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Tytuł:
Uwagi na temat metod i doświadczeń PKZ w zakresie konserwacji witraży
REMARQUES SUR LES MÉTHODES ET LES EXPÉRIENCES DE L’ATELIER DE CONSERVATION DES MONUMENTS HISTORIQUES DANS LE DOMAINE DE LA CONSERVATION DES VITRAUX
Autorzy:
Kokocińska, Krystyna
Soczewiński, Edward
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537099.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
prace konserwatorskie przy witrażach
przyczyny niszczenia witraży
metody konserwacji witraży
korozja szkła
rekonstrukcja witraży
Opis:
Parmi les peu nombreux vitraux anciens conservés en Pologne, les panneaux gothiques représentent la plus grande valeur. Certains ensembles de ces vitraux, comme la collection, datant du XIV-е siècle, de l ’église paroissiale de Chełmno, les vitraux de l’église dominicaine de Toruń, de la cathédrale de Włocławek ainsi que les panneaux dominicains de Cracovie, ont été soumis à des traitements de conservation à l ’Atelier des Vitraux des Ateliers de Conservation des Monuments à Toruń, où l ’on s’efforcait de choisir la méthode la plus efficace qui garantirait leur sauvegarde future. Les auteurs examinent dans l’article présent d’une manière critique les méthodes de conservation des vitraux connues jusqu’alors; ils attirent l ’attention en premier lieu sur le degré de leur efficacité de réaction contre les phénomènes de la corrosion. La méthode élaborée par W. Domasławski, E. Kwiatkowski et L. Torwirt a été reconnue entre toutes comme la méthode la plus efficace. L’article traite de la technologie de conservation appliquée, élaborée par les auteurs mentionnés ci-dessus, dont le principal processus est de préserver les verres anciens, adéquatement préparés en les imprégnant de résines synthétiques. Selon cette méthode on nettoie les verres avec un pinceau mou, de la poussière et des impuretés superficielles, puis on les trempe pendant quelques heures (5) dans l ’eau courante. Les couches épaisses d’impuretés sont enlevées mécaniquement tout en procédant avec le plus grand soin et précautions. Après le séchage des verres dans une température ambiante, afin de les dégraisser, on lave leur surface avec un dissolvant organique, par exemple avec du tétrachlorure de carbone, du trichloréthylène, du benzène ou du toluène et on les rince de nouveau avec de l’eau courante, puis de l ’eau distillée. Après ces opérations, on sèche le verre dans une température de 50° — 100°C pendant 2 heures. L’étape suivante de la méthode considérée est l ’imprégnation des verres anciens de polymétacrylène de méthyle dans une chambre à vide. On obtient une couche qui protège les verres contre l ’action des agents atmosphériques. Pour une meilleure stabilisation de la couche on la sèche dans une température de 225° à 235°C, dépendemment du degré de la décomposition du verre. Outre la sauvegarde des verres contre leur décomposition on effectue le collage des vitres fendues ainsi que le complètement des pertes ou leur échange. La restitution de l ’aspect primaire aux vitres fendues ne constitue pas actuellement un problème sérieux, à condition que les bords des cassures ne soient pas ébréchées. Il suffit d’enlever la jointure en double T reliant les parties cassées de la vitre et de les coller avec du polymétacrylène de méthyle. On applique également d’autres méthodes de collage. Dans les fentes crées par la cassure on fait pénétrer un mélange de polyacetate de vinyle et de polymétacrylène pulvérulent contenant une addition de peroxyde de benzoyle. Ce mélange est saturé de métacrylène de méthyle contenant un activateur. L’ensemble est recouvert de cellophane afin de l ’isoler de l ’air qui possède des propriétés négatives. Après plus d’une dizaine de minutes la résine se durcit constituant une masse transparente. On effectue cette opération des deux côtés; de cette manière les vitres sont prises dans deux cadres formés par la résine, qui n’efface pas la visibilité du vitrail et ne déforme pas la composition, comme cela avait lieu lors de l ’opération au plomb. On peut aussi coller les vitres fendillées avec une résine époxyde. On effectue analogiquement le complètement des petites pertes, car les résines peuvent être colorées conformément à la couleur du verre qui est employé pour le complètement. Au cas où les pertes de la composition étaient plus grandes, on effectue le complètement avec du verre coloré convenablement assorti. Selon ce principe on élimine également les complètements anciens non esthétiques en les remplaçant par des verres mieux appropriés. Les fragments manquants du dessin sont reconstitués sur la base de photographies, de fragments répétés, de modèles ornementaux ou comparatifs; on choisit le verre rapproché par la couleur aux vitres et on les patine. Les fragments des vitres avec le dessin refait, reconstruits à l ’Atelier, sont stabilisés dans une température d’environ 650 — 700°C. Afin de distinguer l ’original des complètements, chaque vitre complétée possède la signature et la date inscrites de façon discrète sur le verre. Les traitements de conservation effectués sont élaborés dans une documentation afférente qui comprend: 1. les données historiques, les archives, les bibliographies ainsi que la liste iconographique et l ’état de conservation de l ’objet, 2. les photographies (microscopiques, macroscopiques et diapositifs colorés). Sur les photographies à l ’échelle 1 : 1 on indique par des contours colorés les traits caractéristiques de l ’objet. Le processus technologique appliqué dans la conservation des vitraux est réversible.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1968, 3; 31-40
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Witraże w kościele św. Krzysztofa we Wrocławiu – kreacja konserwatorska w dialogu z historią
Stained Glass of the Church of St Christopher in Wrocław. Conservators’ Creation in Dialogue with History
Autorzy:
Gajewska-Prorok, Elżbieta
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/21151109.pdf
Data publikacji:
2021
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Wrocław
kościół św. Krzysztofa we Wrocławiu
Muzeum Narodowe we Wrocławiu
witraże herbowe
kopie witraży
geometryczne przeszklenia nowożytne
oszklenia ochronne
rekonstrukcja kamieniarki okiennej
aranżacja konserwatorska
Church of St Christopher in Wrocław
heraldic stained glass
stained glass copies
early modern geometric glazing
protective glazing
conservation design
reconstruction of window stonework
National Museum in Wroclaw
Opis:
W zbiorach Muzeum Narodowego we Wrocławiu przechowywanych jest sześć kwater witrażowych o wymiarach 60 × 40 cm z 1586 roku. Są to trzy pary witraży herbowych małżeństw wrocławskich patrycjuszy: Georga von Rohn i Jemminy von Reichel, Stenzela von Rohn i Susanny Fetscherin, Georga Köÿe i Magdaleny Schreiterin. Witraże malowane są czarną farbą konturową i patyną, żółtą lazurą srebrową oraz niebieską i czerwoną przejrzystą farbą szkliwną. Pochodzą z gotyckiego kościoła św. Krzysztofa we Wrocławiu, dokąd zostały przypuszczalnie przeniesione z kościoła miejskiego św. Elżbiety we Wrocławiu, a w 1884 roku przekazano je do zbiorów wrocławskiego Museum Schlesischer Altertümer (Muzeum Starożytności Śląskich). W latach 2017-2018 wykonane zostały ich kopie, które umieszczono w oszkleniu romboidalnym, w trzech oknach odbudowanego po II wojnie światowej ewangelickiego kościoła św. Krzysztofa, gdzie także odtworzono kamieniarkę z maswerkami, bazując na wzorach z lat 80. XIX stulecia. W dwóch innych oknach kościoła, w roku 2018, umieszczono w oszkleniu gomółkowym czternaście herbów śląskich rodów szlacheckich, wzorowanych na oryginalnych witrażach śląskich i szwajcarskich z XVI i początku XVII wieku. Dwa okna prezbiterium ozdobiono w 2018 roku witrażami figuralnymi z przedstawieniami świętych męczenników katolickich i ewangelickich: księdza Dietricha Bonhöffera i św. Edyty Stein, św. Maksymiliana Kolbe i ks. biskupa Juliusza Bursche. Koncepcja konserwatorska rekonstrukcji okien polegała na umieszczeniu w nich kopii witraży z 1586 roku oraz innych witraży herbowych, inspirowanych witrażami renesansowymi, a także witraży figuralnych w neorenesansowej oprawie architektonicznej. Taka rekonstrukcja oszkleń nawiązuje do funkcjonowania luterańskiej świątyni w czasach nowożytnych i do elementów jej wyposażenia, m.in. późnorenesansowego ołtarza z końca XVI wieku.
The collections of the National Museum in Wrocław contain six stained glass panels dated at 1586 and measuring 60 × 40 cm. These are three pairs of the heraldic stained glass artworks dedicated to the patrician married couples from Wrocław: Georg von Rohn and Jemmina von Reichel, Stenzel von Rohn and Susanna Fetscherin, Georg Köÿe and Magdalena Schreiterin. The glass artworks are painted with black contour paint and patina, yellow silver stain and blue and red, transparent glaze paints. They come from the Gothic Church of St Christopher in Wrocław. They had most probably been moved there from the town Church of St Elizabeth in Wrocław. In 1884, they were bequeathed to the collection of the Wrocław Museum Schlesischer Altertümer (Museum of Silesian Antiquities). In the years 2017-2018, they were copied. Set in diamond-shaped glazing, the copies were installed in three windows of the Lutheran Church of St Christopher rebuilt after World War II. The church window stonework with tracery was also reconstructed, based on patterns from the 1880s. In 2018, fourteen coats of arms of Silesian noble families were placed in two other windows of the church and in crown glass. They were fashioned after original Silesian and Swiss stained glass windows from the 16th and early 17th centuries. Two chancel windows were decorated in 2018 with figurative stained glass depicting holy Catholic and Evangelical martyrs: the Rev. Dietrich Bonhöffer and St Edith Stein, St Maximilian Kolbe and Archbishop Juliusz Bursche. The conservation concept for reconstruction of the windows was to use the copies of the 1586 stained glass artworks and other heraldic glass works inspired by the Renaissance stained glass art, as well as figurative stained glass, in a neo-Renaissance architectural setting. Such a reconstruction of the glazing alludes to the functioning of the Lutheran temple in early modern times and to its equipment, including the late Renaissance altar from the late 16th century.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2021, 1; 131-165
0029-8247
2956-6606
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
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