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Tytuł:
La caricature ou le mystère des mots bourdonnant aux oreilles dans Le Nègre du Gouverneur de Serge Patient
The caricature or mystery of words buzzing in the ears in Serge Patient’s The Governor’s Negro
Autorzy:
Danglades, Mylène
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1038052.pdf
Data publikacji:
2020-12-30
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Wydawnictwo Werset
Tematy:
Serge Patient
D'Chimbo
caricature
mystère
représentation
imaginaire
rire
mystery
representation
imagination
laughter
Opis:
La caricature, dans sa représentation la plus élémentaire, dans sa polysémie ou ses multiples extensions, fait référence à la charge, au « faix du fagot » amenant l’homme à gémir, à ployer et à marcher courbé « à pas pesants ». Les écrivains, tels des humoristes ou des peintres de la vie moderne, s’emploient à combiner les normes de la représentation et à distordre les mots pour souligner l’animalité de l’homme. Serge Patient, dans sa chronique intitulée Le Nègre du Gouverneur publiée en 1978, nous propulse dans le temps, dans l’imaginaire collectif guyanais et nous invite notamment à nous focaliser sur l'esclave noir D’Chimbo. Il appartient alors au lecteur de décrypter les données, de les rectifier ou de les blâmer en riant brutalement ou en domestiquant son rire. Les rires apaisés ou ravivés et les mots bourdonnant plus faiblement aux oreilles, quel langage et quels poncifs pourraient encore se dessiner ?
The caricature, in its most elementary representation, in its polysemy, its multiple extensions, refers to the burden, to the “fagot load” causing man to moan, to bend and to walk bent “with heavy steps”. Writers, such as comedians or painters of modern life, strive to combine the norms of representation and to distort words to emphasize the animality of man. Serge Patient, in his column entitled The Governor’s Negro published in 1978, propels us back in time, into the collective Guyanese imagination and invites us to focus on a black slave, D’Chimbo. It is then up to the reader to decipher the data, correct them or blame them by laughing brutally or domesticating the laughter. With soothed or revived laughter and words buzzing weaker in the ears, what language and clichés could still emerge?
Źródło:
Quêtes littéraires; 2020, 10; 207-225
2084-8099
2657-487X
Pojawia się w:
Quêtes littéraires
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Mystére IVA w Krakowie
Autorzy:
JLL.
Powiązania:
Skrzydlata Polska 2020, nr 2, s. 46-47
Współwytwórcy:
WŁ. Autor
Data publikacji:
2020
Tematy:
Muzeum Lotnictwa Polskiego (Kraków)
Zbiory muzealne
Samoloty myśliwsko-bombowe
Dassault Mystère IVA (samolot)
Artykuł z czasopisma fachowego
Opis:
Artykuł dotyczy nowego eksponatu Krakowskiego Muzeum Lotnictwa Polskiego. To francuski odrzutowy samolot myśliwsko-bombowy Dassault Mystere IVA, oblatany 28 września 1952 roku. Przedstawiona została budowa, dane taktyczno-techniczne, uzbrojenie i użytkownicy bojowi francuskiego samolotu.
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł
Tytuł:
Szema Karola Péguy
Shema de Charles Péguy
Autorzy:
Pereira, Katarzyna R.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1954962.pdf
Data publikacji:
2000
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Tematy:
Biblia a literatura
dialog judeo-chrześcijański
ekumenizm
kabała chrześcijańska
mistyka żydowska
Mystères de Jeanne d'Arc
Péguy Charles
Le Porche du mystère de la deuxième vertu
Szema [Izrael]
Bible and literature
Jewish-Christian dialogue
ecumenism
Cabbala
Cabala
Jewish mysticism
Shema [Israël]
Opis:
Beaucoup de biographes, amis et critiques de Péguy, constatent que sa vie et son œuvre sont indéniablement liées à la fois à Israël et à l’Église. Il est l’homme aux frontières et le précurseur de l’œcuménisme. C’est avec les Juifs qu’il a fait ses premiers pas. d’abord dans la politique, ensuite dans la philosophie. Ses nombreux amis, collaborateurs et abonnés des Cahiers de la Quinzaine. étaient sinon de confession, au moins d’origine juive. Son grand amour était une Juive. 11 avait jusqu’à son «chapelain hébraïque», comme il appelait lui-même son ami, un juif observant, Edmond-Maurice Lévy. Dans la Note conjointe de Péguy, devenue son texte ultime et restée inachevée, appa raissent «deux amis qui se promènent», L’un est juif, l’autre chrétien. Cette image, tout à fait banale et quotidienne, de «deux amis» qui «philosophent» ensemble malgré leurs différences, chacun restant soi-même et, néanmoins, faisant un effort pour essayer de «voir avec les yeux de l’autre», peut être comprise en tant que figure prophétique du dialogue judéo-chrétien et de celui des deux Testaments qui, aujourd’hui, semble voir le jour. Tout en étant leur précurseur, Péguy découvre en même temps sa propre appartenance filiale à l’Église et le don essentiel du catholicisme, sa véritable richesse, la joie. Le dialogue entre les «deux amis» correspond à celui qui peut s’instaurer entre les deux parties du Livre sacré, l’Ancien et la Nouveau Testament, en un processus décisif pour la réconciliation entre les deux peuples-héritiers de la Bible-Torah. Ce désir de réconciliation est d’autant plus justifié que la plaie de la Shoah reste ouverte, Selon la vision du salut présentée par Péguy, qui est à la fois paulinienne et proche de certains mystiques juifs, plus grande est l’ouverture dans le cœur de l’homme suite à la souffrance, (celle-ci étant le fruit de son propre péché ou de celui des autres), plus grande peut être aussi la grâce qui s’y glisse. La promenade de «deux amis», le juif et le chrétien, est à la fois une réalité palpable de la vie de Péguy et une figure symbolique qui exprime l’essentiel de la vocation de l’auteur. Elle est l’image de son dialogue interne, mais semble être également la promesse du meilleur dans le dialogue externe, devenu aujourd’hui possible. C’est sous l’éclairage de ces recherches sur le dialogue œcuménique que nous avons choisi d’aborder Le Porche du mystère de la deuxième vertu de Péguy. Péguy se révèle comme un annonciateur du dialogue, mais il s’avère aussi beaucoup plus que cela; en mystique, il pressent la dimension profondément trinitaire de celui-ci. Les deux Testaments, en tant que deux pièces d’une même unité, deviennent eux-mçmes de véritables «symboles» (sumbolon en grec signifiant étymologiquement «morceau d’un objet partagé entre deux personnes pour servir entre elles de signe de reconnaissance»). 11 faut préciser le terme de symbole, dont l’usage est devenu ambigu. Tout au long de notre travail, il sera pour nous le porteur d’une signification «méta-physique» (au sens propre) et sacramentaire. Il s’agit donc d’un signe visible (étant lui-même une réalité palpable, un événement) qui rend réellement présente une réalité, d’un événement voilé, invisible. Dans cette compréhension du terme de symbole, il n’y a que deux pièces, soudées entre elles, d’une unique et même réalité. Nous nous situons ainsi dans la ligne des traditions (sur ce point convergentes) judaïque et chrétienne. Dans les deux cas, le symbole diffère essentiellement de l’allégorie. Celle-ci n’est qu’une représentation de quelque chose d’exprimable par une autre chose, elle aussi exprimable, avec un nombre infini de signifiés. Le symbolisme lisible chez Péguy se fait particulièrement transparent dans les textes de ses Mystères. Cette œuvre étant elle-même un grand dialogue dont l’auteur s’efface (il semble être à la fois Madame Gervaise et son interlocuteur, Jeanne d’Arc, figurant ainsi une véritable mise en scène trinitaire) porte, selon nous, scs marques les plus pertinentes. L’auteur se révèle non seulement comme l’homme du dialogue entre deux Alliances, T Ancienne et la Nouvelle, mais encore comme leur héritier. Cela transparaît sans cesse dans son œuvre. Il semble se mouvoir, à travers ces deux réalités selon un certain «code intuitif» que nous appe- lerions le Sherna. Ce verbe hébreu signifiant «écoute!» et «écouter» commence la prière juive Shema, Israël. Elle tire son appellation des premiers mots du texte du Deutéronome (6, 4-9): «Écoute, Israël: le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un!». Récitée tous les jours, matin et soir, elle est devenue la «profession de foi» juive par excellence. «Écoute, ma fille», «Écoute, mon enfant», constamment répétés dans l’œuvre de Péguy, représentent une «mise en œuvre» de la situation existentielle et spirituelle de l’auteur.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 2000, 48, 5; 5-24
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
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