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Wyszukujesz frazę "Jastrzębski, Zdzisław." wg kryterium: Autor


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Tytuł:
Pamiętnik artysty (O Vade mecum Cypriana Kamila Norwida)
Autorzy:
Jastrzębski, Zdzisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2127599.pdf
Data publikacji:
1957
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
Uwagi wstępne, Ogólne założenia Vade mecum, Obrachunek ze współczesnością, Poetyka Norwida w Vade mecum, „Vade mecum“ – Summa poética   JOURNAL DE L’ARTISTE Notre étude a pour l’objet le Vade mecum de Norwid Cyprien; un cycle de poèmes lyriques qui jusqu’à présent a échappé à une analyse plus approfondie. Achevé en 1865, ce livre devait révolutionner la poésie polonaise, mais malgré les instances de l’auteur il ne fut pas imprimé. Il y a chez Norwid une cohérence tout à fait nette entre les considérations théoriques et l’oeuvre; celles-là matière de celle-ci et vice versa. C’est précisément sour le plan de la matière qu’on arrive à comprendre bien des aspects de l’oeuvre norwidienne. Nous comprenons par matière l’objet matériel de la poésie (c’est un terme philosophique); sensu stricto les éléments de la construction par images. La conformité entre l’oeuvre et les principes prouve l’authenticité de la matière. Le Vade mecum pose carrément . le postulat de l’authenticité (Krytyka, Liryka i druk), c’est à dire il s’oppose à la fiction, à l’exaltation, à la description colorée; il aspire à une fidélité presque photographique, à un certain „achromatisme”. L’expression extrêmement discrète accentue encore davantage cette teinte neutre et par le fait que la couleur ne joue pas ici le rôle de la colorisation. De l’aspiration à l’authenticité découle le réalisme de cette poésie (Ogólniki). Une dénomination précise d’une chose est conditionnée non seulement par l’existence de la chose elle-même, mais aussi par le degré de la connaissance de celle-ci. Cette précision et cette passion de distinguer donnent une beauté intellectuelle à la matière réaliste. La réflexion, l’appréciation — voilà ce qui se fait un élément de pleine valeur de- la construction par images. Cependant Norwid rejette la réflexion stérile, ,,L réflexion pour la réflexion”. C’est cette exigence de réaliser la vérité qui constitue le trait d’union entre l’intellectualisme et le moralisme (Saturnàlia). L’aspect moral de Vade mecum est impliqué par le cercle de problèmes: nous avons ici affaire à une boussole poétique de la vie („mapa życia”), à une évaluation de l’activité de l’homme. L’homme est considéré en fonction de son attitude envers les autres, envers la vie. Le cercle de problèmes prend des dimensions sociales, civilisatrices, culturales. Les domaines intéressant Norwid déterminent le matériel verbal. L’homme, le monde de la culture et de l’art, l’activité humaine et la pensée humaine — voilà l’étendue de la matière poétique. Le deuxième chapitre se propose de montrer l’attitude poétique envers le monde. On a consacré de nombreuses pages à Norwid poète de l’histoire. Nous rencontrons cependant dans Vade mecum à côté du motif de l’histoire, et plus fréquemment encore, le motif de l’homme et le motif de larmes — signe extérieur de la souffrance et du vrai sentiment humain qui est si rare dans le monde. L’auteur postule le plein épanouissement de la personnalité („całoczłowieczeństwo”), il postule l’attitude chrétienne. Norwid critique de différentes manifestations de la civilisation contemporaine, de différentes classes sociales: la stagnation de l’aristocratie, l’expansion des banquiers, les bureaucrates, l’égoisme de la noblesse... Une place de toute première importance revient dans sa pensée à l’art. Norwid est persuadé que l’épanouissement moral de l’humanité ne peut pas se faire sans art. C’est pourquoi il condamne la poésie facile, sa vulgarisation à tout prix („panthéisme de l’imprimé”), il condamne son vernis soi-disant populaire, son caractère anegdotique et sa prolixité, son élégiaque ton patriotique. Au début du troisième chapitre on attire l’attention sur le principe norwidien (Kolebka pieśni) postulant que „le ton et la mesure” isoient appropriés ,à ,,1’objet”. En effet l’auteûr réalise ce postulat et le fait que le Vade mecum polémise avec l’époque contemporaine influe d’une façon décisive sur la structure des poésies particulières. Les plus fréquentes sont d’,,indirectes” formes dialogiques, des relations, des quasi-réminiscences d’entretiens autrefois eus. On cite des énonciations, on donne parfois même des „comptes rendus” des querelles toutes entières (Adio!). Le monologue, en général bien rare, n’est jamais un soliloque. La structure de chaque poésie presque fait deviner le destinataire. Un trait essentiel de ce caractère polémique est la confrontation des points de vues d’habitude opposés. Le moyen principal de l’expression artistique chez Norwid est l’ironie. La fonction de celle-ci consiste à „objectiviser” et à apprécier; elle s’appuie sur la confiance en ce que faits sont leur propre force expressive. La parabole est le deuxième moyen de l’expression artistique; elle la narration et le moralisme, elle découvre les sources évangéliques de la vérité. En général prévalent les moyens indirects de l’xpression. Norwid dédaigné les artifices de la technique; ses poésies impressionnet par leur ordre, par leur concision (allusions, réticences...), par leur métaphore rajeunie. Le rythme est „raboteux” et différencié; le désaccord entre l'intonation rytmique et celle de la phrase rend de vers moins mélodieux. La ponctuation et de nombreuses indications graphiques doivent faciliter la mise en relief des valeurs sémantiques et phonique» à la fois. Le dernier chapitre (Vade mecum — Summa poetica) se propose d’évaluer l’oeuvre et de mettre en relief .sa position dans l’histoire littéraire. Le volume est un enesmble „relié par un fil très fin”. Les poésies particulières ont évidemment leur valeur à elles, mais en leur qualité de parties de l’oeuvre elles sont enrichies de la fonction qu’elles remplissent dans l’ensemble. Cet ensemble était un défi lancé à la tradition poétique des grands romantiques et surtout à ses épigones (bavardage, tendre pessimisme, plaintes...). Norwid a développé les expériences du romantisme: l’effacement des limites entre la poésie et la philosophie est à la source de son infelectualisme, le moralisme découle du problème de l’action (action que le poète conçoit comme un effort constant et conscient, et non pas comme une éruption spontanée); l’union panthéiste dans l’Absolu, union au caractère organique, devient entre ses mains catholicisme intégral, universalisme. La haute volée des romantiques qui de concours avec l’individualisme et le subjectivisme les a amenés au scepticisme est chez Norwid remplacée par le maximalisme d’exigences et par l’austère non-conformisme. Norwid rejette la poésie ,,de la nature” et son pittoresque. Du patriotisme il déplace l’accent sur J’aspect social. Norwid a pour base la conception de l’art — création; c’est la source de sa foi en la force créatrice de la poésie qui n’est pas un jouet mais un important facteur civilisateur.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1957, 6, 1; 7-115
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Norwid o Mickiewiczu
Norwid sur Mickiewicz
Autorzy:
Jastrzębski, Zdzisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2127959.pdf
Data publikacji:
1955
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
Norwid a plus d’une fois porté des jugements sur ses devanciers, surtout sur Mickiewicz, il considérait la critique comme une lecture créatrice. Malgré la sévérité de ses jugements sur l’auteur de Pan Tadeusz, il est le seul qui lui ait rendu un si profond hommage. Il voyait combien on l’idolâtrait, mais il constata que cette grande admiration ne tirait pas à conséquence. Il prit la défense du poète et accusa la société qui n’essayait même pas de lui fournir les moyens de subsister, ne fût-ce qu’en éditant ses oeuvres. L’aristocratie l’avait même repoussé de ses rangs. Les mots: „J’ai cela dans mon secrétaire” (Main to w biurku) sont, selon lui, une marque de 1’ „Intellighentsia” polonaise qui garde les idées créatrices dans le tiroir et calomnie les chefs. Norwid essaie d’apprécier les idées de Mickiewicz et d’en montrer les effets: il voit les déplorables consqéuences du courant où „l’énergie devance la réflexion”, il critique l’individualisme de Mickiewicz de l’époque des Aïeux et son messianistne, il accuse Mickiewicz de provincialisme en lui reprochant sa conception superficielle de patrie — voilà pourquoi il voit dans Messire Thadée avant tout un „poème de paysagiste et de satirique”.- 11 reproche au poète (et au romantisme en général) de ne pas avoir créé au moins un type de „femme vivante” et de ne pas avoir entrepris de mettre dans ses drames „de l’ordre scénique”. La critique de Norwid est celle d’un poète qui suit le Maître, mais aussi qui le dépasse. A la poétique de la spontanéité, de la révolte et de la conviction intérieure il oppose le sens logique, le pathos et l’ironie. 11 ne lui a pas consacré d’étude à part, mais de nombreuses mentions qu’on trouve dans ses écrits permettent de préciser l’attitude du dernier poète du romantisme envers le premier. On peut noter plusieurs traits communs: tous les deux, ils soulignent l’aspect moral, ils considèrent la poésie comme l’élément créateur dans la vie. et posent un programme maximaliste. Mais il y a aussi des différences: Mickiewicz pensait à la Pologne-nation et luttait pour ses droits, Norwid l’étudiait en tant que société et indiquait ses devoirs. Le maximalisme de Mickiewicz est un maximalisme de haute volée, impétueux et hardi, tandis que Norwid exigeait un travail pa tient, soulignant la nécessité de reconnaître la quotidienneté, il critiquait toute tendance à voir les choses d’un seul coté. Puisque Mickiewicz avait été reconnu Maître dans la poésie, Norwid, en luttant pour une poésie nouvelle, dut avant tout faire une critique sans compromis — pour dépasser la poétique de ce maître. Et il sut reconnaître la primauté de celui-ci, - tout en sachant mettre en relief sa propre originalité.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1955, 5; 255-282
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Narodowa Partia Robotnicza i Stronnictwo Pracy na ziemiach zachodnich Drugiej Rzeczypospolitej wobec zagrożenia niemieckiego (1933-1939)
Autorzy:
Biegański, Zdzisław.
Powiązania:
Wrzesień 1939 i jego konsekwencje dla ziem zachodnich i północnych Drugiej Rzeczypospolitej: studia / pod red. Ryszarda Sudzińskiego i Włodzimierza Jastrzębskiego Toruń, 2001 S. 39-61
Współwytwórcy:
Sudziński, Ryszard. Redakcja
Jastrzębski Włodzimierz. Redakcja
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł
Tytuł:
Mickiewiczowska alternatywa
Autorzy:
Jastrzębski, Zdzisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1968944.pdf
Data publikacji:
1959
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1959, 8, 1; 151-176
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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