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Wyszukujesz frazę "mistyka żydowska" wg kryterium: Temat


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Tytuł:
Mistyka i fizjologia – ciała Brunona Schulza
Physiology and mystique – the bodies of Bruno Schulz
Autorzy:
Fazan, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/969163.pdf
Data publikacji:
2012
Wydawca:
Uniwersytet Jagielloński. Wydawnictwo Uniwersytetu Jagiellońskiego
Tematy:
ciało
fi zjologia
kabała
mistyka
literatura żydowska
body
physiology
kabbalah
jewish literature
Opis:
The article concerns the close-knit relationship between the physiologically perceived human body and the mystical vision of the world which appears in Bruno Schulz’s literary creation. The search for an artistic formula for joining the opposites – the pungent, bestial nature of the earthly life and its cabalistic roots – characterizes the tension in Schulz’s writing, at the same time being a reaction to the crisis of the humanistic conception of man. In its creative, original remaking, it captures the Jewish tradition as well as elements of the Polish interwar avant-garde.
Źródło:
Wielogłos; 2012, 4, 14; 307-314
2084-395X
Pojawia się w:
Wielogłos
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Szema Karola Péguy
Shema de Charles Péguy
Autorzy:
Pereira, Katarzyna R.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1954962.pdf
Data publikacji:
2000
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Tematy:
Biblia a literatura
dialog judeo-chrześcijański
ekumenizm
kabała chrześcijańska
mistyka żydowska
Mystères de Jeanne d'Arc
Péguy Charles
Le Porche du mystère de la deuxième vertu
Szema [Izrael]
Bible and literature
Jewish-Christian dialogue
ecumenism
Cabbala
Cabala
Jewish mysticism
Shema [Israël]
Opis:
Beaucoup de biographes, amis et critiques de Péguy, constatent que sa vie et son œuvre sont indéniablement liées à la fois à Israël et à l’Église. Il est l’homme aux frontières et le précurseur de l’œcuménisme. C’est avec les Juifs qu’il a fait ses premiers pas. d’abord dans la politique, ensuite dans la philosophie. Ses nombreux amis, collaborateurs et abonnés des Cahiers de la Quinzaine. étaient sinon de confession, au moins d’origine juive. Son grand amour était une Juive. 11 avait jusqu’à son «chapelain hébraïque», comme il appelait lui-même son ami, un juif observant, Edmond-Maurice Lévy. Dans la Note conjointe de Péguy, devenue son texte ultime et restée inachevée, appa raissent «deux amis qui se promènent», L’un est juif, l’autre chrétien. Cette image, tout à fait banale et quotidienne, de «deux amis» qui «philosophent» ensemble malgré leurs différences, chacun restant soi-même et, néanmoins, faisant un effort pour essayer de «voir avec les yeux de l’autre», peut être comprise en tant que figure prophétique du dialogue judéo-chrétien et de celui des deux Testaments qui, aujourd’hui, semble voir le jour. Tout en étant leur précurseur, Péguy découvre en même temps sa propre appartenance filiale à l’Église et le don essentiel du catholicisme, sa véritable richesse, la joie. Le dialogue entre les «deux amis» correspond à celui qui peut s’instaurer entre les deux parties du Livre sacré, l’Ancien et la Nouveau Testament, en un processus décisif pour la réconciliation entre les deux peuples-héritiers de la Bible-Torah. Ce désir de réconciliation est d’autant plus justifié que la plaie de la Shoah reste ouverte, Selon la vision du salut présentée par Péguy, qui est à la fois paulinienne et proche de certains mystiques juifs, plus grande est l’ouverture dans le cœur de l’homme suite à la souffrance, (celle-ci étant le fruit de son propre péché ou de celui des autres), plus grande peut être aussi la grâce qui s’y glisse. La promenade de «deux amis», le juif et le chrétien, est à la fois une réalité palpable de la vie de Péguy et une figure symbolique qui exprime l’essentiel de la vocation de l’auteur. Elle est l’image de son dialogue interne, mais semble être également la promesse du meilleur dans le dialogue externe, devenu aujourd’hui possible. C’est sous l’éclairage de ces recherches sur le dialogue œcuménique que nous avons choisi d’aborder Le Porche du mystère de la deuxième vertu de Péguy. Péguy se révèle comme un annonciateur du dialogue, mais il s’avère aussi beaucoup plus que cela; en mystique, il pressent la dimension profondément trinitaire de celui-ci. Les deux Testaments, en tant que deux pièces d’une même unité, deviennent eux-mçmes de véritables «symboles» (sumbolon en grec signifiant étymologiquement «morceau d’un objet partagé entre deux personnes pour servir entre elles de signe de reconnaissance»). 11 faut préciser le terme de symbole, dont l’usage est devenu ambigu. Tout au long de notre travail, il sera pour nous le porteur d’une signification «méta-physique» (au sens propre) et sacramentaire. Il s’agit donc d’un signe visible (étant lui-même une réalité palpable, un événement) qui rend réellement présente une réalité, d’un événement voilé, invisible. Dans cette compréhension du terme de symbole, il n’y a que deux pièces, soudées entre elles, d’une unique et même réalité. Nous nous situons ainsi dans la ligne des traditions (sur ce point convergentes) judaïque et chrétienne. Dans les deux cas, le symbole diffère essentiellement de l’allégorie. Celle-ci n’est qu’une représentation de quelque chose d’exprimable par une autre chose, elle aussi exprimable, avec un nombre infini de signifiés. Le symbolisme lisible chez Péguy se fait particulièrement transparent dans les textes de ses Mystères. Cette œuvre étant elle-même un grand dialogue dont l’auteur s’efface (il semble être à la fois Madame Gervaise et son interlocuteur, Jeanne d’Arc, figurant ainsi une véritable mise en scène trinitaire) porte, selon nous, scs marques les plus pertinentes. L’auteur se révèle non seulement comme l’homme du dialogue entre deux Alliances, T Ancienne et la Nouvelle, mais encore comme leur héritier. Cela transparaît sans cesse dans son œuvre. Il semble se mouvoir, à travers ces deux réalités selon un certain «code intuitif» que nous appe- lerions le Sherna. Ce verbe hébreu signifiant «écoute!» et «écouter» commence la prière juive Shema, Israël. Elle tire son appellation des premiers mots du texte du Deutéronome (6, 4-9): «Écoute, Israël: le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un!». Récitée tous les jours, matin et soir, elle est devenue la «profession de foi» juive par excellence. «Écoute, ma fille», «Écoute, mon enfant», constamment répétés dans l’œuvre de Péguy, représentent une «mise en œuvre» de la situation existentielle et spirituelle de l’auteur.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 2000, 48, 5; 5-24
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Światło z Bezkresu – pochodzenie pleromy według dzieła Ocarot Chaim („Skarbce życia”) rabina Chaima Vitala – wstęp, tłumaczenie, komentarz
Light from infinity - The origin of pleroma according to the woek of Ocarot Chaim (Treasures of life) by R. Chaim Vital - intoduction, translation, commentary
Autorzy:
Sikora, Tomasz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1402412.pdf
Data publikacji:
2021-07-30
Wydawca:
Uniwersytet im. Adama Mickiewicza w Poznaniu
Tematy:
mistyka żydowska
gnoza
kabała luriańska
emanacjonizm
pleroma
Opis:
The presented text contains an introduction, translation and commentary on the stages of the manifestation of the deity and the pleromatic emanation presented in the Ocarot chajim (Treasures of Life) treatise by rabbi Chajim Vital, a disciple of Isaac Luria. This work is the most systematic display of Lurianic metaphysics. In the introduction, the author situates the position of the treaty in the broader context of Lurianic literature. Then he discusses the diff erences and similarities between the ancient Hebrew concept of prophetic spirit transmission, and the Gnostic, Platonic and Neoplatonic understanding of the process of emanation. The translated source text and commentary analyze the act of self-contraction of infi nity and the emergence of a plerome as given in the form of a dialectical game of linear and circular sefi rots until the final emergence of megaanthropos – Adam Qadmon.
Źródło:
Filozofia Chrześcijańska; 2020, 17; 71-94
1734-4530
2450-0399
Pojawia się w:
Filozofia Chrześcijańska
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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