Informacja

Drogi użytkowniku, aplikacja do prawidłowego działania wymaga obsługi JavaScript. Proszę włącz obsługę JavaScript w Twojej przeglądarce.

Wyszukujesz frazę "Dąbrowski, Leszek" wg kryterium: Autor


Tytuł:
Rekonstrukcja świątyni Hatszepsut w Deir-el Bahari
RECONSTRUCTION DU TEMPLE D’HATCHEPSOUT À DEIR-EL BAHARI
Autorzy:
Dąbrowski, Leszek
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535363.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
świątynia Hatszepsut
architektura starożytna
Deir el Bahari
Portyk Ptolemejski
świątynia Mentuhotepów
świątynia Tutmesa III
Opis:
C’est au début de l’année 1963 que l’é ta t Egyptien p rit la decision de faire reconstruire l’une des plus belles pièces de l ’antiquité Egyptienne. Le temple de la reine Hatchepsout se trouve su r la rive gauche du Nil, sur les hauteurs de Luxor, à l’emplacement de l’ancienne Thèbe, près de la chaîne des collines. La direction de l’opération fu t laissée à l’auteur de cet article étant à la fois architecte en chef du Centre Polonais d ’Archéologie Méditerranéenne de l’Université de Varsovie au Caire, dirigé par le Professeur Kazimierz Michałowski avec la contribution de spécialistes d’autres disciplines telles que l’archéologie, l’égyptologie etc. Portique face de la troisième terrasse La reconstruction du portique face de la troisième te rra s se était sans doute l’opération la plus urgente. Quand à la fin du ΧΙΧ-e s. les fouilles mirent à jour le temple, on ne trouva seulement que les vestiges du portique. Pour que l’on en vienne à la reconstruction de cette partie du monument il fallait attendre le déb u t du XX s. Cette mission fu t confiée à l’architecte frança is Baraize. Il e n tre p rit la construction des huit piliers de front et d ’une représentation d ’Osiris. En faisan t l’examen des emplacements, on s’aperçu toutefois que Baraize plaça bon nombre de blocs à des en d ro its dont les dits blocs n ’é taien t pas originaux. On décida subséquemment au nom de l’authenticité re p ré sentée par les trav au x de conservation, d ’ex tra ire une p artie de ces blocs et de rem e ttre en chantier de m a niè re à ce que la reconstruction des 16 pilliers n ’accentue pas encore le défaut. Les blocs utilisés par Baraize pour reconstruire les piliers, ainsi que ceux que nous découvrîmes furent utilisés à la reconstruction comme éléments existants — tous ces blocs étaient très endommagés. Mais les siècles n ’en étaient pas la raison unique — presque 3.500 ans — ces dégâts d a ta n t de l’antiquité étaient l’oeuvre d ’une main consciente. Après la mort de la reine Hatchepsout on fit disparaître toutes les traces de son régne. Cent ans plus ta rd on effaçait de même les représentations d’Amon. Ensuite Ramsés II recouvrait les murs du temple de son nom. Et fin a le ment, à l’époque chrétienne, les représentations des divinités, fu ren t considérées comme celles de démons maléfiques, et fu ren t martelées. C’est ce précédent qui ren d it le trav a il beaucoup plus malaisé su rto u t dans le cas de la reconstruction des osiriaques. A en juger par les traces un certain nombre d’osiriaques fu re n t détachés des piliers mêmes; ensuite brisés et se trouvaient dans des carrières avoisinantes, tandis que certains fragments plus heureux sont au Musée de l ’Art Egyptien au Caire, d ’autres enfin ont été envoyés au Metropolitan Museum of Arts à New York. Les fragments que nous découvrons ma intenant sont déposés provisoirement dans le magasin constru it à cet effet sur le te rra in de fouilles ju sq u ’au moment de leur mise en (place. Au cours de la saison des fouilles 1962—63 nous avons recollé les fragments en obtenant 10 têtes et 3 torses. Dans ces conditions le portique ne peut être r e construit q u ’en partie, puisque l’on n ’a retro u v é qu’un nombre incomplet de blocs originaux. De l’ensemble des 192 blocs on ne put identifier que 89 et encore avec des manques importants. De même en ce qui concerne la reconstruction des architrave s: au début ils é ta ie n t 25, actuellement on ne peut reconstruire que 12 et encore en fragments. L ’importance de la reco n stru ction du portique est principalement la ferm etu re spatiale de la vue sur l’extérieur de l’édifice. Le fro n ton s ’orn e ra de quelques osiriaques dont les visages sont relativement bien préservés. De p a rt et d ’au tre des faces — les vestiges du nom de la reine. Des deux côtés des piliers des lambeaux de l’inscription perpendiculaire, couronnée d ’Horus représenté en vautour. La partie postérieure des piliers a moins souffert, ce que l’on ne peut pas dire malheureusement de leur partie supérieure, où se sont conservés intactes les vautours aux ailes ouvertes dans la position de dieux protecteurs. Pareillement les architraves sur lesquels les in scriptions avaient été martelées très précisément. Le principe de base des trav a u x de reconstruction est de ne pas toucher aux blocs originaux. La chose la plus difficile est de les compléter. On fa it alors un moulage en béton armé adhé rent à la base originale de manière à ce que le ciment complémentaire n ’adhère pas à la pierre et ne 1’ endommage pas. On arrive à ce résultat en recouvrant la pierre originale d’une toile de lin. Ensuite on plâ tre cette toile et l’on comble les manques par du ciment. Nos trav au x concernant la reconstruction des piliers du fronton sont en voie de réalisation. Nous avons utilisé jusqu’à maintenant 16 blocs originaux. La reconstruction de certains blocs sera réalisée dans un lapse de temps très court, suivant les plans détaillés conçus pour chacun d’eux. Quant aux plus de 10.000 blocs re stan t sur le te rra in du temple on devra les étudier conséquemment de manière à prép a re r les possibilités d’une reconstruction complète. La cour de la troisième terrasse Au cours des deux premières campagnes de fouilles en 1961—62 e t 1962—63 les trav au x avancèrent dans les profondeurs de la troisième terrasse, là où le temple adhère au rocher à la hauteur de 100 m. Ici se trouve une cour presque entièrement ruinée et mesu ran t 37 m sur 25 m. Seul un portique à 8 colonnes se tro u v an t près de l ’entrée du sanctuaire conserva sa forme architectonique. Il ava it été construit plus tard, à la période ptolémaïque, ce qui le différencie des autres parties du temple. La chose la plus urgente fu t de le protéger contre un effritement eventuel de la roche. Après des examens interminables e t des essaies on a pu avoir raison du danger, présenté par la roche menaçant de s’effondre, à l ’aide d ’un plâtrage léger. C’est à ce moment que l’on pu a rriv e r à un trav a il concret. On a trouvé quelques blocs très précieux avec des reliefs colorés en re tro u v an t sans aucune dificulté les endroits dont ils provenaient. Ensuite le nettoyage de la cour révéla quelque chose qui ju sq u ’à présent n ’avait pas a ttiré l’attention des savants: Le pavement de la cour fu t composé de blocs recouverts de reliefs colorés. Un examen plus approfondi démontra les suppositions émises au début, c’est à dire q u ’ici devait se tro u v e r l’emplacement d’une salle qui fu t le th é â tre d’une catastrophe et ceci encore 1000 ans avant n o tre ère. Le nombre des colonnes, architraves et des reliefs colorés donnent à penser qu ’il s’agissait ici d ’une salle hypostyle. Dans un proche fu tu r on réa lise ra le plan des emplacements de cette salle. Et plus ta rd sans aucun doute sa reconstruction partielle sera réalisée. A cet endroit ju sq u ’a ma intenant on n ’a reconstruit que le portique ptolémaïque se tro u v an t avant l’entrée du sanctuaire d ’Amon. La découverte d’un temple iconnu jusqu’à nos jours Entre le temple de Hatchepsout et le temple de Mentouhotep II et III, au pied de la paroi rocheuse se forma au cours des siècles un énorme éboulis. La menace pesait surtout sur le sanctuaire de Tothmes I relié à l’ensemble de Hatchepsout se tro u v an t au n o rd - ouest, le plus proche de l’éboulis. On décida d ’e x tra ire les débris du mur extérieur du sanctuaire et de l’ab riter d’un toit provisoire. Le début des trav a u x ne révéla rien d’intéressant. A la fin de mars 1962, on finit par trouver des grands blocs de calcaire, une pile de blocs de grés et finalement deux grandes figures de calcaire blanc. Leurs inscriptions nous les firen t identifier comme provenant de l’époque de Ramsès II. Nous en avons informé l’inspecteur égyptien, le Service des Antiquités et le Centre Polonais. Et chaque jour de nouveaux blocs, fragments de colonnes, d’architraves et de corniches furent m is .à jour... Nous avions dû interrompre notre trav a il ju sq u ’à la nouvelle campagne qui commença au mois d ’octobre 1962 et fu t terminée à la fin d’avril 1963. Nous découvrîmes alors nombre de colonnes et une grande partie d ’une terrasse du nouveau temple. Il n ’y avait plus aucun doute qu ’un temple in connu jusqu’alors fut découvert et qu’il n ’a jamais été mentionné dans aucune publication. Ce temple avait été construit à l’endroit le plus haut de la vallée Deir el Bahari, entre le temple des Mentouhoteps au Sud e t celui de Hatchepsout au Nord. Autrefois une rampe longue de plus de 100 m conduisait au temple à la h au teu r de 18 m. Seulement la partie inférieure s’est préservée; elle é tait connue au temps des fouilles de Naville mais personne ne pouvait deviner à quoi servait-elle. La partie découverte dernièrement c’est l’angle droit du temple. Les blocs trouvés au début c’é ta it le stylobate. Les lignes martelées indiquent l’épaisseur du mur. A l’inté rieur du mur il y avait deux rangs de colonnes au diamètres de 91 à 93 cm. La colonnade de même que le mur tournait à l’angle droit. De nombreuses colonnes se sont préservées jusqu’à 2 m de hauteur, des autres seules les bases sont restées. Elles étaient taillés en prismes 16-latérales, donc elles étaient de type „proto-dorique”. Ensuite nous avons mis à jour des bases encore plus grandes. Les deux types de colonnes nous font supposer que nous avons découvert une salle hypostyle. Les murs du temple é ta ien t recouverts d ’un riche relief coloré. Les fragments des blocs récupérés du débris en témoignent. Nous avons été obligés de construire un dépôt spécial pour emmagasiner, dresser l’inventaire et étudier ce grand nombre de fragments. La technique du relief est très différente des r e liefs beaucoup plus précis du temple de Hatchepsout. La technique des couleurs du nouveau temple est cependant beaucoup plus précise et souligne chaque détail. La fra îche r des couleurs est surprenante. Le nom de Tothmès III de la XVIIIe dynastie figurent sur de nombreux fragments des reliefs — p a r conséquant la provenance de ce temple ne présente aucun doute. C’était une idée bien audacieuse que de placer le temple entre deux autres, à l’endroit le plus h au t de la vallée et d ’employer un module architectonique plus grand que celui du temple plus ancien de H a tchepsout et d’au tan t plus que celui du temple de Mentouhotep. Les trois temples attachés à la roche escarpée créent l’ensemble de Deir el Bahari aux valeurs spatiales extrêmement intéressantes.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 2; 39-49
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Międzynarodowa akcja zabezpieczenia zabytków w Abu Simbel
ACTION INTERNATIONALE POUR LA SAUVEGARDE DES MONUMENTS HISTORIQUES À ABOU SIMBEL
Autorzy:
Dąbrowski, Leszek Marcin
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538480.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Abu Simbel
świątynie skalne
zapora pod Assuanem
dolina Nilu
zabytki Egiptu
prof. K. Michałowski
Polska Misja Archeologiczna
Ibsambul
Ramzes II
Dolina Nubii
projekty ochrony świątyń
przeniesienie świątyni w pociętych blokach
podniesienie świątyń w całości
Opis:
Parmi tant d ’autres monuments historiques, deux temples taillés en roc à Abou Simbel sont menacés par la montée des eaux du Nil, par suite à la construction du Haut Barrage d’Assuan à Saad el Ali. Au cours des 4 années (I960—IH963) plusieurs projets de sauvegarde des deux temples furent élaborés, à diverses dates et dans des conditions différentes. Notamment, les uns étaient faits sur commande, d’autres découlaient d’une idée spontanique, issue d’un milieu particulier ou même d’une seule personne. Abou Simbel est situé sur la rive du Nil, en basse Nubie, sur le territoire de la République Arabe Unie. Un climat sec, propre au desert, privé des précipitations atmosphériques redgne sur ces terrains. Des deux côtés du fleuve la rive est haute et roupestre. Elle est formée du grès nubien, très éventé et fissuré, par suite aux corrosions subies et dont la résistence s ’élève à 100—200 kg/cm2. Les temples creusés dans le roc se trouvent sur la rive occidentale. Les eaux du fleuve coulent à leur pieds. Durant de longs siècles les temples étaient engloutis sous le sable. On ne les découvrit qu’au début du X IX e siècle. Ils tirent leurs origines de l ’époque où .reignait en Egypte un de ses roix les plus actifs. Ramses II (env. 1298—1232 av. J. Ch.). L ’architecture de ces temps manifeste une préférence pour l’aménagement spacial des formes grandioses. Sur le territoire de la Nubie toute une suite de temples creusés dans les roches fut érigée à cette époque, dont les plus grands se trouvent à Abou Simbel: le grand temple qui appartenait au roi et le petit temple consacré à la déesse Hathor et à la reine Nefertari. Tous les deux se sont assez bien conservés à travers le temps, grâce à la couche de sable qui les a protégé pendant d ’assez longues années. Ce n’est que les hautes parties de la construction qui sont restées au découvert et qui sont endommagées , ainsi que le haut du colosse en pierre légèrement affa issé le long d’une fissure naturelle du roc. En règle générale, la cohésion des roches non-homogènes et cravassées, est due à l ’équilibre des poussées qui agissent au fond du massif. D’autre part chaque atteinte portée à cet équilibré peut entraîner des changements nettement défavorables pour la s t a bilité du terrain. L ’immersion des eaux, faisant suite à la construction du Haut-Barrage aura lieu entre la I-ère et la III-ème cataracte. Elle se répendra sur une longueur d ’environ 500 km. Les plans de la construction prévoient une montée d’eau progressive, jusqu’à 182 m d’altitude par rapport au niveau de la mer, c’est à dire environ 60 m. au-dessus du parquet du Grand Temple. Au cours de cet hiver 1964/65, le niveau des eaux montera déjà à 3 m. au-dessus du parquet du Grand Temple, ce qui oblige dès maintenant à construire un premier barrage de protection autour du temple pour rendre possible la continuation des travaux mis en train. Les trois premiers projets ayant pour but la sauvegarde des deux temples furent élaborés déjà vers la fin de l ’année 1960. Voilà, en résumé, leur caractéristique: _ 1. Projet de la protection des monuments „in situ” , autrement dit, à la place où ils se trouvent actuellement, par la construction d ’un batardeau fait de terre, d’enrochements et du limon du Nil. Ce batardeau entourerait les deux temples d’un demi-cercle, les protégeant du côté du fleuve. Les auteurs de ce projet, MM. A. Coyne et J. Bellier du Bureau F rançais des Constructions, furent Chargés par l’UNESCO d’élaborer des plans de protection, relatifs non seulement à la sauvegarde des deux temples mais aussi à la conservation des valeurs naturelles du site, qui les entoure. Les hautes valeurs plastiques de ce projet ont été généralement reconnues. 2. Exhaussement du monument en un seul bloc (Gazzola, Italie). Suivant ce projet chacun des deux temples serait découpé des roches qui l ’entourent, cerclé d ’une construction protectrice en béton armé et soulevé avec elle à l’aide de quelques centaines de vérins dont l ’action serait synchronisée. Un énorme socle se formerait au-dessous des deux temples et constituerait pour ces monuments une base d ’emplacement définitif. Le projet en question prévoit en plus d’autres travaux, notamment le revêtement rocheux des deux temples effectué en forme de collines artificielles sur le lieu de leur nouvelle localisation. Cette conception novatrice donna l ’essor à d’autres projets à base des moyens de protection semblables. 3. Protection des temples „in situ” par une suite de constructions aux formes concaves en béton armé cerclant les deux temples. Le massif tout autour serait rendu parfaitement étanche grâce à la méthode d’électro-osmose employée pour le renforcement des roches. Cette proposition envisage la protection des monuments à frais minime, toutefois elle ne prend pas en 'considération leur valeurs expositives (R. Cebertowicz, Pologne). Après avoir pris connaissance des projets précités il fut décidé que le 'projet français malgré ses incontestables valeurs ne peut être réalisé, étant donné la nécessité permanente d’éliminer l ’immersion des eaux extérieures. Le projet d’encercler les temples des constructions concaves rendrait difficile leur accès et leur visibilité. La conception italienne (P. Gazzola) du déplacement des monuments en un seul bloc fut adoptée au définitif le 20 juin 1961. Les spécialistes suédois du Bureau d’Etudes (VBB) ont adhéré aux travaux d ’élaboration technique de ce projet. Néanmoins, les frais de réalisation du projet précité se sont avérés très élevés, environ 80 millions de dollars. Craignant ne pas pouvoir rassembler des fonds adéquates et sous l’initiative de certains milieux intéressés, on procéda à une étude approfondie de ce problème, compte tenu cette fois des solutions plus économiques. En automne 1961, deux nouveaux projets de sauveigarde furent élaborés en Pologne:. 1. la construction de deux parois protecteurs légers, effectués en béton armé. 2. levage hydraulique en un seul bloc en utilisant la poussée verticale de l ’eau. Dans le premier des deux projets précités (L. Dąbrowski), on essaya de maintenir la conception de protéger les temples sans démontage ni déplacement. Le Grand Temple serait entouré d’un batardeau semi- ->drculaire dont le tracé aurait 160 m. de diamètre au plus et les parois 2 à 4 m. d’épaisseur. Une construction de forme cylindrique en béton armé entourerait le Petit Temple. Elle serait placée perpendiculairement, son tracé ne dépassant point 64 m. de diamètre. Une couverture en verre est placée à l’intérieur de cette construction, en mi-hauteur des p arois. Les deux constructions précitées sont reliées par un tunnel passant au-dessous des eaux. Une isolation serait effectuée du côté de la rive et sous les monuments, p ar un renforcement des roches à l’aide d’injonctions et de drainages. Le second projet
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 1; 3-29
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Współpraca partnerska wybranych małych miast w Polsce
Autorzy:
Dąbrowski, Leszek S.
Środa-Murawska, Stefania
Smoliński, Paweł
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1040794.pdf
Data publikacji:
2019-06-30
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Tematy:
miasta partnerskie
miasta siostrzane
małe miasta
współpraca partnerska
Polska
twin towns
sister cities
small towns
twinning
Polska
Opis:
Idea miast partnerskich jest koncepcją rozwijaną od czasu zakończenia II wojny światowej. W jej ramach miasta realizują wspólne cele gospodarcze, społeczne czy kulturowe. Do tej pory współpraca partnerska między miastami opisywana była głównie w kontekście miast dużych i średnich. W niniejszym artykule wypełniono lukę w badaniach współpracy międzynarodowej miast małych. Celem opracowania jest określenie ilościowego i przestrzennego wymiaru partnerstw zawartych przez wybrane małe miasta (od 10 000 do 15 000 mieszkańców) w Polsce. Ponadto dokonano oceny znaczenia współpracy partnerskiej oraz zakresu oddziaływania idei miast partnerskich na funkcjonowanie i rozwój małego miasta na przykładzie Nowego Miasta Lubawskiego. Wykazano, że analizowane małe miasta różnicują się pod względem liczby zawartych umów partnerskich, a najczęstszymi partnerami są miasta z najbliższej przestrzeni geograficznej – Niemiec, Czech i Ukrainy. Analiza treści umów partnerskich wskazuje, że cele nawiązywanej współpracy świadczą o bardzo dużym znaczeniu partnerstw dla małych miast w Polsce.
The idea of sister cities has been developed since the end of World War II. Within its framework, cities pursue common economic, social or cultural goals. Until now, twinning between cities has been described mainly in the context of large and medium-sized cities. This article fills a gap in research on international cooperation between small towns. The aim of the study was to determine the quantitative and spatial dimension of partnerships concluded by selected small towns (from 10 000 to 15 000 inhabitants) in Poland. The next part of the work was carried out on the example of a small town – Nowe Miasto Lubawskie. The importance of partnership cooperation was evaluated. The impact of the idea of partner cities on the functioning and development of a small town was also assessed. It was shown that analysed small towns differ in terms of the number of partnership agreements signed. The most frequent partners are cities from the nearest geographical area – Germany, Czech Republic and Ukraine. The analysis of partnership agreements shows that the idea of sister cities is very important for small towns in Poland.
Źródło:
Space – Society – Economy; 2019, 28; 29-44
1733-3180
2451-3547
Pojawia się w:
Space – Society – Economy
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zagadnienie ładu przestrzennego i jego percepcja
Autorzy:
Rogatka, Krzysztof
Starczewski, Tomasz
Dąbrowski, Leszek
Smoliński, Paweł
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/569828.pdf
Data publikacji:
2018
Wydawca:
Wydawnictwo Uniwersytetu Ekonomicznego we Wrocławiu
Tematy:
ład przestrzenny
percepcja
planowanie przestrzenne
nowy urbanizm
Opis:
Artykuł prezentuje problematykę dotyczącą ładu przestrzennego toruńskiej starówki, analizowanego przez pryzmat opinii mieszkańców miasta. Przedmiotowe zagadnienie zostało odniesione do kwestii nowego urbanizmu, będąc jego integralnym składnikiem. Ład przestrzenny, jako istotny element wpływający na funkcjonowanie miasta, postrzegany jest różnie przez poszczególne grupy wiekowe, które jednak zgodnie twierdzą, że odgrywa on ważną rolę w mieście, ponieważ buduje jego klimat i jest gwarantem dobrej jakości życia. Z przeprowadzonych badań wynika, że Stare Miasto w Toruniu jest enklawą ładu przestrzennego i w ten sposób postrzegane jest przez mieszkańców – użytkowników przestrzeni. Zespół Staromiejski w Toruniu jest przykładem realizacji idei nowego urbanizmu, która łączy kompleksowo uwarunkowania przestrzenne z oczekiwaniami mieszkańców.
Źródło:
Ekonomia XXI Wieku; 2018, 4 (20); 63-73
2353-8929
Pojawia się w:
Ekonomia XXI Wieku
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Dyspersja odstępu QT przedwczesnych pobudzeń komorowych w ocenie rokowania po przebytym zawale serca. Porównanie z wartością innych nieinwazyjnych badań diagnostycznych
Autorzy:
Dąbrowski, Andrzej.
Kubik, Leszek.
Kramarz, Elżbieta.
Powiązania:
Lekarz Wojskowy 1999, nr 7/8, s. 377-382
Data publikacji:
1999
Tematy:
Zawał serca
Choroby serca
Leczenie
Opis:
Tytuł także w jęz. ang.
Rys., tab.; Bibliogr.; Streszcz., Sum.
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł
Tytuł:
Agroturystka w Dolinie Bugu na terenie województwa mazowieckiego
Autorzy:
Radwańska, Katarzyna
Dąbrowski, Dominik
Sókół, Janusz Leszek
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1504694.pdf
Data publikacji:
2020
Wydawca:
Akademia Bialska Nauk Stosowanych im. Jana Pawła II w Białej Podlaskiej
Tematy:
województwo mazowieckie
gospodarstwa agroturystyczne
agroturystyka
dolina Bugu
agritourism
agritourism farms
Masovian Voivodeship
Bug valley
Opis:
Streszczenie W pracy przedstawiono podejmowane formy wypoczynku na wiejskich terenach gmin nadbużańskich województwa mazowieckiego, a także bariery oraz czynniki, które w opinii właścicieli gospodarstw położonych na terenie tych gmin sprzyjają działalności agroturystycznej oraz ekoagroturystycznej. Materiał i metody Badania, metodą sondażu diagnostycznego, przeprowadzone zostały w 2018 roku w gminach leżących w dolinie rzeki Bug, położonych na terenie województwa mazowieckiego. Uczestniczyło w nich 36 właścicieli gospodarstw agroturystycznych, których gospodarstwa uznane były za konwencjonalne bądź ekologiczne, lub były w fazie przekształcenia z produkcji konwencjonalnej na ekologiczną. Wyniki Badania wykazały, iż turyści z form aktywności najczęściej wybierają turystykę pieszą, rowerową oraz spacery, natomiast najrzadziej: angażowanie się w prace gospodarstwa. Wnioski W opinii respondentów czynnikami mającymi największy wpływ na rozwój agroturystyki w Dolinie Bugu są walory przyrodnicze, a także cisza i spokój panujące w okolicy, natomiast największymi barierami - obawa przed zainwestowaniem, brak własnych środków finansowych oraz trudny dostęp do środków pomocowych.
Źródło:
Rozprawy Społeczne; 2020, 14, 1; 110-124
2081-6081
Pojawia się w:
Rozprawy Społeczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Development of the Market of Traditional Food Products in the Lubuskie Region in the Years 2006-2020
Autorzy:
Kułyk, Piotr
Kaźmierczak-Piwko, Leszek
Dybikowska, Adrianna
Dąbrowski, Arkadiusz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2064831.pdf
Data publikacji:
2020
Wydawca:
STE GROUP
Tematy:
sustainable development
agriculture
distribution network
food products
Opis:
The paper discusses the issue of the development of the market of traditional food products in the Lubuskie province. Legal and institutional aspects of the development of the market are presented and the significance of the system of the European Union is stressed. The analysis was carried out from the point of view of sustainable development of the sector and according to the product structure as well as location of selected elements of the system of distribution. The aim of the paper is to identification and structuring of traditional food products in the Lubuskie region. Types of traditional products manufactured and sold on the market are presented, the research was conducted on the basis of secondary sources by means the analysis of information provided by the Ministry of Agriculture and Rural Development in the years 2006-2020. Changes which have taken place in the system of distribution are shown, and in particular local market places offering direct contact between producers and consumers of regional products. The analysis demonstrates increased interest in this market among regional producers.
Źródło:
Multidisciplinary Aspects of Production Engineering; 2020, 3, 1; 745--753
2545-2827
Pojawia się w:
Multidisciplinary Aspects of Production Engineering
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
The Rural Development Program as an instrument to support the technological modernization of agriculture. Lubuskie case study
Autorzy:
Kaźmierczak-Piwko, Leszek
Dąbrowski, Arkadiusz
Janiak, Radosław
Świstak, Patrycja
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/27315533.pdf
Data publikacji:
2022
Wydawca:
STE GROUP
Tematy:
economic instruments to support agricultural development
rural development
agricultural economy
modernization of agricultural technologies
agricultural production
rural development program
agriculture in the EU
sustainable agriculture
Opis:
The article deals with the issue of supporting the technological modernization of agriculture by investing in infrastructure surrounding the farms with the use of a financial instrument in the form of the Rural Development Program (RDP) based on the Lubuskie Voivodeship. The article describes, among other things, the importance of infrastructure and support for its development in rural areas in the process of functioning and modernization of the agricultural sector. For the purposes of the article, the data obtained from the Department of Rural Development Programs of the Lubuskie Marshal’s Office on expenditure and effects of RDP use in 2007-2020, in infrastructure investments in rural areas of the Lubuskie Voivodeship was analysed. In the article, the authors attempted to present the instrument in the form of the Rural Development Program as a tool for indirect impact on the process of modernization and transformation of agriculture in the Lubuskie Voivodeship, primarily by changing the infrastructural conditions for the functioning and development of agricultural production in rural areas.
Źródło:
Management Systems in Production Engineering; 2022, 4 (30); Bibliogr. 31 poz., rys., tab.
2299-0461
Pojawia się w:
Management Systems in Production Engineering
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Characteristics of selected aspects of activities of agritourism farms in the Bug valley in the province of Lubelskie
Autorzy:
Sokół, Janusz Leszek
Dąbrowski, Dominik
Radwańska, Katarzyna
Jalinik, Mikołaj
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1391086.pdf
Data publikacji:
2020
Wydawca:
Wyższa Szkoła Bankowa w Poznaniu
Tematy:
agritourism
agritourism farms
Lubelskie province
Bug valley
Opis:
The article presents characteristics of selected aspects of activities undertaken by agritourism farms, including forms of recreation in rural communes situated along the Bug River in the province of Lubelskie, with special emphasis on what farm owners regard as barriers to and enablers of agritourism and eco-tourism. Information used in the study was collected in a survey carried out in 2018 in communes located in the Bug River valley in three provinces: Lubelskie, Podlaskie and Mazowieckie, which involved 99 owners of agritourism farms, classified either as conventional or organic, or undergoing conversion from conventional to organic production. It was found that hiking, cycling and walking were the most frequently chosen forms of leisure activities. According to the respondents, the development of agritourism in the Bug River Valley is most enabled by the region’s natural values, especially the peace and quiet provided by the area, while the fear of investing and the lack of financial resources are the biggest barriers to such development. The results of the study reveal differences and similarities in the perception of agritourism and ecotourism by owners of farms in the Bug valley in Lubelskie Province compared to the whole sample including two other provinces .The development of rural tourism in Lubelskie Province is hampered by the seasonality of the offering, no habit of weekend recreation and, generally, the low popularity of this form of recreation.
Źródło:
Studia Periegetica; 2020, 29(1); 99-113
1897-9262
2658-1736
Pojawia się w:
Studia Periegetica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Polish DGPS system: 1995–2017 – study of positioning accuracy
Autorzy:
Specht, Cezary
Smolarek, Leszek
Pawelski, Jan
Specht, Mariusz
Dąbrowski, Paweł
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/259085.pdf
Data publikacji:
2019
Wydawca:
Politechnika Gdańska. Wydział Inżynierii Mechanicznej i Okrętownictwa
Tematy:
Polish DGPS system
positioning accuracy
position accuracy measures
Opis:
This paper is the fourth in a series of publications presenting the process of installation, testing and long-term assessment of the navigational parameters of the Polish DGPS system. This series of publications intends to present – to the general public – the accomplishments of teams of Polish scientists who have been working for years to make the DGPS the main positioning system used in the Polish sea areas. A considerable part of the materials presented in this paper has never been published. The article presents changes in the position accuracy of the Polish DGPS system over 20 years. Both dynamic tests performed on vessels as well as static measurements campaigns were analysed. The publication contains selected results achieved in its installation and testing in 1995–1997 supplemented with the results of studies conducted in the years: 2006, 2010, 2014, 2017. During this period the position accuracy increased from 2–8 m (1996) to approx. 1–2 m (2010) due to three reasons: turning – off the Selective Availability (2000), technical modernization of reference stations (2010) and continuous – over many years – reducing GPS signal-in-space pseudorange errors, which results in increased position accuracy in all GPS augmentation systems.
Źródło:
Polish Maritime Research; 2019, 2; 15-21
1233-2585
Pojawia się w:
Polish Maritime Research
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
The reasons for choosing a leisure destination in the rural areas of the Bug River Valley in tourists` opinion
Motywy wyboru miejsca wypoczynku na obszarach wiejskich doliny rzeki Bug w opinii turystów
Autorzy:
Dąbrowski, Dominik
Jalinik, Mikołaj
Sokół, Janusz Leszek
Radwańska, Katarzyna
Szwedo, Jakub
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2049779.pdf
Data publikacji:
2021
Wydawca:
Fundacja Ekonomistów Środowiska i Zasobów Naturalnych
Tematy:
Bug River Valley
tourism
choice of location
dolina Bugu
turystyka
wybór miejsca
Opis:
The aim of the study was to identify factors that may determine the choice of leisure destination as a form of tourism in the rural areas of the Bug River Valley. The analysis of these factors also considered the nationality of the people surveyed. A total of 148 people took part in the study: 73 of Polish nationality (45 women and 18 men) and 75 foreigners, mainly Belarusians (51 women and 24 men). It was found that Polish tourists most often chose to spend leisure time in guesthouses/hotels or the houses of friends and family, while international tourists rest mainly in the houses of friends and family. Regardless of their nationality, the majority of tourists were satisfied with their stay in selected facilities, highly rating the communication, accommodation, catering and cycling routes and trails. The factors determining the choice of their place of stay, irrespective of nationality, were peace and quiet, attractive surroundings and convenient location. Respondents rested most frequently with family or friends. Polish tourists preferably used catering from the owners of holiday facilities, while foreigners cooked their own meals.
Celem pracy było określenie czynników, które mogą decydować o wyborze miejsca wypoczynku jako formy turystyki na obszarach wiejskich doliny rzeki Bug. Analiza tych czynników uwzględniała też narodowość badanych osób. W badaniach przeprowadzonych w 2020 roku wzięło udział 148 osób: w tym 73 narodowości polskiej (45 kobiet i 18 mężczyzn) i 75 obcokrajowców, głównie Białorusinów (51 kobiet i 24 mężczyzn). Stwierdzono, że turyści z Polski najchętniej wypoczywali w pensjonatach/hotelach, znajomych, w gronie rodziny, natomiast obcokrajowcy – głównie u znajomych i w gronie rodziny. Większość turystów, niezależnie od narodowości była zadowolona z pobytu w wybranych przez siebie obiektach, wysoko oceniając funkcjonującą tam bazę komunikacyjną, noclegową, gastronomiczną oraz szlaki i trasy rowerowe. Czynnikami decydującymi o wyborze ich miejsca pobytu, niezależnie od narodowości była cisza i spokój, atrakcyjne otoczenie oraz dogodna lokalizacja. Badani odpoczywali najczęściej w gronie rodziny lub znajomych/przyjaciół. Polscy turyści najchętniej korzystali z wyżywienia właścicieli obiektów wypoczynkowych, natomiast obcokrajowcy przyrządzali posiłki samodzielnie.
Źródło:
Ekonomia i Środowisko; 2021, 4; 149-161
0867-8898
Pojawia się w:
Ekonomia i Środowisko
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Czynniki decydujące o funkcjonowaniu i rozwoju gospodarstw agroturystycznych w dolinie Bugu na przykładzie województwa podlaskiego
Analysis of factors determining the functioning and development of agritourism farms in the Bug valley on the example of Podlaskie Voivodeshi
Autorzy:
Dąbrowski, Dominik
Radwańska, Katarzyna
Sokół, Janusz Leszek
Zbucki, Łukasz
Isakova, Yuliya
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/chapters/32381076.pdf
Data publikacji:
2020
Wydawca:
Politechnika Białostocka. Oficyna Wydawnicza Politechniki Białostockiej
Tematy:
gospodarstwa agroturystyczne
województwo podlaskie
dolina Bugu
agritourism farms
Podlasie voivodeship
Bug valley
Opis:
Opracowanie dotyczy oceny podejmowanych form wypoczynku na wiejskich terenach doliny Bugu w województwie podlaskim w opinii właścicieli gospodarstw agroturystycznych, jak również oceny czynników sprzyjających rozwojowi turystyki wiejskiej na badanym obszarze. Badania przeprowadzono w 2018 roku na terenie trzech województw w gminach położonych w bliskim sąsiedztwie doliny rzeki Bug na terenach Polski. Uczestniczyło w nich 99 właścicieli gospodarstw agroturystycznych, których gospodarstwa uznane zostały tak za konwencjonalne, jak i ekologiczne, bądź znajdowały się w fazie przekształcania z produkcji konwencjonalnej na ekologiczną. Jednym z głównych motywów podejmowania przez nie działalności agroturystycznej była realizacja własnych potrzeb w dziedzinie turystyki oraz realizacja hobby. Z przeprowadzonych badań wynika, że osobami najczęściej goszczącymi w gospodarstwach agroturystycznych byli turyści indywidualni oraz rodziny z dziećmi. Ich głównym rodzajem aktywności była turystyka piesza oraz spacery, odwiedzanie miejsc kultu religijnego i obserwacja przyrody. Zdaniem respondentów najważniejszymi czynnikami rozwoju agroturystyki były walory przyrodnicze doliny Bugu, a także możliwość poznania kultur, tradycji i obyczajów, jak również cisza i spokój. Przy okazji wskazano także potrzebę zmiany mentalności i nastawienia innych mieszkańców do turystów. Z kolei ograniczeniem rozwoju działalności eko-agroturystycznej okazał się najczęściej brak własnych środków finansowych, a także obawa przed niewłaściwym ich zainwestowaniem. Wśród przyczyn braku chęci zwiększenia poziomu ekologizacji gospodarstw wskazywano natomiast nadmiar działań przygotowawczych i kontrolnych oraz konieczność zwiększenia nakładów pracy. Wskazywano także niską opłacalność przy dużych nakładach finansowych oraz zbyt małe zainteresowanie ekologicznym charakterem działalności gospodarstwa przez turystów.
The research was carried out in 2018 in three voivodeships or provinces in municipalities located in close proximity to the Bug river valley in Poland. The focus was 99 owners of agritourism farms, whose farms were considered to be conventional, ecological, or were in the transformation stage from conventional to organic production. The presented work concerns the assessment of undertaken forms of recreation in the rural areas of the Bug valley in the Podlasie voivodeship in the opinion of owners of agritourism farms. The paper also includes evaluation of factors conducive to the development of rural tourism in the studied area. A significant motive to engage with agritourism by the hosts was the realization of their needs in the field of tourism and the implementation of a hobby. According to the research, the most frequent visitors on agritourist farms were individual tourists and families with children. The kind of activity undertaken by the guests was hiking and walking, visiting places of religious worship and observation of nature. In the view of the respondents, the most important factors for the development of agritourism were the natural values of the Bug valley, as well as the opportunity to experience cultures, traditions and customs, as well as peace and quiet. Lack of own financial resources, as well as fear of improper investment, were most often a limitation of the development of eco-agritourism activities. Among the reasons for the lack of willingness to increase the level of the greening of farms, was an excess of preparatory and control activities and the need for more work, low profitability with large financial outlays and too little interest in the tourists ecological character of the farm were indicated.
Źródło:
Obszary przyrodniczo cenne w rozwoju turystyki; 166-183
9788366391246
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
1 IX : szer. pil. Benedykt Dąbrowski, 114 Eskadra Myśliwska, Brygada Pościgowa.
Autorzy:
Dąbrowski, Benedykt.
Powiązania:
My i oni: wrzesień 1939: relacje i wspomnienia lotników polskich i niemieckich / wybór tekstów Damian Majsak Lublin, 1994 S. 42-43
Współwytwórcy:
Majsak, Damian. Wybór
Kosiński, Leszek. Tłumaczenie
Danilczuk, Robert. Redakcja
Tematy:
114 Eskadra Myśliwska
Brygada Pościgowa (Wojsko Polskie ; 1918-1939)
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł
Tytuł:
Liquid crystal optical devices for light beam modulation and processing
Autorzy:
Kłosowicz, Stanisław J.
Jaroszewicz, Leszek R.
Dąbrowski, Roman.
Nowinowski-Kruszelnicki, Edward.
Walczak, Andrzej.
Powiązania:
Biuletyn Wojskowej Akademii Technicznej 1999, nr 4, s. 75-86
Data publikacji:
1999
Tematy:
Optyka urządzenia
Światłowody
Modulatory światła ciekłokrystaliczne
Opis:
Ciekłokrystaliczne urządzenia optyczne do modulacji i obróbki wiązki świetlnej.
Rys., tab.; Bibliogr.; Abstr., Rez., streszcz.
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł

Ta witryna wykorzystuje pliki cookies do przechowywania informacji na Twoim komputerze. Pliki cookies stosujemy w celu świadczenia usług na najwyższym poziomie, w tym w sposób dostosowany do indywidualnych potrzeb. Korzystanie z witryny bez zmiany ustawień dotyczących cookies oznacza, że będą one zamieszczane w Twoim komputerze. W każdym momencie możesz dokonać zmiany ustawień dotyczących cookies