la IVe croisade, ce contact de deux souverains – sinon leur entente réciproque – semble un fait particulièrement intéressant qui mérite à tout prix d’être analysé en détails. En voulant présenter les circonstances qui avaient abouti à la rencontre de. deux individualités aussi éminentes que Louis et Michel, on doit rappeler les événements précédant l’échange direct des légations entre ces souverains dans les années 1269–1270. L’initiative de ces contacts était due à Michel Paléologue qui a réussi en 1261 de restituer la souverainté byzantine à Constantinople et de mettre fin à la domination des Latins à Bosphore qui était le résultat de la mémorable IVe croisade. La restauration de l’empire byzantin ne suffisait cependant pas à détourner le danger menaçant Byzance du côté de Francs (selon les Grecs ce n’étaient pas seulement les Français, mais les habitants de L’Europe en général). Pendant tout son règne, Michel essayait d’éviter l’expédition latine contre Constantinople. Cette menace est devenue plus grande, surtout quand Charles d’Anjou, roi de Sicile, s’est déclaré héritier de l’empire latin. Voulant prévenir la reprise de la IVe croisade, Michel VIII avait commencé les negotiations avec Rome pour liquider le schisme et unir à nouveau les Eglises. Pourtant, pendant la vacance au Saint Siègle, il avait semblé que rien au monde ne pourrait contrarier les plans angevins. Dans cette situation, Michel demanda l’aide de Saint Louis. En le priant d’intervenir dans le renouvellement des pourparlers concernant l’union avec Rome, il espérait en même temps éviter le conflict avec Charles qui était le frère du roi de France. Louis se décida à être médiateur en renouvelant les contacts de Byzance avec le Saint Siège, Il avait promis aussi d’influencer le souverain de Sicile et d’empêcher ses. plans agressifs. La mort de Louis au camp à Tunis, où le roi se trouvait pendant sa deuxième croisade, n’avait pas permis de tenir cette promesse. L’épisode byzantin n’avait pas trouvé une place suffisante dans les monographies consacrées à ce souverain. C’était probablement causé par le fait, que sauf la chronique de Primat, aucune source française ne le mentionnait. Ce silence est digne d’attention et l’essai de l’éclaircir est devenu le principal stimulant de cette dissertation. L’auteur voulait aussi établir les motifs qui ont poussé Louis à se charger de cette mission. On doit ajouter que grâce aux soins de Paléologue, La France perdait ses influences en Grèce qui étaient le résultat de la IVe croisade. Dans cette situation, la médiation de Louis entreprise – on pourrait le croire – contre les intérêts des familles féodales françaises semble étonnante et choquante. Pourquoi cette intervention qui était aussi un essai de la réconciliation entre la chrétienté occidentale et les schismatiques byzantins n’avait pas été assez éclaircie dans les sources? Pour trouver la réponse à cette question, il était absolument nécessaire de reconstruire en détails les événements en s’appuyant sur l’analyse précise des sources et sur la coordination des opinions dominant dans la littérature du sujet. Parmi les sources étant base de ces recherches, il faut d’abord mentionner tous les anciens textes français écrits vers la fin du XIIIe siècle et au commencement du siècle suivant. Ils présentent une typique source narrative, ayant le caractère hagiographique pour la plupart. Ils virent le jour à l’occasion du procès de canonisation de Louis, terminé en 1297. Parmi ces sources il faut citer les biographies royales écrites par: Geoffroy de Beaulieu, Guillaume de Chartres, Guillaume de Saint-Pathus, Guillaume de Nangis, Joinville et la chronique de Primat. Cette dernière source n’a pas de caractère hagiographique, elle est plutôt un simple enregistrement de chroniqueur. L’analyse des textes byzantins concernant le règne de Michel VIII avait aussi une grande importance dans l’examen de ce sujet. Ce sont deux chroniques: une d’elles dont l’auteur est George Pachymère, datant du commencement du XIVe siècle et l’autre de Nicephore Gregoras de la moitié du même siècle. Dans cet ouvrage l’auteur s’occupe des pontificats d’Urbain IV et de Clément IV, ainsi que de la période de la vacance au Siège Apostolique (novembre 1268 – septembre 1271). On profitait donc des registres de ces papes. En raison de considérer la politique de Charles d’Anjou, il était nécessaire d’analyser certains documents siciliens ainsi que les sources italiennes, par exemple les annales génoises ou bien la chronique de Fra Salimbene de Parme. L’examen détaillé de toutes ces sources, ainsi que la confrontation des conclusions se présentant après leur lecture avec les opinions dominantes dans la littérature du sujet, a permi de montrer le rôle du souverain français dans l’affaire byzantine. Les sources indiquent clairement que la reprise du dialoque entre Byzance et Rome a été l’oeuvre uniquement de Louis. Les chroniqueurs occidentaux contemporains enregistrent au sujet des Grecs l’opinion peu bienveillante, doutant de leur franchise dans les negotiations en ce qui concerne l’union. Grâce au roi de France on a renouvelé les pourparlers entre Byzance et le Saint Siège. Il existait de même toutes les possibilités que cette protection défende Constantinople contre l’invasion de Charles d’Anjou. Les promesses données aux émissaires byzantins à Tunis avaient une grande probabilité d’être réalisables. Charles, comme frère cadet du souverain français devait compter avec lui. En plus, les efforts des Grecs à réaliser l’union retiraient à l’Angevin l’argument d’attaquer Byzance sous prétexte de la lutte contre les schismatiques. La mort de Louis a contribué à perdre l’espoir par les Byzantins. L’analyse de la manière d’agir du roi dans l’affaire byzantine a prouvé que le souverain français présentait une attitude exceptionnelle, pleine de sincérité bienveillante. Cette attitude différait complètement du stéréotypé de traiter le sujet byzantin. Louis semblait s’occuper plus du problème de liquider le schisme que des aspirations des familles féodales qui tendaient à garder leurs propriétés en Grèce. Prenant à coeur les efforts des Grecs à réaliser l’union et à se reconcilier avec Charles, Louis tâchait de les aider en réalisant en même temps le suprême idéal de la chrétienté. Cette attitude du roi semblait être l’effet des influences de l’idéologie des ordres mendiants, dont la tendence était de gagner les nouveaux disciples à la foi du Christ d’une manière pacifique. La question du retour des schismatiques à l’Eglise était étroitement liée avec l’idée de la conversion des infidèles. Michel Paléologue n’avait pas besoin de craindre le changement de direction de la croisade de Louis qui aurait pu se rendre à Byzance au lieu d’aller à la Terre Sainte si les conditions avaient été différentes. Le silence de presque toutes les sources françaises concernant la rencontre de Louis avec les émissaires byzantins a été causé par la malveillance envers les Grecs dont l’Occident ne pouvait pas se libérer. La majorité de ces sources ce sont des textes hagiographiques écrits en rapport à la canonisation du souverain, d’où la conclusion que les idées oecuméniques du roi dépassaient le modèle conventionnel de la sainteté. Or, l’union était la question du prestige pour Rome, et non pas pour la France qui semble-t-il, ne s’y intéressait pas. Les Grecs n’inspiraient pas la confiance aux Latins qui doutaient do leur franchise en ce qui concerne la réconciliation avec l’Eglise de Rome. L’histoire de Byzance justifie cette malveillance démontrant que l’union était un argument politique ayant pour but de sauver Constantinople de l’attaque angevine. On avait donc omis toute la question de l’épisode byzantin dans la biographie de Louis d’autant plus que l’opinion publique favorisait Charles, ce que les sources françaises démontrent clairement. Seul Primat, n’écrivant pas sa chronique sur commande, n’avait pas de raisons de se laisser guider par les autres biographes du roi pour négliger la rencontre du souverain de France avec les Grecs. Cependant il n’avait pas manqué d’exprimer son peu de bienveillance eners eux. Le contact du vénérable roi avec les schismatiques semblait aux biographes de Louis une condition plus ou moins inconvenante, ils préféraient donc la passer sous silence dans leurs textes hagiographiques. On voit aussi ce partage de l’Europe en deux mondes: latin et byzantin dans les chroniques occidentales, dont la majorité a ignoré les évenements du Bosphore de 1261. Ces événements ne se déjouaient pas dans le même „orbis terrarum” dont l’Europe catholique se jugeait être le membre. Ils étaient donc indifférents aux chroniqueurs qui représentaient le monde latin. Il est intéressant de comparer les silhouettes de deux souverains: Michel et Louis. Le premier – politique espiègle, pour qui l’union était le moyen de défendre Byzance contre l’attaque succesive des Latins – fait penser au Prince de Machiavel. L’empereur avait réussi à sauver l’État de la nouvelle défaite du côté des Francs, mais il n’avait pas gagné la sympathie de son peuple qui avait considéré comme trahison de la foi ses contacts avec Rome. En comparaison avec Michel, Louis s’était montré un plus grand partisan de l’union des Eglises que Paléologue. L’union n’était pour l’empereur byzantin qu’une raison poiltique calculée, tandis que pour le roi do France elle était la réalisation de ses rêves d’agrandissement du monde catholique. Louis s’était élevé au dessus d’opinions traditionnelles de l’époque. L’idée de l’union des Eglises lui semblait la raison plus importante que les intérêts des familles féodales françaises aux Balkans. En promettant de prévenir le conflict sicilo-byzantin, le souverain français avait prouvé une fois de plus son amour de la réconciliation des ennemis. „L’arbitre de la chrétienté” – cette expression qui apparaît dans la littérature historique caractérise clairement l’attitude du roi de France. La main tendue aux schismatiques n’a pourtant pas gagné la sympathie des biographes du roi. Condamnant l’intéressant épisode byzantin de la vie de Saint Louis à être oublié, ils ont en même temps amoindri la grandeur do cet illustre personnage qui dépassait les stéreotypés conventionnels de la pensée do l’époque grâce à ses idées oecuméniques.
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Biblioteka Nauki
Książka
Tytuł:
Fałszywy patriarcha Konstantynopola i prawdziwy cesarz Bizancjum w Paryżu u schyłku XIV wieku
Faux patriarche de Constantinople et vrai empereur de Byzance à Paris vers la fin du XIVes
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/16538452.pdf
Data publikacji:
1992
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Opis:
D’après la „Chronique du religieux de Saint Denis” l’auteur examine les réactions de Paris face à l’arrivée de trois Grecs: de Paul Tagaris, en 1389 qui se disait le patriarche de Constantinople, de Théodore Cantacuzène, député de l’empereur byzantin venu à la capitale de la France en 1397 et finalement de l’empereur de Byzance, Manuel II Paléologue arrivé à Paris en 1400. L’auteur de l’article est d’avis que l'atmosphère qui accompagnait la venue des étrangers a été fort accueillante et elle n’a pas changé malgré les i impostures de Tagaris. Le texte ne comprend pas l’opinion péjorative face aux Grecs orthodoxes, au contraire, on souligne une noble apparence de Manuel, des manières impeccables et sa piété. De même, la formation et l’intelligence de Théodore et finalement l’exotisme de Tagaris complètent cette image des Byzantins fort différente de celle présentée dans les sources du XIII s. (par exemple Primat, le moine de Saint Denis) qui caractérisent les Grecs comme êtres èffeminés, lâches et hypocrites. Une telle opinion résultait de l’aversion pour les Grecs — partisans du schisme contre lesquels se dirigeaient les Latins afin d’acquérir la domination de Bosphore et de rétablir leur influence d’avant 1261. Cette politique lancée par Charles d’Anjou était encouragée en plus par la papauté qui créait en grande partie l’opinion sur les Grecs. Vers la fin du XIV s. cette opinion a’enfin changé à cause du danger turc croissant, menaçant non seulement les Byzantins mais également les restes des propriétés latines dans le monde de la Mer Egée. En même temps le schisme entre Rome et Avignon compromettant d’une certaine maniéré l’Eglise, encourage l’attitude plus tolérante à l'égard des Grecs dont l’hérésie parait moins dangereuse. A part cela, en France il n’a plus de partisans du retour sur Bosphore. Pour le chroniqueur de Saint Denis de la fin du XIVes., le contact de Manuel avec Charles VI était un premier cas ou l’empereur de Byzance adressait la demande de se faire aider par le roi de France. Il nous est pourtant connu que le premier pas a été fait an XIIIes. par Michel Paléologue en demandant à Saint Louis d’appuyer les négociations concernant l’Union et la paix avec Charles d’Anjou. L’historiographie du XIIIes. a effacé cette épisode de la vie de Saint Louis et elle l’a fait si bien que ce fait était inconnu à notre chroniquer anonyme de Saint Denis écrivant de la fin du XIV siècle. Le chroniqueur n’etait pas non plus conscient de la relation de Primat également du XIIIes. redigée aussi à Saint Denis. Car uniquement Primat a laissé l’information sur la venue de la mission byzantine chez Saint Louis en 1270.
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1992, 44; 75-90
0208-6050
2450-6990
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Francja i Bizancjum w okresie wielkiej schizmy zachodniej
La France et Byzance dans la periode du grand schisme
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/16729102.pdf
Data publikacji:
1993
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Opis:
Dans l’article on compare le contenu de la chronique de Saint-Denis avec les sources grecques au sujet de la visite de Manuel II à Paris. Trois chroniquers: Doucas, Sphrantzes et Chalcocondyles transmirent peu de renseignements. Leurs relations contiennent l'image d’un fou roi de France, vaincu par une maladie, qui ne put aucunement prêter son aide à Byzance. L’auteur compare ces textes avec ceux de l’empereur écrits à Paris et présentant une bonne image de Charles VI. L’auteur juxtapose les attitudes religieuses de Manuel Paléologue et Charles VI en constatant que les circonstances politiques étaient particulièrement favorables à l'empereur. Grace à elles disparut la mise en danger de son autorité orthodoxe afin d’obtenir l’aide militaire de la France au prix des négociations concernant l’union ecclésiastique.
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1993, 48; 127-141
0208-6050
2450-6990
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Łacinniczki nad Bosforem: małżeństwa bizatyńsko-łacińskie w cesarskiej rodzinie Paleologów (XIII-XV w.)
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/books/1705589.zip
https://bibliotekanauki.pl/books/1705589.pdf
https://bibliotekanauki.pl/books/1705589.mobi
https://bibliotekanauki.pl/books/1705589.epub
Data publikacji:
1996
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Opis:
Francesco Filelfo, an Italian humanist married to a Byzantine lady, is the author of a brief note about women of Constantinople. His comment has often been used and interpreted by scholars in many ways. What conclusion can we draw from that? Basically, the historian preoccupied with history of Byzantium cannot complain about the abundance of information on women’s life. The reasons cannot only be sought in gynaeceum which effectively prevented women from the free contact with the external world. The actual explanation is suggested by the fact that the life of medieval women was eclipsed by men’s activities. The statement constituted a challenge which encouraged me to attempt the description of the impossible. I was inspired by a doubt which had been raised in the writings of G. Duby. In the conclusion to his book on marriage in medieval France the author stated the following: „Il faudrait toutefois ne pas oublier parmi tous ces hommes qui seuls, vociferant, claimaient ce qu’ils avaient fait ou ce qu’ils rêvaient de faire, les femmes. On en parle beaucoup. Que sait-on d’elles”? In my recent research I have endeavoured to provide a possible answer to the question. The Palaiologoi are the last Byzantine dynasty that ruled in Constantinople in 1261-1453. Out of fifteen imperial matches (since Michael VIII till Constantine XI) nine were concluded with the Latin ladies. The marriages under consideration include two unions of Constantine XI when he was a Despot. The research also involved marriages which had been planned but not realised (for example the intended union of Michael IX with Catherine de Courtenay). Nine other Byzantine-Latin marriages were arranged within the same family (Emperor’s children and siblings). This gives us the total of eighteen matches. The phenomenon is worth attention in the light of the schism and particularly in the context of hostility between the two worlds caused by the Fourth Crusade. What struck me was what I could call „marriage geography”. The countries which fathered forth the Latin brides of the Palaiologoi became one of the subjects discussed in this book. I focused on the imperial matches, resorting to others for the sake of comparison. The main dramatis personae of this dissertation are: Anne of Hungary, Yolanda of Montferrat, Rita of Armenia, Adelaide of Brunswick, Anne of Savoy, Eugenia Gattilusio, Sophia of Montferrat, Magdalene Tocco and Catherine Gattilusio. While approaching the subject of the Latin wives of the Palaiologoi, I faced a remarkable discrepancy in the sources. They proved to abound in the data concerning Yolanda of Montferrat and Anne of Savoy. At the same time there was only negligible information on the other Latin ladies. The structure of this thesis could not therefore follow the chronological pattern presenting the Latin ladies in succession. A construction like that could only reflect the framework adopted by Ch. Diehl and D. M. Nicol who presented the portraits of Yolanda and Anna while leaving aside the other Latin ladies. Quite a great deal has already been written on the subject of mixed marriages in Byzantium. However, there is no thesis that would adopt a holistic approach focusing on all Byzantine-Latin marriages of the Palaiologoi and not only on the chosen examples. In chapter one I attempted to present the political problems in the reign of Palaiologoi and the circumstances in which the mixed marriages were concluded. I sought an answer to the question about the motives that both parties may have had. At the same time my aim was to show those unions against the background provided by marriages with women of the same Creed, that is Orthodox. I hope I managed to prove the point that each match had been arranged by the Byzantine diplomacy with great precision and the particular goal in mind. None of the choices could be accidental. In spite of a complete absence of data concerning the maiden time of the Latin ladies, I strove to recreate their collective portrait based on the cultural background they had brought to Byzantium. That is the subject of chapter two. Having determined the age at which a particular marriage was concluded, I attempted to depict the opulence of matrimonial embassy and to reconstruct the marriage contract, where possible. In the same chapter I tried to arrive at the conclusions concerning the model of education received by a young lady in the West, her familiarity with culture and the extent of her attachment to the Catholic religion. While drawing the collective portrait, I wondered whether it differed greatly from the one that was binding in Byzantium. I also asked myself a question about the extent to which those ladies may have been influenced by the anti-Byzantine propaganda spread by certain milieux in the West. Chapter three engages with the status of an Empress of Latin origin at the Byzantine court. Having first discussed the wedding and crowning ceremony, I took a closer look at the age of imperial mothers. I was also interested in the amount of time the Latin ladies spent in Byzantium. What fascinated me was to what extent the Latin women had cultivated their home customs and how far their „Byzantinization” actually reached. Did they find it difficult and painful to yield to the Byzantine influence? Were their rites of passage a source of suffering or a matter of course? I was intrigued by the Latin women’s influence on the imperial policy and on their children’s education. Finally, I attempted to show what role those women had played as Empresses dowagers. In chapter four I dealt with the political advantages of mixed matches. What good did they bring to the negotiating parties, and how did they affect the political powers that had ostensibly remained in the background. I hope I managed to prove the point that the failures of marriage diplomacy had been caused by political discontent rather than religious differences. I attempted to tell the truth about the subject even though it is nearly impossible to achieve. It often happens that a historian provides many more questions than answers. Such is the status of my book which handles the delicate matter of an individual life intertwined with a historical event. Still, the questions are as important as the answers. The fact that the answers are often missing results from the scanty data which cause the historian to face a barrier of cognition. My story resembles the fragments of a broken mirror which only partly reflects the faces of Empresses of the Latin origin. I reserve the right to go back to some issues as the quest for information cannot end here. The Byzantine Empire made treaties with Latins against other Latins, against Turks and finally against Orthodox brethren. This was the cost of survival on the political stage. The marriages with Latin ladies were arranged with great care. Paradoxically, it might be suggested that the matches were the consequence of the Fourth Crusade. It seems that Byzantium used its matrimonial policy in order to „buy off’ the Latins, that means to put an end to their claims concerning Constantinople. The West treated mixed marriages as a guarantee of the discreet return on to the Bosporos even though that was not a sudden invasion like the Fourth Crusade. The two sides could not exist without mutual contacts which did not alleviate the animosities. The prejudice could only be toned down by the Turkish threat. Fear of the Turks united Byzantium and the Latins but it failed to save the Empire from Islam. Byzantium in the time of the Palaiologoi was not uniform. Certainly, on the arrival in Constantinople the Latin ladies experienced the Byzantine otherness which manifested itself in the external differences such as appearance, language, etiquette, religious rites and diplomatic protocol. Sources however do not testify to any cultural shock. On the contrary, the Latin women seemed to adjust themselves to the new situation easily. The medieval „savoir-vivre” was meant to prepare them to live in another country. If they wanted to play an important role in politics they had to familiarise themselves with the political mechanism, which was a difficult thing to do. A question arises however, if all the ladies under consideration had political ambitions. Most of them remained in the background. The only exception here is Anne of Savoy but her behaviour cannot be regarded as representative. But for the political circumstances she would never have played such a role. She reached for power although the scenario of Byzantine policy had not foreseen a leading part for her. Dealing with Byzantine-Latin matches I came to the conclusion that the Latin ladies arrived in the world which did not differ from their own. Even if they rebelled against this world, like Yolanda of Montferrat, the reaction was not caused by the contact with „Byzantinity” but, which is more likely, by the ambitions to pursue a different political aim that did not agree with the strategy of Byzantine diplomacy. All the Latin ladies discussed here came from the same Mediterranean world, even Adelaide of Brunswick who had numerous Italian connections. Byzantium had been a part of the same world. The cost of separation from home had always been the case, no matter whether the bride travelled from Italy to England or from Italy to Byzantium. The home education was meant to make this cost as little as possible. It was very early that one had to shoulder responsibility for one’s life, as in the light of the canon law women became nubile at the age of twelve. It seems that in spite of religious division, the Byzantine-Latin matches were nothing out of the ordinary. The Latin ladies do not appear to have paid a high price for assimilation. The European élite simply exchanged their children, who had been educated to suit the purpose. They were able to play their political role anywhere also in Byzantium which was not more exotic than for example Scandinavia. The big European family did not offer its best offsprings to Byzantium. Only the less important candidates came along and played their role. It did not mean that they played it for their own sake, rather for Papacy and Italian republics. The geography of political marriages testifies to the decline of the Empire. The Empress was not sought in the important royal families in the West. Families of minor importance were preferred as well as the nouveaux riches who entered the political circles due to the power of money. It was money that the Empire needed more than the snobbery of royal connections. Byzantium was able to offer only one thing in return, that is the éclat of imperial title which certainly promoted minor houses. Everything took place within the great Christian culture, where the division into East and West did not prove to be so important as some scholars are willing to suggest. Historians say that the source will answer any question that is correctly phrased. Will it be capable of yielding an answer to the question whether a union of two people was a success or a disaster from their private point of view? Is there any room for a question like that in a discussion of political matches? The sources I had at my disposal are very discreet on the matter although I can imagine for example the misery of Sophia of Montferrat. In spite of the efforts to learn as much as possible, the Latin wives of Palaiologoi are still a mystery for me. Georges Duby’s question concerning the knowledge on medieval women still remains a rhetorical one.
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Biblioteka Nauki
Książka
Tytuł:
Sophia of Montferrat or the History of One Face
Zofia z Montferrat albo historia jednej twarzy
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/18042481.pdf
Data publikacji:
1996
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Opis:
Zofia z Montferrat, żona przedostatniego cesarza Bizancjum Jana VIII Paleologa, nie doczekała się dotąd zainteresowania historyków. Ich uwagę zatrzymał tylko jej brzydki wygląd, o którym napisali dziejopisarze bizantyńscy. Autorka rekonstruuje losy Zofii z Montferrat, analizując środowisko dworskie, z którego się wywodziła i wskazuje na ambicje polityczne rodu Montferrat, związanego z Bizancjum już od XII w. M. Dąbrowska podkreśla rolę papieża Marcina V w kreowaniu małżeństwa Jana z Zofią, przyglądając się motywom zawarcia tego związku i korzyściom, jakie miały z niego wynikać. Zofia z Montferrat została żoną Jana VIII i cesarzową bizantyńską w styczniu 1421 r., a opuściła Bizancjum w sierpniu 1426 r. Jej związek małżeński nie został przypuszczalnie zrealizowany. Analizując pobyt Zofii w Bizancjum, M. Dąbrowska podważa tradycyjny pogląd, że przyczyną odrzucenia Zofii przez Jana były różnice religijne między małżonkami (Zofia była katoliczką, jej mąż wyznawał prawosławie). Analiza źródeł prowadzi autorkę do wniosku, że powodem niezrealizowania małżeństwa była niechęć fizyczna wywołana brzydkim wyglądem Włoszki. M. Dąbrowska zwraca uwagę, że małżeństwo Jana z Zofią było tragiczną pomyłką dyplomacji bizantyńskiej i papieskiej, stanowiło ponadto prywatny dramat źle dobranej pary. W historii 5-letniego mariażu trudno dopatrzeć się wyjątkowych awantaży dla Bizancjum; zdaniem autorki, związek ten przyniósł więcej korzyści stronie zachodniej. Małżeństwo to miało charakter typowo polityczny, jak większość mariaży tego czasu, pieczętujących dyplomatyczne alianse układających się stron.
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1996, 56; 177-194
0208-6050
2450-6990
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
O dysleksji
Autorzy:
Dąbrowska, Małgorzata
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/495132.pdf
Data publikacji:
2001-06-30
Wydawca:
Towarzystwo Naukowe Franciszka Salezego
Źródło:
Seminare. Poszukiwania naukowe; 2001, 17; 339-351
1232-8766
Pojawia się w:
Seminare. Poszukiwania naukowe
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
CEA-negative glioblastoma and melanoma cells are sensitive to cytosine deaminase/5-fluorocytosine therapy directed by the carcinoembryonic antigen promoter.
Autorzy:
Dąbrowska, Anna
Szary, Jarosław
Kowalczuk, Małgorzata
Szala, Stanisław
Ugorski, Maciej
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1041550.pdf
Data publikacji:
2004
Wydawca:
Polskie Towarzystwo Biochemiczne
Tematy:
CEA promoter
E. coli cytosine deaminase
gene-directed enzyme prodrug therapy
Opis:
Recent studies have suggested that carcinoembryonic antigen (CEA)-promoter sequences are active only in CEA-positive cells, filing in the criteria for tumor specific targeting of suicide genes. However, the present study on gene therapy of colon cancer and cell-specificity of CEA promoter, provide evidence that CEA-positive and CEA-negative cells transfected with E. coli cytosine deaminase (CD) gene under the control of CEA promotor sequence are sensitive to enzyme/pro-drug therapy with 5-fluorocytosine (5-FC). Individual clones derived from the CEA-negative cell lines: melanoma Hs294T and glioblastoma T98G after transfection with CD differed profoundly in their sensitivity to 5-FC. The IC50 values for several clones of the CEA-negative cells were almost the same as for CEA-positive colon cancer cells. Such 5-FC-sensitive clones derived from the population of CEA-negative cells, present even in small number, because of the very effective bystender effect of this enzyme/pro-drug system can cause severe problems during therapy by efficiently killing surrounding normal cells. Safety is the major issue in gene therapy. Our data suggest that the safety of gene-directed enzyme pro-drug therapy (GDEPT) with CEA promoter driven expression of therapeutic genes is not so obvious as it has originally been claimed.
Źródło:
Acta Biochimica Polonica; 2004, 51, 3; 723-732
0001-527X
Pojawia się w:
Acta Biochimica Polonica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Katyń
Współwytwórcy:
Wajda, Andrzej. Reżyseria
Mularczyk, Andrzej. Scenariusz
Pasikowski, Władysław. Scenariusz
Kawa, Jolanta. Tłumaczenie
Bukowski, Andrzej (1911-1997). Recenzja
Dipont, Małgorzata. Recenzja
Hollender, Barbara. Recenzja
Kłopotowski, Krzysztof. Recenzja
Kurpiewski, Lech. Recenzja
Paul, Allen. Recenzja
Lipińska, Urszula. Recenzja
Jabłońska, Katarzyna. Recenzja
Werner, Andrzej. Recenzja
Pietrzak, Jarosław. Recenzja
Lubelski, Tadeusz. Recenzja
Bielecki, Roman. Recenzja
Biedrzycki, Krzysztof. Recenzja
Zaleski, Adam. Recenzja
Zarębski, Konrad J. Recenzja
Wojciechowski, Piotr. Recenzja
Netz, Feliks. Recenzja
Duda, Harry. Recenzja
Piotrowska, Anita. Recenzja
Douin, Jean-Luc. Recenzja
Kulisiewicz, Małgorzata. Recenzja
Michnik Adam. Polemika
Pietrasik, Zdzisław. Komentarz
Dąbrowska, Anna. Komentarz
Felis, Paweł. Komentarz
Staniszewska, Maja. Komentarz
Data publikacji:
2007
Wydawca:
Polska
Tematy:
Wajda Andrzej twórczość recenzja
Wajda, Andrzej (1926-2016)
Spielberg Steven. Schindler's List
Katyń (film; 2007) recenzja
Lista Schindlera (film)
Sprawa katyńska w filmie recenzja
Egzekucja polskich oficerów w Katyniu w filmie recenzja
Jeńcy wojenni polscy ZSRR 1939-1940 r. w filmie recenzja
Opis:
Rec.: Celuloidowa panorama ludobójstwa : "Katyń" Andrzeja Wajdy czyli wielkie zbrodnie z przeszłości na ekranach kin / Andrzej Bukowiecki.
Rec.: Pomnik dla pomordowanych : długo oczekiwany "Katyń" Andrzeja Wajdy jeszcze na ekranach kin : pierwszy i z pewnością ważny obraz o morderstwach w lesie katyńskim. Jednak niekoniecznie udany / Urszula Lipińska.
Rec.: Kobiety czekają : wokół kina / Małgorzata Dipont.
Rec.: Spóźniony fresk Andrzeja Wajdy : dziś premiera : "Katyń" zamyka ważny rozdział w twórczości wielkiego artysty, wpisuje się w cykl jego dzieł o niełatwej polskiej historii / Barbara Hollender.
Rec.: Prawda o sowieckiej zbrodni : Andrzej Wajda nakręcił film obrazujący polskie losy, a zarazem uniwersalny / Allen Paul.
Rec.: Katyń dla pań / Krzysztof Kłopotowski.
Rec.: Diament ze skazą : "Katyń" Andrzeja Wajdy to najbardziej oczekiwany film sezonu. Nie jest to jednak dzieło wybitne. Zamiast ostatniego filmu słynnej szkoły polskiej dostajemy patriotyczną czytankę / Lech Kurpiewski.
Rec.: Zły czas, dobra pamięć : wokół "Katynia" Andrzeja Wajdy / Andrzej Werner.
Rec.: Złota rybka zwana Wandą / Jarosław Pietrzak.
Rec.: Z potrzeby świadczenia / Tadeusz Lubelski.
Rec.: Dano nam aż tyle / Roman Bielecki.
Rec.: Pathos / Krzysztof Biedrzycki.
Rec.: Uwagi na temat filmu A. Wajdy "Katyń" / Adam Zaleski.
Rec.: Katyń : droga do prawdy / Konrad J. Zarębski.
Rec.: Katyń : Polska według Wajdy / Piotr Wojciechowski.
Rec.: Katyń / Feliks Netz.
Rec.: Katyń Post mortem -- fuga na motywach zderzenia światów : refleksja na kanwie filmu Andrzeja Wajdy / Harry Duda.
Rec.: Film o nieobecnych : czy "Katyń" Wajdy stanie się dla Polaków zbiorowym doświadczeniem? / Anita Piotrowska.
Rec.: Egzorcyzm / Katarzyna Jabłońska.
Rec.: Cisza ciężka jak głaz : o filmie "Katyń" Andrzeja Wajdy / Małgorzata Kulisiewicz.
Rec.: "Katyń" - przejmujący i bolesny film dla Wajdy : [fragmenty recenzji z "Le Monde"] / Jean-Luc Douin.
Rec.: Katyń i Treblinka to różne zbrodnie : marodowość pluszowego misia : zarzut, że w filmie Wajdy "Katyń" nie ma Holocaustu, jest równie absurdalny, jak byłby zarzut wobec Spielberga, że w "Liście Schindlera" nie ma łagrów na Kołymie - z recenzentem "Le Monde" polemizuje Adam Michnik.
Omów.: Zostaną tylko guziki / Zdzisław Pietrasik.
Omów.: Obraz polskiej tragedii / Anna Dąbrowska.
Omów.: Katyń / Paweł Felis.
Omów.: Non omnis moriar : Katyń -- dramat historyczny. Polska 2007, reż. Andrzej Wajda / Maja Staniszewska.
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Bibliografia CBW
Książka

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