- Tytuł:
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Porfirowa kolumna w Konstantynopolu i jej wczesnobizantyńska legenda
La colonne de Porphyre a Constantinople et sa legende au debut de Byzance - Autorzy:
- Bralewski, Sławomir
- Powiązania:
- https://bibliotekanauki.pl/articles/611932.pdf
- Data publikacji:
- 2010
- Wydawca:
- Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
- Tematy:
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porfirowa kolumna
Konstantynopol
colonne de Porphyre
Constantinople - Opis:
- La colonne de porphyre à Constantinople qui a été créée pendant les règnes de Constantin le Grand dans les années 324- 330, occupe une place extraordinaire dans l’histoire de la capitale orientale d’Imperium Romanum. Elle est devenue même le symbole légendaire de la ville. Mesurant 37 mètres d’hauteur et finie par la statue de l’empereur Constantin- Helios, la colonne devait comporter des reliques de grande valeur pour les chrétiens. Elle constituait aussi un point important dans les célébrations des victoires de l’empereur. De plus, les habitants de la ville croyaient que la colonne pourrait leur assurer la délivrance dans le cas de la destruction de leur monde. Les débuts de la légende de la colonne de porphyre apparaissent avec le début de Byzance. Dans cet article, je voudrais présenter ce que constituait cette tradition et établir si la conscience de l’importance particulière de la colonne existait déjà au début de Byzance. En ce temps- là, le monument liait les idées païennes et chrétiennes, étant le sacrum aussi bien pour les uns que pour les autres. Il est très intéressant de voir comment la colonne a été présentée par les historiens d’église de Constantinople au milieu du Vème siècle: Socrate et Sozomène. Dans son “Histoire ecclésiastique”, Socrate a mentionné la colonne deux fois: d’abord dans la description de la découverte des reliques da la Sainte Croix par Hélène, la mère de Constantin le Grand, et puis quand il présentait les circonstances de la mort de l’hérésiarque Arius. Dans le premier cas, Socrate décrit la colonne comme un lieu où on a mis les reliques de la Sainte Croix: l’empereur qui les a reçues de sa mère, étant convaincu que la ville où se trouverait cette saintété ne pourrait pas déperir, a ordonné de les cacher dans sa propre statue. Dans le
- Źródło:
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Vox Patrum; 2010, 55; 95-110
0860-9411
2719-3586 - Pojawia się w:
- Vox Patrum
- Dostawca treści:
- Biblioteka Nauki