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Wyszukujesz frazę "paul" wg kryterium: Temat


Tytuł:
Chrystologia Pawła w egzegezie współczesnej
Autorzy:
Wolniewicz, Marian
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1163707.pdf
Data publikacji:
1963
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
chrystologia
nauczanie Pawła
christology
Paul' teaching
Opis:
Dans son article 1’auteur s’occupe seulement de deux livres consacrés à la christologie de Saint Paul, parus dernièrement dans la collection „Lectio Divina”. Il s’agit de travail écrit par Fr. Amiot sous le titre: Les idées maîtresses de Saint Paul, Paris 1958 et celui de L. Cerfaux, Le Christ dans la théologie de Saint Paul, Paris 1951 (2-ème édition Paris 1954). En comparant ces deux oeuvres au point de vue de la méthode de l’exposition exégétique, 1’auteur préfère celle de L. Cerfaux, et c’est pourquoi il s’intéresse au travail du célèbre professeur lovanien, d’une manière plus spéciale. En conclusion il recommande la méthode de L. Cerfaux comme très utile et constructive dans l’exposition de la théologie biblique et surtout de la christologie aux Grands Séminaires des Prêtres.
Źródło:
The Biblical Annals; 1963, 10, 1; 77-84
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kościół a Kościoły w doktrynie św. Pawła
Autorzy:
Stępień, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1163567.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
Kościół
eklezjologia
nauczanie Pawła
Church
ecclesiology
Paul's teaching
Opis:
Je me limite au problème de la valeur sémantique du terme ekklēsia et de son utilisation dans les épîtres de St Paul en tentant de démontrer que, contrairement à ce que maintient L. Cerfaux reprenant ainsi la théorie de J. Weiss et des critiques protestants, ce terme dans le sens d’Église universelle apparaît déjà dans les grandes épîtres antérieures à celles que 1’apôtre avait écrites en prison.I. LES ,,ÉGLISES” DANS LES ÉPITRES DE ST PAULLe terme ekklēsia se répète chez St Paul 64 fois (dont deux fois dans Hebr.), et notamment: 31 fois dans le sens d’église locale, 12 fois — d’assemblée religieuse de fidèles (dont 1 fois dans Hebr.), 5 fois — „d’église domestique” et 16 fois — d’Église universelle (dont 1 fois dans Hebr.). Bien que des „églises” soient placées au premier rang dans les premiers écrits de St Paul et dans ses grandes épîtres, il ne fait toutefois pas de doute que 1’Église universelle en tant qu’idée était plus ancienne que les églises locales et les assemblées religieuses. La communauté chrétienne ne faisait que représenter, dans un endroit donné, l’Église universelle. Les premiers chrétiens adoptèrent le terme ekklēsia non pas dans le sens qu’il possèdait dans la langue courante grecque (assemblée du peuple), mais dans celui que conféra à ce terme Jésus Christ en disant à Pierre qu’il édifierait sur lui son Église (Math. 16,18—19). L’Église du Christ était conformément à la volonté du Sauveur une et universelle (Matth. 28, 19: Marc. 16,16). Cette toute première signification du terme ekklēsia parmi les premiers chrétiens trouve par la suite sa confirmation dans les mots avec lesquels St Paul, dans ses épîtres, remplace ou explique ce terme, dans les mots tels que, par exemple, „les saints”, „les élus” qui reprennent du Vieux Testament ses définitions du peuple de Dieu (qāhāl) et que la version des Septante explique justement par ekklēsia dans son sens cependant universel. Cette Église universelle s’identifiait au début avec 1'église de Jérusalem. Puis lorsque d’autres communautés chrétiennes apparurent et qu’il fallut les différencier les unes des autres, on se servit du nom „Église” dans son sens local. L’apôtre reprit donc du vocabulaire chrétien les deux significations du terme ekklēsia: Église universelle et église locale, et non seulement cette deuxième, ainsi que le maintient L. Cerfaux. Par contre, c’est sous l’influence du milieu grec où le mot ekklēsia signifiait une assemblée du peuple dans le sens actif qu’à Corinthe, les réunions religieuses des fidèles furent appelées églises. Et comme ces assemblées du peuple pouvaient également avoir lieu dans des maisons privées, les chrétiens adoptèrent donc le nom d’ „églises domestiques”.II. EKKLĒSIA EN TANT QU’ÉGLISE UNIVERSELLE DANS LES ÉPITRES DE ST PAULL. Cerfaux, reprenant J. Weiss et les critiques protestants, tente de démontrer que ce n’est que dans ses épîtres écrites en prison que Paul employa le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle. Pour argumenter cette thèse, L. Cerfaux souligne le caractère particulier de ces épîtres (Eph. et Col.) qui témoignent que leur auteur d’une part avait tenu compte des spéculalions gnostiques des communautés de l’Asie Mineure et que, d’autre part, à l’occasion de son troisième voyage il avait assisté à une nouvelle manifestation de 1’unité des païens et des juifs au sein de l’Église du Christ qui s’était produite lors de la grande collecte menée en faveur de 1’église à Jérusalem. Les arguments de L. Cerfaux, bien que justes en tant que tels, ne suffisent cependant pas à eux seuls pour nous convaincre de la justesse de la thèse de 1’auteur. Nul ne peut nier que c’est parce qu’il prenait en considération les besoins des communautés chrétiennes de l’Asie Mineure que Paul, dans son épître aux habitants d’Ephèse, posa le problème de l’Église à 1’échelle cosmique, universelle. Et c’est ce qui explique, entre autres, pourquoi dans la-dite épître, le terme ekklēsia apparait toujours dans le sens d’Église universelle. Mais de là à conclure que 1’apôtre n’ait jamais auparavant employé ce terme dans ce sens — il y a loin et ceci d’autant plus loin que Paul avait toujours vécu avec l’idée de l’Église universelle. La grande collecte avait certainement été pour lui une source de joie et il avait pû voir en elle le signe de 1’unité des grecs et des juifs dans l’Église, mais ce signe ne pouvait être qu’extérieur, ne pouvait être que l’expression que 1’enseignement antérieur de Paul sur 1’unité de l’Église s’était réalisé (le baptême étant le signe essentiel de cette unité). Cet événement heureux pour 1’apôtre non seulement n’exclue pas l’éventualité que Paul se soit servi plus tôt du terme dans son sens universel, mais au contraire la fait sous-entendre: si l’apôtre est heureux de cette manifestation concrète de la fraternisation des grecs et des juifs au sein de 1’Église, c’est parce que dès le début il enseignait cette unité et parce qu’il la désirait de tout son être, ainsi que le prouvent indiscutablement ses épîtres (Gal 1, Cor., Rom.). L. Cerfaux maintient que Paul n’avait pas pû employer le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle dans ses premiers écrits et dans ses grandes épîtres parce qu’à l’époque où ces épîtres furent écrites, ce terme désignait l’église locale et les assemblées religieuses. Personne ne met en doute que telle était alors la signification de ce terme. Mais était-ce l’unique? L. Cerfaux, tout en admettant que le terme ekklēsia possèdait à son origine un sens universel, n’a nulle part ailleurs prouvé que ce sens eût par la suite entièrement disparu cèdant place au sens local. Pourquoi ces deux significations n’auraient-elles pas pû coexister puisque cette coexistence, nous l’observons aussi bien dans les épîtres écrites en prison (Phil., Col.) que dans les épîtres pastorales (1 Tit.), et puisqu’aussi bien les temps ultérieurs à Paul que les temps actuels la confirment indiscutablement? Si 1’apôtre connaissait et alimentait constamment en lui l’idée de l’Église universelle, et ceci L. Cerfaux le maintient également, et s’il savait que le terme ekklēsia signifiait à ses origines l’Église universelle, et il ne pouvait pas ignorer ce fait, pourquoi dans ce cas-là devrions-nous lui refuser le droit de se servir de ce terme à son gré? Notre jugement se voit d’ailleurs confirmé par des textes connus: Gal. 1, 13; I Cor. 15, 9 et I Cor. 12,26 qui, de l’avis de la presque totalité des exégètes, employaient le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle. Les tentatives de L. Cerfaux en vue d’imposer aux paroles de Paul le sens dont cet auleur a besoin pour prouver la justesse d’une thèse acceptée à priori, semblent être menées avec un trop grand déploiement artistique et font mettre en doute la sincérité de leur auteur et de sa foi en ce qu’il s’efforce de démontrer (voir par ex. Théologie de l’Église, p. 81 en confrontation avec la p. 144; p. 147 ss. p. 151). Il reste encore à expliquer un fait frappant: pourquoi le terme ekklēsia dans le sens l’Église universelle domine-t-il dans les épîtres écrites en prison, rien que dans Ef il est employé dans ce sens 9 fois? Les arguments employés par L. Cerfaux expliquent en partie ce fait. Il semble toutefois que la meilleure explication réside dans la circonstance que 1’apôtre écrivit ces épîtres en prison. La souffrance endurée dans la solitude est propice à la formation de la synthèse et à une classification des problèmes d’après l’hiérarchie de leurs valeurs, cette constatation est encore plus valable quand on dispose de riches matériaux dûs à de nombreuses expériences. Paul — missionnaire et père dont la vie s’identifiait avec celle des églises qu’il avait fondées, voyait mieux à distance toutes leurs „grandeurs” et toutes leurs „misères”. Ce dernier aspect ne se laissait pas de le tourmenter. Il cherchait une fois de plus les raisons des disputes et des discordes qui règnaient dans les différentes communautés. Il avait toujours prêché l’Église universelle, mais l’avait-il fait d’une manière satisfaisante? L’emploi du terme ekklēsia dans le sens d’église locale et d’assemblée religieuse n’avait-il pas effacé dans l’ombre le trait essentiel de 1’Église, c’est à dire, son unité et son universalité? Quand Paul considérait ces problèmes, il n’était pas seulement un simple missionnaire et un prêtre, mais surtout 1’apôtre de Jésus Christ et 1’instrument dans la main de Dieu, un instrument qui, dans la solitude, devient plus sensible et plus exposé à l’action divine. C’est dans ces conditions qu’il crée la synthèse de 1’enseignement sur 1’église, sur l’Église une et universelle qui est le corps du Christ et la „Plénitude” de Celui qui remplit tous en tous. Et les destinataires de la lettre aux Ephésiens sont les premiers à qui il expose cet enseignement par écrit.
Źródło:
The Biblical Annals; 1964, 11, 1; 93-106
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Perspektywy "kosmiczne" w soteriologii św. Pawła (Rz 8, 19—27)
Autorzy:
Romaniuk, Kazimierz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1162167.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
soteriologia
Paweł
nauczanie Pawła
Rz 8
19-27
soteriology
Paul
Paul's teaching
Rom 8
Opis:
L’article se compose de trois parties: I. Le contexte du passage Rom. 8, 19—27; II. L’exégèse du texte Rom. 8, 19—27; III. Les réflexions finales et la traduction paraphrasée du texte. Pour ce qui est du contexte, il faut retenir les liens de notre texte avec les chapitres précédents et tout spécialement avec le chapitre V qui annonce le thème du passage Rom. 8, 19—27. Dans le texte même on peut distinguer trois thèmes: 1. L’attente par la création de la révélation des fils de Dieu; 2. L’attente par les hommes de la rédemption du corps; 3. Les gémissements qu’on ne peut pas exprimer par les paroles humaines ou l’intercession de 1’Esprit Saint. La signification de la pensée authentique de l’apôtre dépend du sens dans lequel sont employés par saint Paul des termes comme: κτισις, ο υποταξων, ματαιοτης, φθορα, απαρχη etc. Le mot κτισις, d’après toute vraisemblance, signifie toute créature animée et inanimée, excepté l’homme. Une telle créature, personnifiée de façon plastique, attend avec une grande impatience la révélation future du Fils. L’épiphanie eschatologique du Christ est conçue aussi comme une révélation de tous les enfants de Dieu. La vanité (ματαιοτης) à laquelle est soumise la créature possède un sens moral. L’homme est celui qui soumet la créature aux lois de la vanité. La libération de la créature consistera en son affranchissement de la vanité. L’avenir de la créature, vue du côté positif, se traduira par la participation de tout ce qui est creé à la liberté et à la gloiredes enfants de Dieu. Une part toute spéciale dans la future gloire de toute la création a été réservée au corps humain dont l’homme attend la rédemption. Ce désir de l’homme, de soi tellement faible, est accompagné par 1’Esprit Saint qui intercède pour nous. Dans le problème de la „sotériologie cosmique” de S. Paul, il s’agit surtout de la rédemption du corps humain. Celui-ci ne peut pas être considéré comme une prison de l’âme. II constitue une partie de l’homme, destinée à être transformée en „corps spirituel”. Quant aux sources littéraires du texte Rom. 8, 19—27 on admet, outre les allusions bien claires au livre de la Genèse, quelques influences de la littérature apocalyptique juive.
Źródło:
The Biblical Annals; 1966, 13, 1; 81-94
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Temat nagrody i kary jako motyw parenetyczny w listach św. Pawła
Autorzy:
Romaniuk, Kazimierz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1162865.pdf
Data publikacji:
1969
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
nagroda
kara
listy Pawłowe
award
punishment
Paul's epistles
Opis:
Cet article a pour but de démontrer que les motifs de la récompense et du châtiment futur ne sont pas uniques et ne jouent même pas un rôle principal dans la parénèse de saint Paul. C’est ainsi que dans les épîtres aux Thessaloniciens le motif de la rémunération n’existe pas du tout et celui du châtiment futur ne revient que dans forme de l’idée qu’on se fait de Dieu: Distributeur de la justice. La nature du châtiment n’y est pas précisée et on ne trouve même pas une allusion quelconque à la poena damni. Etant donné le caractère purement eschatologique des Epitres aux Thessaloniciens on s’étonne que le motif de la peine éternelle apparaisse si rarement das ces écrits. Dans les Grandes Epîtres, les textes concemant le thème de la rétribution peuvent être partagés en deux groupes: le premier est constitué par ceux qui touchent a l’idée du châtiment terrestre tandis que dans le deuxième se trouvent ceux qui parlent de la rémunération ou du châtiment éternel. II faut reconnaître que les motifs de la rétribution sont tout spécialement développés dans les Grandes Epîtres et parmi elles la première aux Corinthiens occupe la première place. Il est vrai que la crainte du châtiment prédomine, mais le thème de la rémunération n’y est pas négligé. La nature du châtiment ainsi que de la récompense est bien précisée: le châtiment consistera non seulement en ce que le pécheur sera soumis aux souffrances, mais aussi en ce qu’il sera repoussé par Dieu; il passera par les épreuves du feu et sera même dans une certaine mesure détruit par le feu. Les peines terrestres sous forme des maladies et faiblesses physiques viennent de Dieu, et l’apôrte en personne sera aussi celui qui punira parfois les pécheurs. Dans les Epîtres de la Captivité les motifs de la récompense et du châtiment sont rares. Ils ne sont même pas abordés dans les Epitres aux Colossiens et aux Philippiens. Dans l’Epître aux Ephésiens le motif de la rémunération domine. On a donc le droit de constater qu’au temps de la rédaction des Epîtres de la Captivité d’autres motifs étaient considérés comme plus efficaces par saint Paul. La recherche des motifs de la récompense et du châtiment futur dans les Epîtres Pastorales ne donne pas de grands résultats: le thème du châtiment ultérieur n’y est pas mentionné, 1’idée de la rémunération ne revient que quelques fois comme motif. C’est aussi les motifs christologiques, comme dans les Epîtres de la Captivité, qui se trouvent, ici également sur le premier plan. Bref: les motifs de la rémunération future sont déjà à noter dans les Epîtres aux Thessaloniciens, mais on les ren contre le plus souvent dans les Epîtres aux Corinthiens. Ils disparaissent peu à peu dans les Epîtres ultérieures, pour faire place à des motifs plus élevés ce qui s’harmonise bien avec la ligne générale du développement et du caractère spécifiquement sotériologique de la théologie paulinienne.
Źródło:
The Biblical Annals; 1969, 16, 1; 41-59
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
"Bibliographie der archäologischen Konservierungstechnik. Zweite erweiterte Ausgabe", Paul Gaudel, "Ergänzunsbände des Berliner Jahrbuch für Vor- und Frühgeschichte", 2, 1969 : [recenzja]
Autorzy:
Gurba, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538757.pdf
Data publikacji:
1971
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Bibliographie der archäologischen Konservierungstechnik
Paul Gaudel
bibliografia Gaudela
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1971, 2; 159-160
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Ochrona zabytków w USA
THE PROTECTION OF HISTORICAL MONUMENTS IN THE UNITED STATES OF NORTH AMERICA
Autorzy:
Łysiak, Waldemar
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537477.pdf
Data publikacji:
1974
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
ochrona zabytków w USA
Ashbel Smith Hall
Walter Gresham House
Allen Paul House
George Kelley’s Restaurant
Metropolitan Theatre
Cumberland School
"Dom Napoleona"
fort Sumter
Opis:
The author deals with both situation and problems of historioa.l monuments protection in the United States of America emphasising the specific aspects of conservation in that country and quoting numerous examples of rehabilitation of monuments dating from colonial times and from the eighteenth and nieteenth centuries. There is no effectively acting regular conservation service in the States that could be compared with such services active in several European countries which does not mean, however, that no achievements were gained in America in the field of protection and rehabilitation of historical monuments. As one from among numerous examples he quotes the nineteenthcentury Cumberland School, Dallas. It has been carefully restored and then adapted for the Managing Offices of the South-East Drilling Company who granted the suitable financial means for that undertaking. It deserves to be noted that in the States the works have already been started aimed not only at protection of individual objects but also of the whole groupings and as examples of isuch practice may be considered the towns of San Antonio, Texas and San Augustine, Florida. To be especially emphasised deserve the efforts made at present with the view to safeguard a number of objects of military engineering and architecture forming the monuments from the eventful history of American people and in the first line of those from the times of Secession Wajr. The author presents, among the others, in his report the adaptation of the nineteenth-century fort of Sumter sited on the isle in Charleston Bay (South Carolina) which is to be turned into museum of arms. At the same time he puts forward an interesting hypothesis that as a model for the fort of Sumter could serve the Montalembert Tower of 1812 that has been erected in Napoleonic times within the fortress of Modlin near Warsaw. The similarity of forms in these two objects is one striking the eye. As one of the most interesting achievements the author presents the chapol in the Round Diamond Rancho, Hondo Valley where modern architecture has been perfectly adapted to relics of a sacred building from colonial times.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1974, 1; 57-66
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Chrystus jako nowy Adam w listach Pawła apostoła
Autorzy:
Szlaga, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1164555.pdf
Data publikacji:
1975
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
listy Pawłowe
Adam
grzech
łaska
śmierć
życie
Paul's epistles
sin
grace
death
life
Opis:
Die beiden neutestamentlichen Texte, in denen die Idee des neuen (oder des zweiten) Adams vorkommt, zeigen eine Gegenüberstellung der zwei Etappen der Heilsgeschichte: der vor und nach Christus. Im 1 Kor akzentiert der Apostel Paulus, dass mit Jesus das neue Leben begonnen ist, und im Röm — den Anfang des neuen Gnadenäons. Die Adam –Christus-Parallele betont den Universalismus der Heilsgeschichte, die Grösse der Erlösung und ihre eschatologische Erfüllung in der gemeinsam en Auferstehung.
Źródło:
The Biblical Annals; 1975, 22, 1; 85-96
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł

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