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Tytuł:
Streszczenie referatów, komunikatów i dyskusji z konferencji w Myczkowcach, 15-18 maja 1967 r.
RÉSUMÉ DES RAPPORTS, DES COMMUNIQUÉS ET DE LA DISCUSSION AU COURS DE LA CONFÉRENCE DE MYCZKOWCE LE 15 —18 MAI 1967
Autorzy:
Krzyżanowski, Lech
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535627.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
konferencja w Myczkowcach 1967
organizacja parków etnograficznych
rozkład drewna
starzenie się drewna
ochrona i konserwacja drewna
zagrzybienie w budownictwie
Opis:
La Conférence de Spécialistes à Myczkowce ayant lieu Rzeszów et par les Groupements Économiques Unifiés du 15 au 18 mai 1967, fut organisée par la Direction INCO — principal producteur des composés chimiques des Musées et de la Protection de Monuments Histo- pour la conservation du bois. 145 personnes y partiriques près le Ministère de la Culture et des Arts, par ripaient: ethnographes, historiens de l’art, conservala Présidence du Conseil National de la voïvodie de teurs, architectes, représentants des centres d’études et de recherches, chimistes travaillant à la production des oomposés susmentionnés. 18 rapports et communiqués ont été présentés au cours de la Conférence, parmi lesquels les plus importants ont été publiés dans le présent numéro de la „Protection des Monuments”. Les rapports et la discussion se sont concentrés sur trois principaux problèmes: 1. organisation et principes d’aménagement des parcs ethnographiques, 2. structure du bois et causes de sa décomposition, 3. protection et conservation du bois. Parmi les rapports envisageant le premier de ces problèmes, outre les sujets généraux (rapport du prof, dr K. Piwocki) l’on a analysé les divers types de la construction en bois dans l’architecture des villages en Pologne, les méthodes contemporaines de la documentation ethnographique et architecturale. Quelques réalisations des parcs ethnographiques en Pologne furent relationnées. La discussion, en règle générale, se limita à l’analyse des méthodes de travail dans l’organisation des parcs ethnographiques. On attira l’attention sur les lacunes dans les prescriptions de la législation actuelle. Les prescriptions en vigueur concernant l’acceptation des projets architectoniques ainsi que les principes de la planification spatiale ne prennent pas en considération les besoins spécifiques quant à l’aménagement des musées en plein air, nouvellement institués. On a donc postulé Ile complètement des prescriptions actuelles. Il serait aussi indispensable que les ethnographes puissent dire leur mot lors de l’acceptation des plans de l’aménagement spatial dans la région des parcs ethnographiques pour sauvegarder la valeur esthétique du site. En ce qui concerne le second problème l’échange des opinions a surtout porté sur les causes de la destruction du bois (rapport du prof, dr F. Krzysik, et du doc. dr J. Ważny). Le dr J. Dominik indiqua les espèces des insectes qui s’attaquent au bois endommagé par les champignons et celles dont le développement est conditionné par d’autres facteurs. Certaines espèces d’insectes attaquent le bois seulement à partir ou jusqu’à un certain âge. L’on pourrait donc établir la notion de la „barrière chronologique”. La discussion au sujet des causes de la destruction du bois a éveillé le plus vif intérêt. L’attention fut attirée tout spécialement sur les champignons qui provoquent la décomposition du bois par la moisissure (doc. dr J. Ważny) ainsi que sur les facteurs mécaniques qui engendrent le processus de vieillissement des fibres de la cellulose; à l’occasion — on a souligné l’effet des changements thermiques et des variations du degré d’humidité et du rayonnemmemt dans l’hydrolyse et l’oxydation du bois, ainsi que la nécessité de définir la limite réelle de la longévité du bois de construction (soumis et non soumis aux traitements de conservation) dans les conditions polonaises. Ceci pourrait avoir une importance capitale pour apprécier s’il est utile ou non de conserver des éléments de construction en bois authentiques dans les monuments anciens soumis aux interventions des conservateurs. En ce qui concerne le problème nro 3 — un échange d’opinions a eu lieu entre les praticiens qui depuis plusieurs années procèdent aux traitements de conservation avec les nouveaux spécifiques qui leur sont fournis. Il fut établi que les produits polonais servant à l’imprégnation ainsi que les fongicides et insecticides égalent le standard mondial. Néanmoins ils ont aussi de nombreux caractères nettement négatifs, tels que, en premier lieu, une faible durabilité d’où ressort la nécessité de procéder aux mêmes traitements tous les 4 à 5 années. On a également reconnue comme négative la haute toxicité des produits chimiques rendant plus difficile l’organisation des travaux de conservation, leur arôme durable et irritant, la résistance amoindrie du bois à l’action du feu (lors de l’emploi des produits huilés). Parmi les nombreux postulats adressés aux producteurs fut posé celui de procéder à la production d’un produit pour la conservation des toits de chaume et de jonc, à la préparation d’un liant pour les masses de sciures employées pour compléter les manques, à la fabrication des émulsions de haute qualité pour consolider les couches picturales écaillées. Selon l’avis du dr ing. J. Czajnik il est possible de produire — à base des matières existant dans notre pays — une préparation complexe qui rendrait le bois réfractaire à l’action du feu tout en ayant aussi des particularités fongicides et insecticides. On a postulé en même temps d’étendre un contrôle permanent, par un groupe de spécialistes, sur les bâtiments historiques en bois. Les matériaux ainsi ammassés permettraient d’établir un plan à longue échéance de réparations et restaurations dans lequel la décontamination fongicide constituera un travail préliminaire. L’étroite collaboration de l’INCO, producteur des préparations chimiques de conservation, avec les ateliers de conservation et la majorité des parcs ethnographiques en Pologne permet de considérer comme favorables les perspectives qui s’ouvrent dans ce domaine. L’on peut s ’attendre à de nouveaux progrès sur le plan de la protection des monuments en bois, étant donné l’intérêt particulier que lui porte la Direction des Musées et de la Protection des Monuments historiques.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1968, 1; 39-46
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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