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Tytuł:
Dwadzieścia lat ochrony zabytków w Polsce Ludowej
VINGT ANS DE PROTECTION DES MONUMENTS HISTORIQUES EN POLOGNE
Autorzy:
Dutkiewicz, Józef E.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536219.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
wojenne zniszczenia zabytków
odbudowa zniszczonych zabytków
ochrona zabytków w dwudziestoleciu powojennym
Naczelna Dyrekcja Muzeów i Ochrony Zabytków
rewindykacja zabytkowych zbiorów
ustawa o opiece nad zabytkami
Pracownie Konserwacji Zabytków
weryfikacja zabytków
szkolnictwo na rzecz ochrony zabytków
teorie konserwacji
autentyzm zabytku
Opis:
Cet article a pour but de présenter les pertes et les dommages des monuments historiques polonais et les résu ltats de protection et de restauration atteints au cours des vingt années écoulées depuis la fin de la d ern iè re guerre. Les moyens qui ont amené à ces r é sultats sont décrits, notamment 1’ organisation de l ’administration, l’exécution des reconstructions et r é novations, la législation, la propagande, l’éducation et la formation professionnelle, ainsi que l’emploi actuel des édifices monumentaux et la protection sociale. Il est difficile d’établir exactement le montant des pertes, car avant la guerre les monuments historiques ont été inventoriés seulement sur une partie du te rrito ire de la Pologne. En tout 7,500 bâtiments historiques o n t été complètement détruits, et le total des bâtiments détruits et endommagés peut être évalué à 37,8%. Au cours des vingt dernières années le nombre des bâtiments conservés v aria it entre 300 a 600 par an. Au tota l environ 4,600 monuments architecturaux ont été conservés. Outre le problème de préserver les monuments historiques, après la guerre nous avons d û faire face au problème de leur reconstruction bien fondé par la volonté de récupérer les pertes. L’immense tâche de préserver les monuments historiques et les nombreux trav au x de conservation des édifices monumentaux les plus importants ont été exécutés selon les principes scientifiques et la documentation de conservation. En plus 1350 objets ont été conservés, dont 473 peintures et 206 sculptures. Ces chilffres comprennent seulement les trav au x payés par le bu d get central. Au cours de ces travaux quatre polichromies romanes fu ren t découvertes à Tum, Czerwińsk, Dziekanowice et Wiślica. Et dans le département de Cracovie 42 polichromies anciennes ont été mises à jour et conservées. La Direction Générale des Musées e t de la P rotection des Monuments Historiques fut la première institution qui é tait chargée de la protection des monuments historiques. Un réseau de conservateurs d ép a rtemen tau x fut organisé. L’exécution des t r a vaux fu t confiée au début aux ateliers de la Direction Générale. En 1951 une entreprise d ’Etat fut organisée. Cette entreprise, nommée „Les Ateliers de Conservation des Monuments Historiques” réalise la plup a rt des trav au x de conservation des monuments arch itec tu rau x e t des objets d ’art. Elle a ses ateliers et ses succursales à Varsovie, Cracovie, Gdańsk, Wrocław e t Szczecin, Elle réalise ses trav au x en se servant de la documentation historique, de mesurement, photographique et analytique. Les plans sont établis par une direction collégiale. La valeur de la production de ces ateliers a monté de 3.000.000 zl en 1951 à 238.900.000 en 1962. Le nombre des ouvriers s’est accru de 183 en 1955 à 2243 en 1962, et des employés de 38 à 368 relativement. Parmi ces derniers au cours de la dernière année il y avait 135 artistes-conservateurs. Certains trav au x de construction ont été réalisés aussi p a r d’autres entreprises d ’état et p a r des coopératives et ceux de restau ratio n des objets d’a rt par des a te liers privés. L ’acte législatif le plus impa rtant en cette matière fu t la loi du 15 février 1962 concernant „La protection des biens culturels et des musées”. Cette nouvelle loi a précisé certaines notions concernant les monuments historiques dans un é ta t socialiste, l’idée de leur p ropagation, et aussi l’application des règlements de p ro tection. La vérification de tous les monuments historiques en Pologne a été effectuée; leur nombre total d ’environ 36.000 fu t divisé en cinq groupes: 51 fu ren t classés dans le groupe d it „О”, 1,697 dans le groupe I, et le reste dans les trois groupes suivants. Trois facultés, dont deux Académies des Beaux Arts à Varsovie et à Cracovie e t une à Université Nicolas Copernic à Toruń, forment des artistes-conserv ateurs des objets d ’a rt; la faculté de Toruń prépare aussi ses étudiants a la fonction des conservateurs départementaux. Cependant il n ’y a encore aucune école de conservation des monuments architecturaux. L ’Ecole Polytechnique de Varsovie a en projet l’organisation d’une section de conservation. Au cours des dernières dix années le mouvement scientifique en conservation est très animé, dont té moignent les nombreuses publications et articles publiés en Pologne et à l’étranger, ainsi que de nombreux perfectionnements de traitements et des inventions. Le Centre de Documentation des Monuments Historiques organise des conférences de spécialistes ayant pour thème la conservation des objets en pierre, en bois, en métal et des tissus. La fréquentation des musées et l’appréciation des valeurs didactiques et émotives des monuments historiques se sont immensément accrues pendant les vingt dernières années, p. ex. le Château de Wawel a eu plus d’un million de visiteurs. Malgré cet accroissement immense d ’intérêt et de fréquentation il nous a été impossible encore de faire servir et de protéger complètement tous les monuments historiques dispersés dans les villages et dans les quartiers anciens des différentes villes. Deux attitudes théorétiques se sont accentuées dans les méthodes de conservation en Pologne. La p re mière c’est le principe d ’intégration qui demande la reconstruction des monuments détruits vu la nécessité de compenser les immenses pertes. La seconde soutient le principe de l’authenticité complétée par la théorie soumise p a r l’au teu r de cet article, dite la théorie de l’automatisme qui reconnaît la nécessité de préserver l’é ta t de conservation actuel en tenant compte du procès n a tu re l de détérioration de la matière et de ce qui ensuit l’échange graduel des biens culturels. Vu l’immensité des destructions il fau t apprécier hautement les résultats atteints p a r les conservateurs polonais. Considèrent cette période historique comme close il nous semble qu ’à l’avenir il faudra approfond ir les principes selon lesquels l’information scientifique sera organisée et les méthodes de conservation devront suivre les nouvelles découvertes techniques en te n an t compte en même temps des indices économiques. Le mouvement touristique croissant devra participer au maintien et à l’utilisation des monuments historiques.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 2; 6-14
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Trzydziestolecie konserwatorstwa polskiego
LE PLUS ANCIEN TABLEAU POLONAIS
Autorzy:
Remer, Jerzy
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537354.pdf
Data publikacji:
1950
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zniszczenia wojenne zabytków
zabezpieczenie zabytków
Główny Urząd Konserwatorski
powojenna organizacja władz konserwatorskich
„Kwestionariusz w zakresie strat i zniszczeń…”
rola społeczna zabytków
Opis:
En automne 1949, les auteurs ont (lćeouvert dans une église de bois de style roman tardif, à Dębno en Podhale, un tableau sur bois (dimensions: 23,3X68.3): il avai t été retrouvé peu auparavant au cours de t ravaux à l’entour du bâtiment et avait serti de simple planche. Après avoir opéré des retouches de conservation. al) olument nécessai ics vu son état fortement endommag é , on a pu constater que ce tableau sur bois constitue un fragment de ce qu'on appel le un f rontale triptique d’autel. Il représente ste Catherine et ste Agnès (lig. A et ś). Il faut e xéc ut é à l’huile sur un fond crayeux: le dessin a d’abord été finement gravé sur la craie. Le fond du tableau était dot é avec un publ ient gris posé sur la craie. Les deux saintes sont traitées d’une manière i socéphal ique et de front, tournées de Vj vers le spectateur. Les figures sont minces et élancées, comme qui dirait . en fuseau”, d’une raideur presque hiératique souli gnée par le dur dessin des vêtements dont les lignes forment parfois des ..zigzag“. Les visages des deux saintes, a l l ongés, sont tracés en noir à l’aide de quelques signes de convention. Les deux personnages tiennent des palmes à lu main. Leur vêtement se compose d’une longue tuuiquc et d’un manteau un peu plus court. Les têtes sont surmontées d ’une couronne. La gamme des couleurs est toute simple: le teint est de couleur chair foncée et un ton de brique pour les joues, la tunique de ste Catherine est couleur cerise, son manteau olive foncé, la tunique de ste Agnès est couleur olive, son manteau chiubre. les contours sont noirs, le fond or (avec des traits argentés). Le tout e-t d’un caractère plutôt primitif. Le triptyque dont le dit tableau était certainement une partie, devait probabl ement avoir deux volets presque identiques représentant quatre saintes de chaque côté et. dans la partie centrale, plus large, la Vierge et l’Enfant. En se basant sur des monuments connus, il est aisé de reconstruire le tout (lig. 6). Quant au style, c ’est du roman, p l u s exactement du roman titrdif. proche déjà, chronologiquement, de l’époque gothique. On le voit à certains détai ls caract éristiques tels que la couronne aux lignes élancées, le geste de la main droite de ste Catherine, les formes dynamiques brutalement brisées des draperies. Tout ceci permet de l'uire remonter le tableau à lu lin du Xl l l - e ts.: du reste, les inscriptions en majuscules facilitent ici la tâche. Quant aux analogies, on ne peut rien conclure de défini tif par suite du manque de littérature sur ce sujet et de matériel historique. Il pourrait être ici question de peinture de miniatures. S ’il s ’agit de la planche de Dębno, il ftflit tenir compte en premier lieu du Psautier de G logów, de la moitié du Xl l l - e s., notamment l 'Annonciation dont la provenance artistique n'est point certaine (école de Saxe?). Pour l’instant, le tableau de Dębno sembl e être tout près des miniatures de Si lésie d’eux. la moitié-du Xl l l - e s. Il présente d’assez grandes analogies avec l’art de Gracovie et de la région de Sącz. Oii peut admettre que ce fragment est une partie du t riptyque du maître-autel de la première' église - également en bois de Dębno datant d’eux. 1300. Il a pu être e xéc ut é à Gracovie qui, depuis longtemps, était un centre culturel et artistique: on y a conservé des monuments historic]ik's moins anciens cpie celui de Dębno, mais qui lui ressemblent. On retrouve la représentation figurée, presque contemporaine' du triptyque de Dębno, dans l’un des codes non publiés, probablement un Antiphonaire. du couvent des SS. Clarisses de Stary Sącz (fig. 7 et 8),- proxeuant certainement de Gracovie où l’on constate au début du XIV-c s. l'existence de la peinture de miniature et de xitraux. Il est donc fort probable que le tableau de Dębno est un modeste t émoignage de la peinture du Xl l l - e s. Ce tableau met en lumière le style de la peinture locale et son évolution de la fin du Xl l l - e au XV-c s. fa i t très intéressant: on retrouve certains traits des personnages du t riptyque dans les tableaux de la région de Cracox ie et de Sącz encore à la première moitié du XV-e s. C’est là une opinion qu’on ne peut émettre qu’avec une grande prudence tout en espérant (pie d’autres découvertes viendront soutenir cette thèse. Le triptyque de Dębno présente l’union de traditions italiennes et byzantines, des valeurs call igraphiques ..du nord“, mais connues auparavant en Italie, — un idéalisme de fond et de forme caractéristique pour l'époque, une naï veté semi-populaire dans la représentation entièrement étrangère à tout ce que nous connaésnns de ce temps en Al lemagne dan- le do maine de la peinture de chevalet. Tout ceci nous conf irme dans notre opinion qu’il s ’agit ici de la plus anci enne peinture de chevalet de Pologne, ex écutée très probablement à Gracovie et devançant de plus de cent ans les monuments historiques polonais de ce genre de pe inture.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1950, 1; 1-8, 70-71
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zagadnienia konserwacji i odnowy zabudowy w historycznych ośrodkach miast węgierskich
LES PROBLÈMES DE LA CONSERVATION ET DE LA RESTAURATION DES CENTRÉS HISTORIQUES DES VILLES HONGROISES
Autorzy:
Gerö, László
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536073.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
konserwacja zabudowy miast węgierskich
zniszczenia wojenne na Węgrzech
dokumentacja naukowo-badawcza zabytków
konserwatorstwo węgierskie
rekonstrukcje węgierskich zabytków
Opis:
En Europe, en conséquence de dommages causés par la seconde guerre mondiale et d’un développement rapide des villes le problème de reconstruction et d’adaptation d ’anciens centres des villes historiques aux besoins actueiis a acquis une importance particulière au point de vue de la restauration des monuments historiques. À l’augmentation de l’importance du problème se joignit une évolution profonde d'opinions- sur la restauration; de l ’intérêt porté d’abord aux monuments isolés elle a conduit à l ’estimation de La valeur des ensembles (villes-monuments) et des sites, et à leur protection comme unités adaptées aux exigences de la vie moderne. Le centre historique d’une ville, avec son grand nombre de monuments d’architecture, pose un problème complexe, aussi en Hongrie aux architectes et aux conservateurs. La sauvegarde d’ensembles et des sites a été assurée en Hongrie par la loi nouvelle de 1960. L’intérêt porté aux ensembles et les fouilles, qui s ’ensuivirent, ont contribué à l’approfondissement d’histoire des monuments et d’unités entières. Les destructions causées par la guerre ont mis à jour les constructions militaires (anciennes murailles de défense, beffrois, donjons), masqués jusqu’alors par les constructions postérieures. Leur exposition, digne de leur rang dans l ’aspect d’une ville, devint non seulement un problème de conservation, mais aussi un désir commun des habitants. Par considération pour une exposition avantageuse des monuments d ’une valeur particulière, on a élaboré plusieurs nouveaux plans d’aménagement des quartiers ou des villes entières. Une restauration générale d’ensembles exige pourtant aussi des recherches plus vastes et plus approfondies. Les ensembles, avec leur aspect pittoresque et leur valeur historique, présentent aussi certains défauts, tels qu’une densité excessive de constructions, les maisons détériorées, les logements mal aérés, insalubres et trop vétustes, les façades délabrées. L’image de la rue devient défigurée par le pavé et les poteaux lampadaires en discordance avec les bâtiments anciens, autant que par les pignons disgracieux, les devantures de boutiques, les enseignes et les publicités tapageuses. Il devient alors nécessaire de chercher une solution générale du problème, concernant l’affectation, les services publiques, l’assainissement, l’aération, l’ensoleillement des logements, la restauration des façades et d’autres améliorations désirables. Cette solution générale doit être précédée par un plan de restauration, conçu pour un ensemble, même pour une ville entière, et basé sur des études détaillées de tous les bâtiments, ce qui rend possible une juste estimation de leur valeur dans l’unité. Ces études, qui précisaient aussi les rapports des monuments entre eux, indiquaient les rues et les places, les vues, les sites et les terrains de verdure sauvegardés, et contenaient certaines directives, ont été élaborées px>ur 72 villes. Le plan directeur d’aménagement spatial, pour lequel ces études préliminaires ont servi du point de départ, n’a été élaboré que pour la ville ancienne de Buda, mais on est en train de préparation des plans pour d’autres villes (Sopron, Pécs). La restauration des bâtiments historiques, seulement endommagés, était indiscutable et effectuée selon les méthodes traditionnelles. On a jugé nécessaire aussi la reconstruction des bâtiments historiques, complètement détruits. Leur reconstruction, utilisant les soubassements, les murs et les fragments du décor authentiques qui ont subsisté, autant qu’à l’aide de photos et de dessins exacts d’état avant la destruction, paraissait justifiée, comme parties intégrantes d’ensemble, où il ne s ’agissait pas tant de leur valeur individuelle, que de leur rôle dans l ’unité. Dans ces cas-Ià on a cependant pris toute la liberté dans une disposition moderne des logements et on a indiqué par une plaque sur la façade, que l’on a reconstruit une copie. Le problème devenait plus compliqué, quand’ il s ’agissait de bâtiments complètement détruits, sans valeur historique et artistique ou de vides. Dans ces cas — selon la doctrine de conservation actuelle — on a pas construit de bâtiments aux formes „historiques”, qui constitueraient une sorte de pastiche et par le faux auraient menacé l’authentique. En général, quand il s’agissait de constructions nouvelles, trois tendances se firent remarquer en Hongrie: l’architecture aux formes neutres, l’architecture aux motifs modernes et les solutions tirant profit du contraste, obtenu par l’emploi d’éléments anciens, qui ont subsisté, et de leur incorporation dans un bâtiment moderne. Premièrement, au début de la reconstruction à Buda (1949) on a réalisé des bâtiments aux formes n e u t r e s (’’mimicri” chez les Italiens), conformes dans leur volume, toiture, rythme des fenêtres à l’entourage historique. Après que les premières réalisations de ce genre eurent lieu (1950—54), une polémique s ’ensuivit, dans laquelle les architectes de la génération plus jeune défendaient le droit d’appliquer des formes modernes, s ’opposant à toutes les limitations, imposées par les monuments existants. On a argumenté, que chaque époque, créant en son style propre, a laissé les oeuvres d’une valeur remarquable. Le risque pour un ensemble historique parait cependant tuojours moindre, si l’on admet quelques limitations générales, regardant l’échelle, ie volume et la façade des constructions nouvelles. Il semble, qu’on est obligé de resigner en partie de sa propre liberté, et la question principale est-ce que l’architecte lui-même veut-il l’intégration de son oeuvre nouvelle dans une unité ancienne? Pourtant les opinions sur l’évaluation de l’harmonie d’ensembles historiques ont aussi subi une évolution, dont les projets les plus récents font la preuve. Le passé peut fournir un grand nombre d’exemples historiques d’une beauté généralement admise, mais aussi bien de contestables et même défavorables. Il semble surtout, qu’une considération, qui jusqu’alors a été trop souvent négligée, est d’une importance décisive — c’est le l i eu, qu’un bâtiment nouveau doit occuper, et son rôle dans une unité existante. Il est possible, en faisant usage de matières modernes et de la couleur, d’obtenir aussi par le contraste des solutions satisfaisantes. Mais la pratique en Hongrie et ailleurs a prouvé, qu’une oeuvre moderne, même d’une grande valeur individuelle, doit respecter et non détruire les qualités représentées par les monuments anciens, dont la mise en valeur reste toutefois le but principal de leur protection.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 1; 4-21
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zniszczenie i odbudowa zabytków we Włoszech
DESTRUCTION ET RECONSTRUCTION DES MONUMENTS EN ITALIE
Autorzy:
Bulas, Kazimierz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535712.pdf
Data publikacji:
1948
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zniszczenia wojenne we Włoszech
zabytki w Mediolanie
Zniszczenie zabytków Genui
zabytki Neapolu
odbudowa świątyni w Poli
odbudowa zabytków Turynu
Opis:
La dernière guerre a fortement appau vri l’avoir artistique de l’Italie. Par un heureux hasard, il se trouve que relativement peu d’oeuvres d’art uniques aient été totalement détruites. Milan se place au premier rang des villes endommagées: près de 200 énormes bâtiments ont été détruits, mais on en restaure déjà 139. San Gottardo in Corte et le théâtre de la Scala sont entièrement reconstruits; on répare les parties extérieures de la décoration du Duomo. Les travaux sont en train dans les autres monuments. Gênes vient en second lieu; les travaux les plus importants ici sont ceux de Santo Stefano et de SS. Annunziata del Vastato. Plusieurs palais génois sont déjà reconstruits. Naples a beaucoup souffert également; les églises les plus endommagées sont celles de SS. Annunziata et Santa Chiera. Les conservateurs ont ici de grandes difficultés à résoudre sur la manière d’agir. La guerre n’a point épargné les coins les plus reculés du pays. Notons la reconstruction du temple d’Auguste et de Rome, du Duomo de Pola, en principe à l’aide de parties originales en dépit d’un haut degré de destruction. On a entrepris la reconstruction de la Chiesa degli Eremitani à Padoue. Au bord de l’Adriatique, Ancone et Fano ont le plus souffert, mais là aussi on a déjà beaucoup fait. La guerre n’a laissé que peu de traces en Ombrie et dans les Abruzzes, par contre dans les trois provinces toscanes: Florence, Arezzo et Pistoia, 400 bâtiments historiques ont été détruits. Pour 250 d’entre eux les travaux de restauration sont terminés. C’est en Toscane d’ailleurs que l’on constate les plus grands dégâts dans le domaine des oeuvres d’art. La perte la plus importante de Sienne est celle de la Basilica Minore delP Osservanza, actuellement restaurée. Le Camposanto de Pise a été le plus atteint, les dégâts y sont en partie réparés. A Florence, on travaille surtout aux églises Santo Stefano al Ponte et Santa Trinita. A Rome, on a terminé la reconstruction de la basilique de Sail Lorenzo luori le mura. La reconstruction óes monuments de la Campagne présente bien des problèmes, notamment pour le Duomo de Benevento et pour Pompéi fortement endommagée. Les travaux de conservation consistaient tout d’abord à assurer provisoirement, après quoi on restaura progressivement. On fit tout le possible pour conserver les parties originales, soit en renforçant les murs à l’aide d’„injections“ de- ciment, soit en redressant les murs courbés par le souffle des explosions. Lorsque ces moyens s’avéraient insuffisants, on démolissait, maiis auparavant on prenait des cr quis, des photographies et des mesures, on numérotait. Puis, après avoir renforcé les fondations, on remettait le tout en place. Si le mur était entièrement éboulé, on opérait une sélection minutieuse des décombres et l’on reconstruisait le mur avec les matériaux ainsi obtenus. On tirait profit de toutes les parties d’architecture et de décoration retrouvées et l’on remplaçait celles qui manquaient — ce qui est aisé à distinguer.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1948, 2; 74-82, 95-96
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Dzieje odbudowy mozaikowej figury Madonny w zamku malborskim
The story of the reconstruction of the mosaic figure of the Madonna in Malbork castle
Autorzy:
Mierzwiński, Mariusz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/21150982.pdf
Data publikacji:
2022
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zamek w Malborku
sztuka gotycka
zniszczenia wojenne
projekt konserwatorski
ochrona zabytków
Castle in Malbork
Gothic art
war damages
conservation project
protection of monuments
Opis:
Artykuł prezentuje dzieje kolosalnej figury Madonny z Dzieciątkiem z zewnętrznej niszy prezbiterium kościoła zamkowego w Malborku. Rzeźba powstała w pierwszej połowie XIV wieku jako kluczowy element zewnętrznej dekoracji malborskiego zespołu sakralnego i była największą rzeźbą średniowiecznej Europy. Jej wyjątkowość polegała nie tylko na rozmiarach, ale przede wszystkim na zewnętrznej okładzinie mozaikowej, którą została pokryta w drugiej połowie XIV wieku. W tekście skrótowo przedstawiono zniszczenie kościoła zamkowego wraz z figurą w trakcie II wojny światowej. Następnie opisano mozolne wydobywanie potłuczonych fragmentów posągu z gruzu i ich zabezpieczenie do czasów współczesnych. Przede wszystkim jednak zrelacjonowano odbudowę figury w latach 2014–2016 jako integralnego elementu kościoła zamkowego. Ukazano też kryteria, jakimi kierowało się kierownictwo Muzeum Zamkowego w tej kwestii i sposób postępowania restauratorów. Odtworzenie figury malborskiej Madonny w kształcie, jaką miała przed zniszczeniem, jest ewenementem konserwatorskim w skali europejskiej.
The article presents the history of the colossal figure of the Madonna and Child in the outer niche of the presbytery of the castle church in Malbork. It was made in the first half of the fourteenth century as a key element of the external decoration of the Malbork sacred complex and was the largest sculpture in medieval Europe. It is unique not only because of its size but, above all, because of its external mosaic cladding which was covered over in the second half of the fourteenth century. The text briefly outlines the destruction of the castle church together with the statue during the Second World War. It then describes the laborious extraction of the broken fragments of the statue from the rubble and their preservation until modern times are described. More importantly, however, it recounts the reconstruction of the figure in the years 2014–2016 as an integral element of the castle church. The criteria adopted by the management of the Castle Museum in this matter and the manner in which the work of the restorers proceeded are also discussed. The reconstruction of the figure of the Madonna at Malbork Castle according to its original shape is an unprecedented accomplishment on a European scale.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2022, 2; 57-72
0029-8247
2956-6606
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Miasta Pomorza i zagadnienie zabytków urbanistycznych na Pomorzu
Autorzy:
Dziewoński, Kazimierz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536915.pdf
Data publikacji:
1954
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zabytki urbanistyczne
układ przestrzenny
ochrona zabytków urbanistycznych
urbanistyka zabytkowa Pomorza
militarne funkcje miast
układ ośrodków miejskich
układ przestrzenny Gdańska i Szczecina
zespół miasta średniowiecznego w Malborku
zniszczenia wojenne miast Pomorza
odbudowa zabytków urbanistycznych
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1954, 4; 221-235
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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