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Wyszukujesz frazę "zabezpieczenie ruin" wg kryterium: Temat


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Tytuł:
Opracowanie trwałej ruiny Pałacu Ujazdowskiego w Warszawie
TUDE SUR LA CONSERVATION DU CHATEAU D’UJAZDOW A VARSOVIE EN ETAT DE RUINE
Autorzy:
Gruszecki, Andrzej
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536685.pdf
Data publikacji:
1967
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Pałac Ujazdowski w Warszawie
rezydencja Lubomirskiego
rezydencja Zygmunta III
zabezpieczenie ruin Pałacu Ujazdowskiego
zasada rozwarstwienia chronologicznego
Opis:
Le Château d’Ujazdôw à Varsovie se range parmi les résidences de première classe érigées au XVIle siècle en Pologne. Sa construction fut entreprise vers 1619 sur l’ordre du roi Sigismond III Waza. Par deux fois l’on procéda aux remaniements fonciers du château, notamment dans la deuxième décennie du XVIIIe siècle — les transformations apportées par le roi Auguste II Wettin et dans la septième décennie de ce siècle — par le roi Stanislas Auguste Poniatowski. Après 1780 le château subit une nouvelle transformation: il est amétiagé en caserne selon des plans établis par l’architecte Stanislas Zawadzki. Au XIXe siècle il est affecté au service d’un hôpital militaire. Brûlé par les Allemands au cours de la deuxième guerre mondiale, le château a subit, quelques années plus tard, un démontage partiel de ses ruines. La conservation du château en état de ruine, malgré que sa conception actuelle semble déroger des principes de l\êcole anglaise à ce sujet, constitue en Pologne un premier essai de leur mise en réalisation, en tenant compte toutefois des conditions spécifiques de notre pays e t de l’état dans lequel se trouve le monument considéré. Les murs du rez-de-chaussée se sont conservés jusqu’à une hauteur de plusieurs dizaines des centimètres en comptant à partir du plancher qui provient du XVIIe siècle. Des transformations consécutives ont troqué l’ordonnance simple des intérieurs contre un enchevêtrement complexe des pièces et des corridors desservant de nombreux locaux. Le dessin des murs conservés, pour éviter d’en faire une mosaïque de lignes compliquées a dû être sensiblement modifié afin de le rendre lisible. En procédant donc au selectionnement des murs, l’on a profité de la stratification chronologique, faisant ressortir, à 1’ aide de la hauteur différenciée des murs, l’ordonnance la plus frappante celle de l’époque des Waza (XVIIe s.) Les murs qui en relèvent ont été conservés jusqu’à 60—80 cm d’hauteur tandisque les constructions ultérieures n’arrivent qu’à 15—20 cm d’ hauteur. En débarassant les caves de leurs murs de refend, construits plus récemment, l’on a dévoilé la belle ordonnance des pièces recouvertes de voûtes retombant sur des piliers. La grande superficie du château, dont les murs forment actuellement comme un dessin en „bas-relief”, a conditionné la recherche d’un point de repaire assez haut placé pour donner une vue de la ruine, pour ainsi dire „à vol d’oiseau”. A ces fins, un monticule des gravois a été élevé un peu en retrait de la ruine, abrité des deux côtés par la verdure, pour ne pas constituer une dominante à part contrebalançant l’effet de la ruine. Sur le petit plateau, surplombant le monticule, une représentation plastique du château est prévue. Sa disposition serait parallèle à celle de la ruine vue d’en haut. En comparant la ruine et la reconstruction représentative du château, les touristes pourront plus facilement comprendre quelle était l’ordonnance des murs, leur échelle et l’aspect général du monument. Conformément aux principes anglais de la conservation des ruines, celles-ci ont été incrustées dans une verdure coupée au ras du sol, rigoureusement enlevée des murs et des soubassements. Les parois des murs ont été refaites et ravalées de façon à les rendre étan-: ches. Une modification aux principes anglais, qui d’ailkurs se fait voir également dans certaines ruines en Angleterre, a été apportée par des sentiers tracés le long du parcours touristique &t par l’introduction du pavement de la cour, conformément à son état historique. La stratification chronologique des murs grâce à laquelle l’ordonnance de la ruine est plus lisible, ainsi que l’étude détaillée des conditions du tra fic touristique et la construction du monticule surplombant la ruine pour en obtenir une vue d’ensemble, tout ceci constitue un développement des procédés anglais dans ce domaine. Il en est de même en ce qui concerne le projet de la verdure haute pour le site environnant, conçu sur deux plans, l’un géométrique, pour mettre en lumière l’aménagement axial de Stanislas Auguste (XVIIIe s.), l’autre, libre pour la verdure qui encadre et isole la ruine. En ce qui concerne la reconstruction, réduite d’ailleurs au stricte nécessaire, l’on s’est servi d’un matériel nouveau qui diffère légèrement du matériel originaire: la brique contemporaine. Pour les nouveaux éléments de l’aménagement, ceux du service touristique par ex., ils furent exécutés en matériel nettement différent: béton armé et acier.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1967, 1; 3-18
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
ZAMEK CZORSZTYN ZABYTKOWA RUINA W PARKU NARODOWYM
CZORSZTYN CASTLE HISTORICAL RUIN IN A NATIONAL PARK
Autorzy:
Stępień, Piotr M.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538794.pdf
Data publikacji:
2005
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Zamek Czorsztyn
zabytkowa ruina
warownia
Baszta Baranowskiego
Park Narodowy w Pieninach
dziedzictwo kulturowe
uroczysko
zabezpieczenie ruin
Alfred Majewski
Zieleniec
Opis:
Researchers have acknowledged that the oldest fortress on the site of the present-day castle was built during the third quarter of the thirteenth century and became known as “Wronin”. The castle named “Czorsztyn”, expanded and redesigned upon numerous occasions starting with the fourteenth century, played the part of a custom house, the seat of the office of a starosta not associated with the castletown, and a royal residence located next to an important route to Hungary. In 1629-1643 starosta Jan Baranowski, the count of Jastrzębiec, basically redesigned the object. The downfall of the castle began with its devastation in 1734-1735, and final collapse was caused by a fire which broke out in 1790. From that time on, the castle remained a ruin. This was the state in which it was discovered by nineteenth-century tourists and artists, becoming part of the Polish Romantic tradition. Attempts at preserving the ruins were made already during the nineteenth century and the first half of the twentieth century by the owners of the castle, members of the Drohojowski family. A natural reserve was created in 1921 after rare (endemic) species of plants were found amidst the ruins. During the 1950s limited preservation work was conducted after the monument was taken over by the State Treasury. Changes in the surrounding environment caused by the construction of an artificial water reservoir made it necessary to embark upon wider conservation undertakings, realised since 1992 by the present-day administrator of the monument, i. e. the Pieniński National Park, according to projects by Piotr M. Stępień, an architect, and Dr. Stanisław Karczmarczyk, an engineer. The basic conservation premise accepted by all the variants and stages of the project is to preserve the characteristic silhouette of the ruins of Czorsztyn Castle in view of its above mentioned role played in Romantic tradition and connections with the protected landscape of the Pieniny Mts. The process of securing relics uncovered in the course of research and opening the ruins to visitors calls for the introduction of roofs, stairs and gangplanks within the object. From the viewpoint of construction, the basic method of protection proved to be the recreation of selected elements of the historical ceilings, arches, etc., supplemented by means of injections and roof bolting in the case of threatened fragments of the walls. The author lists the reasons and consequences of resorting to this particular method. Heretofore efforts have managed to maintain the accepted conservation premises. The correctness of the selected conservation trend is confirmed by the large numbers of visitors and their approval for the object. By using the example of Czorsztyn, the author analysed the conservation of historical ruins, claiming that the threats posed to historical ruins include the doctrine of non-intervention and unhampered fantasy. As a rule, a radically conceived principle of nonintervention signifies consent to the annihilation of the historical ruin in the near future. A similar threat is posed by reconstruction which enters into the domain of fantasy, unsupported by iconography or the outcome of architectural research. By restoring the utilitarian and technical value of the given object, such reconstruction destroys its historical merits, sometimes irreversibly. A wide field of professional solutions located between those two radical attitudes, makes it possible to preserve an object without losing any of its historical qualities.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2005, 1; 5-28
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Techniczno-biologiczna metoda zabezpieczania i ekspozycji murów trwałych ruin
A TECHNICAL AND BIOLOGICAL METHOD OF THE PROTECTION AND EXHIBITION OF WALLS OF PERMANENT RUINS
Autorzy:
Przyłęcki, Mirosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535865.pdf
Data publikacji:
1981
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
techniczno-biologiczna metoda zabezpieczania murów
konserwacja zespołów trwałych ruin
metoda biologicznej konserwacji trwałych ruin
zabezpieczenie korony murów warstwą biologicznie aktywną
Opis:
A proper protection, preservation and display o f the complexes o f permanent ruins, which, as a role, are incomplete, destructed and often in the state of decay, is not an easy task. Although there is no question o f adapting them for utility purposes, still the problem of a proper display o f permanent ruins and their elements, which differ in their condition and thus it is often difficult to interpret them, gains in importance in terms o f didactic, scientific and aesthetic values. At present one can distinguish the following three main trends in the works carried out on the ruins: 1) Full or partial reconstruction o f the missing sections or parts o f fortifications 2) Petrification, conservation of the remains preserved without the introduction o f reconstructed elements 3) Conservation of defensive complexes with the partial making-up o f the substance in fragments connected with a technical structure o f the building (parts of the facing, missing parts in the walls, roofing of the turrets, etc.). It seems that a higher effectiveness of conservation treatment as well as its lower cost and speeding-up may be achieved by the examination and introduction of rather unusual, not well-known and rarely employed biological and chemical methods. The biological method would consist in selecting proper plants that would grow in upper parts o f petrified ruins that are most exposed to destruction and in this way give them a specific charm. Basing on preliminary findings it is possible to identify the main features of the plants to be used for the conservation of permanent ruins. In the first place, the following characteristics should be mentioned : — ability to overgrow self-sown plants (trees, bushes), — small overground height (10—30 cm), — ability to grow without cultivation (i.e. weeding, watering, mowing, fertilizing), — ability to form a compact and strong underground structure (rhizomes, roots)without,however,destructive tendencies (showing and growing through walls, etc.), — resistance to frost, — resistance to drought, — resistance to insolation, — ability to grow on small patches o f soil (e.g. on the area of 1 square m. and 10—20 cm wide), — resistance to wind (adhesiveness), — a relatively long period o f the annual vegetation in green (from early spring to late autumn), — long duration (best o f all if unlimited or at least for a few years), — aesthetic values (colour, form, flower), — a relatively insignificant threat to adjacent squares or cultivations with weed-growing or a disturbance in the compositional balance or economic effects, — easy to grow at different heights, — low costs o f planting and cultivating. The author discusses details of introducing such a method on selected complexes o f fortifications in the towns o f south-western Poland and brings to the fore the undertaking of works on a technical and biological method o f the preservation o f permanent ruins in the Wrocław group o f the Enterprise for the Conservation o f Art.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1981, 1-2; 11-19
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Ruina jako obiekt turystyczny : koncepcja zabezpieczenia i udostępnienia na przykładzie kościoła NMP w Chojnie
CONSERVATION D’UN MONUMENT À L’ÉTAT DE RUINE À DES FINS TOURISTIQUES. CONCEPTION DE PROTECTION ET D’ACCESSIBILITÉ SUR L’EXEMPLE DE L’ÉGLISE NOTRE-DAME À CHOJNA
Autorzy:
Gruszecki, Andrzej
Widawski, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536753.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół NMP w Chojnie
trwała ruina
Henryk Brunsberg
kaplica Mariacka
lizeny
historia kościoła NMP w Chojnie
Chojna
konserwacja ruin
angielska szkoła konserwacji ruin
zabezpieczenie przed wpływami atmosferycznymi
Opis:
Le pro jet présenté dans ce compte-rendu et concernant la conservation de l’Église Notre-Dame à Chojna 'en forme de ruine permanente * constitue une solution-modèle, ayant pour but en même temps de sauver le monument e t de le ren d re accessible aux visites des touristes. Le projet fu t précédé par des recherches scientifiques. Ce sujet a été tra ité déjà avant la guerre dans un article dont l’auteur Voss considérait le bâtiment en question comme unité rep a rtie suivant les époques de sa construction, notamment en p artie orientale consacrée en 1407 et en partie-occidentale terminée en 1459. En résultat des recherches architecturales e t archéologiques effectuées sur pla ce par la Faculté de l’A rchitecture à Varsovie (Chaire de l’Architecture Polonaise) au cours des années 1960—1962 on a prouvé que l’ancienne tour é ta it probablement antérieure au corps principal de l’église et constituait un é lé ment de l’église du XlV-ème siècle connue jusqu’ici uniquement par des notes historiques. L ’église du XVe siècle fu t érigée probablement sur l’emplacement de la précédente dont la tour fu t annexée au nouvel édifice et surélevée d ’un étage au cours de son adaptation. L’église du XVe siècle se range parmi les monuments de haute valeur artistique et son architecture accuse des affinités avec les oeuvres de l’atelier d’Henri Brunsberg dont probablement elle est issue. A la fin du XVe siècle fu t annexée à cette église la chapelle St. Anne. Dans les siècles suivants la toiture de la tour a changé de forme. En 1859/61, après l’écroulement de l’an cienne tour on en éleva une autre à sa place, haute d e 95 m., néogothique, remaniée par suite ein 1932— 1933. Dans la seconde moitié du XIXe siècle l’inté rieu r de l’église fu t également reconstruit et en cet é ta t l’édifice est conservé jusqu’à la seconde guerre mondiale pendant laquelle les voûtes et les toitures fu re n t détruites en grande partie. Les murs quoique endommagés se sont conservés en général ju sq u ’à la corniche du couronnement. É tan t donné que l’église post-conventuelle du voisinage suffisait aux besoins du culte, il n ’y av a it aucune prémisse pour procéder à la reconstruction de l’Église Notre-Dame. Toutefois la haute valeur artistique de ce monument étant reconnue, on n e pouvait le laisser tomber en ruine sans entrep ren d re des mesures de protection. C’est pour cela qu’on adopta, en fin du compte, la solution de sa conservation à l’aspect de ruine en p ro je tan t d ’en ouvrir l’accès aux touristes. Le projet s’allie p a r sa conception à la meilleure des écoles de conservation contemporaines soit d it à l’école anglaise. Ses principes de base fu re n t su ivis de près compte tenu toutefois de certaines modifications nécessitées par des conditions spécifiques de notre climat. Donc, le principe selon lequel les murs ne doivent pas être reconstruits sauf quand l'exige l'é ta t technique de l’ensemble, n ’a pas pu ê tre suivi à la lettre. Le programme prévoyait la reconstruction p artielle des voûtes et des balustrades des tribunes pour ren d re possible les visites des touristes. On appliqua les principes anglais suivants: refection des m u rs e t des mortiers, à la surface; relèvement des planchers à leur niveau primitif; enlèvement des plantes e t de la mousse des murs, pour incruster l’ensemble de la ru in e dans le cadre de la verdure environnante. Dans le projet de l’aménagement des pelouses on introduisit certaines modifications. Compte tenu des difficultés d’en tretien d ’un gazon de verdure sans sentiers on p ro je ta de poser su r le chemin des visiteurs des dalles en béton dont les interstices seraient envahis par la mousse. Ce genre de tro tto ir semble être meilleur que les sentiers de gravier employés p ar les Anglais en prévision d’un trafic touristique animé. Le programme de l’aménagement des plantes hautes en ta n t que décor plastique de la ru in e n ’est qu’un développement de l’école anglaise selon laquelle la conception d ’un fond de verdure de plantes hautes à l'ex térieu r de la ruine ne fu t pas envisagée. Les principes anglais se trouvent complétés p a r un soulignement voulu de la ligne des interventions conservatrices, à l’aide d’un liant distinct ainsi que par une repa rtition d u bâtiment suivant la chronologie de sa construction. L ’attention fu t toutefois portée surtout à la p rép a ra tio n des services e t du mouvement touristique, dont les itinéraires fu re n t élaborés d’avance comme dans le cas des musées. On p ré para pour les touristes des postes de „prise de vue” et, pour g aran tir la continuité du mouvement to u ristique, on projeta deux cages d ’escalier supplémentaires, une en béton armé, l’au tre en acier. Outre les visites touristiques coutumières on a prévu des itinéraires spéciaux pour les historiens de l’a rt et pour les conservateurs. C’est ici que fu re n t e x posés les vestiges concernant la rép a rtitio n chronologique du bâtiment et les procédés de sa conservation. Pour principe général on adopta l’adjonction d’éléments exécutés dans un matériau nouveau de forme différenciée, quoique en harmonie avec le site historique. Comme matériau po u r les éléments nouveaux é tait prévu: le béton armé, la brique en silicate e t le fe r graphie, tandis que les délabrements dans les parties du bâtiment conservées seraient comblés p a r les matériaux récupérés.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 2; 5-22
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
"Monumentum", T. I, 1967; T. II, 1968; T. III, 1969 : [recenzja]
Autorzy:
Lenard, Barbara
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539190.pdf
Data publikacji:
1970
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
„Monumentum” 1967-1969
historyczny ośrodek Budy
zabezpieczenie zabytków na wypadek Wojny
Konwencja Haska
niszczenie kamieni
prawodawstwo Stanów Zjednoczonych w zakresie ochrony zabytków
rekonstrukcja ruin w Seibalu
architekt-restaurator
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1970, 2; 148-153
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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