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Tytuł:
Viollet-le-Duc, architekt-konserwator i jego związki z Polską
VIOLLET-LE-DUC, ARCHITECTE-RESTAURATEUR DES MONUMENTS HISTORIQUES ET SES RELATIONS AVEC LA POLOGNE
Autorzy:
Jakimowicz, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537284.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Eugèn Viollet-le-Duc
wystawa „Viollet-le-Duc 1814—1879”
kościół La Madeleine
pojęcie restauracji zabytków
zamek w Gołuchowie
Opis:
Les problèmes de la conservation s ’imposant de plus en plus après la seconde guerre mondiale, le développement des connaissances théoriques de l’histoire de l’art et l ’épanouissement de l’architecture contemporaine ont attiré l’attention des historiens d ’art et d’architecture sur Viollet-le-Duc — créateur des bases scientifiques dans le domaine de la restauration des monuments historiques et de l’archéologie moderne et précurseur du constructionisme. L’exposition „Viollet-le-Duc 1814—1879” organisée à Paris au printemps de 1965 par la Direction de l ’Architecture constitue le point de départ à la future étude critique sur l’oeuvre de Viollet-le-Duc. L’auteur du scénario et du catalogue de cette exposition est Pierre-Marie Auzas, inspecteur principal des Monuments historiques en France. L’exposition se base principalement sur les riches archives de la famille de Viollet-le-Duc (Fonds Viollet-le-Duc pour la première fois mis à la portée des chercheurs et élaborés dans leur ensemble. L’exposition fournit une documentation complète de multiples activités de Viollet-le-Duc. Voilà leurs aspects principaux: les grandes restaurations, son activité de constructeur et de décorateur, d’écrivain et de pédagogue, le rôle qu’il a joué auprès de la Cour Impériale et du Conseil municipal, influence de son oeuvre sur l ’architecture de divers pays de l’Europe et des Etats-Unis. Chacun de ces problèmes a une documentation sous forme de dessins originaux, de projets, d’inventaires de plans de réalisation, de registres des travaux de construction, de notices historiques, de correspondance et d’objets- souvenirs. Le catalogue dont s ’accompagne l’exposition constitue en même temps la chronique de la vie et de l’oeuvre de Viollet-le Duc. Pour nous le plus essentiel c’est l’aspect qui illustre son travail de conservateur. La doctrine communément connue de Viollet-le-Duc formulée dans l’article „La Restauration” dans le „Dictionnaire Raisonné de l’Architecture” relève d’une pratique de plus de vingt années de son travail assidu, d’architecte des monuments historiques, d ’archéologue, de constructeur et de théoricien. Les mêmes expériences lui ont permis de créer la théorie de ,,1’architecture raisonnée” et le „rationnalisme médiéval” et d ’elaborer les méthodes de l’analyse dans le domaine de l’architecture qui justifient pleinement le nom qui lui fut octroyé de „père de l’archéologie moderne”. La plus intéressante réalisation de l’exposition du point de vue des conservateurs semble être l’atelier de travail de Viollet-le-Duc. Ces méthodes sont proches, malgré différences des moyens de celles de l’atelier de conservation contemporain. L’exposition permet d’apporter une correcte aux opinions qui existaient jusqu’à ce jour sur les rejaillissements de l’art de Viollet-le-Duc en Pologne. Les documents français ne confirment point la tradition polonaise peu claire du voyage de Viollet-le- -Duc à Cracovie et à Gołuchów en 1875. Il s ’avéra que ce voyage a été effectué par le disciple et en même temps le gendre du célèbre architecte Maurice- Auguste Ouradou. Néanmoins, on peut lier quelques réalisations en Pologne à l’activité de Viollet- -le-Duc. Elles furent effectuées grâce au mécénat du prince Vladislas Czartoryski et de sa soeur la comtesse Isabelle Działyńska. Ce sont notamment: en 1860 — le projet de l’école polonaise, Bd Montparnasse, à Paris. Aux environs de 1870, les projets de la restauration du château de Gołuchów —· malheureusement disparus. Leur existence et le fait qu’ils ont été l’oeuvre de Viollet-le-Duc, est confirmé par les archives de 1871/74 (lettre de Działyński). En 1876 — projet du maître-autel néoroman dans la crypte St. Léonard dans la cathédrale de Wawel à Craoovie. Viollet-le-Duc donne des consultations sur les problèmes de la restauration du château de Gołuchów et de la transformation du Collège des Piaristes en Musée Czartoryski à Cracovie. Les projets pour les deux bâtiments précités ont été exécutés par Maurice Ouradou. Le château Renaissance de Gołuchów a été restauré entre 1875 et 1885 dans le sty le François Ier. Le Musée Czartoryski pris la forme du néo-gothique français (1875—84). Ces deux réalisations n’avaient aucun rapport avec l’architecture polonaise et n’ont aucun ascendant sur la conservation des monuments en Pologne ni même sur l’architecture polonaise de la fin du XIXe siècle. Par contre, le problème s’impose de l’influençe de la doctrine de Viollet-le-Duc sur la restauration des monuments historiques en Pologne. La restauration des monuments historiques depuis la 3ème décennie du XIXe siècle est devenu un problème aussi lancinant en Pologne (surtout à Cracovie) qu’en France. Toutefois, il lui manquait la base scientifique et les architectes de monuments historiques en Pologne ont longtemps procédé dans l’esprit d’un patriotisme empreint de romantisme. Néanmoins, dès la moitié du XIXe siècle, se précise à Cracovie la notion de la différence entre la restauration et la conservation des monuments historiques tout en estimant hautement cette dernière. Le „Dictionnaire de l’Architecture” était aussi très connu des architectes polonais. Néanmoins, ce n ’est qu’en 1881 qu’il est possible d ’observer une influence directe de l’idée présentée dans l’article „La Restauration” et ceci dans le programme formulé par W. Luszczkiewicz de la reconstruction de la Cathédrale du Wawel à Cracovie. Les directives de Viollet- le-Duc sont complétées par Luszczkiewicz par le postuilat de lui garder une „ambiance poétique”. De quelque façon que nous jugions dans la perspective du siècle écoulé, la doctrine de Viollet-le- -Duc il faut toujours convenir que son importance consiste non seulement au fait qu’elle fut la première théorie scientifique concernant la restauration des monuments historiques. Une acquisition durable et toujours actuelle de Viollet-le-Duc est le fait d’avoir exigé la compétence et la probité de l’atelier de conservation. Il fut le premier à formuler cette motion et à la réaliser avec conséquence dans sa pratique.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 3; 3-12
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Konserwacja kościoła de Fontaines w Neuchâtel
RESTORATION OF DE FONTAINES CHURCH AT NEUCHÂTEL, SWITZERLAND
Autorzy:
Łysiak, Waldemar
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536139.pdf
Data publikacji:
1972
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół de Fontaines w Neuchâtel
Neuchatel w Szwajcarii
Camillo Boito
idea Viollet-le-Duca
Viollet-le-Duc
duch zabytku
Opis:
Basing on example of a small de Fontaines church at Neuchâtel, Switzerland the author deals With an essential problem of adaptative restoration works being undertaken in architectural objects of historical character. Though the building in question, when considered from the viewpoint of history of art, cannot be classified as one belonging to the top category the restoration works carried out gave rise to a great deal of interesting discussion. The problems involved in restoration of th a t church were presented in the summer of 1971 at the International Centre for the Study of Preservation and the Restoration of Cultural Property, Rome, th a t has been established under the auspices of UNESCO, as a specific fea ture in certain modern tendencies present in the conservator’s work. During th e course of restoration in 1969 from the church interior were removed its neo-Gothic fittings made of wood, except for pulpit, whose place took a number of wood furnishings extremely simple in their shapes. In this strive to achieve an intended simplicity and the most functional character of the church’s interior the conservators have, however, advanced too far, as the new fittings are quite drastically modern as to their forms and worse still in sharp contrast to architecture. In this connection the fact th a t from among elements of the former fittings the pulpit has been left as the only element seems to be a misunderstanding or even failure. The author emphasizes th a t it is not the change of fittings alone with which he is dealing in his article but the so-called spirit of the monument meant as the character and climate of authenticity. The excessively modernized interior of de Fontaines church has become one sterile and deprived of colour thus loosing its intrinsic climate and character.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1972, 1; 27-31
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
O polskiej szkole odbudowy i konserwacji zabytków
ON THE POLISH SCHOOL OF THE CONSERVATION AND OF HISTORICAL MONUMENTS
Autorzy:
Zachwatowicz, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538808.pdf
Data publikacji:
1981
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
polska szkoła odbudowy i konserwacji zabytków
ochrona dóbr kultury w Polsce
przykłady zniszczeń i deprecjacji zabytków kultury polskiej
Viollet-le-Duc
konserwacja zabytków w krajach Europy
Alois Riegl
teoria Riegla
zasada „konserwować - nie restaurować”
Alfred Lauterbach
Opis:
The author considers a substantiation of the term „Polish conservation school” and describes stages of the development of the concept of conservation in Poland from the 18th century. He gives examples o f intentional damages and depreciation o f Polish historic monuments during annexations and also o f initiatives taken by conservators and historians. At that time one could see various trends to emerge in conservation methods displaying features of school, to mention only Viollet-le-Duc in France and A. Riegel in Austria. The methods met also a vivid response in Poland, which can be seen in the reconstruction o f the cathedral at Włocławek and of the Cloth Hall in Cracow. Of particular importance were the ideas o f A. Riegel, who showed moderation and tried to find compromise solutions. Such a rational restraint in establishing the direction of monuments conservation adjusted to the conditions and fate of historic monuments in Poland displayed, already at that time, features o f the Polish school favouring, first and foremost, care for a proper form and durability o f monuments o f the national culture and not ambitions o f architectural creativity. In 1918, after the regaining o f independence by Poland conservation services were established and the law on the protection of monuments was enforced in 1928. The definition o f a monument covered all kinds o f human activity and was not time-restricted. It was also then that works on the rebuilding o f monuments destroyed during the war were undertaken, with the main emphasis put to restore the splendour o f royal castles in Warsaw and in Cracow. The operative principle was „to preserve and not to restore” , although the majority o f European projects consisted in restoration. The Conservation Congress in Athens (1931) recommended to avoid the reproduction of destroyed monuments but it did not repudiate the process totally in view o f some inevitable events. The period of People’s Poland II came to an end in 1938 with the statement made by A. Lauterbach, a Polish art historian, who said that the fate o f Polish monuments during the war of 1914—1918 made it impossible to apply the principle „to preserve and not to restore” in its pure form and that restoration and even reproduction o f monuments was a must. After the World War II this statement assumed the form of a concrete work programme (the execution o f old town complexes in, i.a., Warsaw, Gdańsk, Poznań). In the opinion of renowned historians o f architecture (R. Pane) and theoreticians of conservation (W. Frodl) the rebuilding o f monuments in Poland after 1945 was an exceptional and political task. According to the author o f this article, because o f its exceptionality and particular conditions in which monuments were rebuilt, one can hardly talk about „the Polish school o f conservation” , as this is not a doctrine but an exception. A similar method was also used by the French to reconstruct the destroyed town o f Saint Malo. Polish monuments conservation boasts a long tradition of great efforts put into their protection, restoration and reconstruction. One could mention at this point (1) comprehensive studies accompanied by broad inventory works and monographic elaborations, (2) training o f personnel in various fields o f monuments conservation, (3) works on the revival of historic town centres, (4) the establishment in 1950 of the State Enterprise for Conservation of Art, and (5) permanent and active participation o f Polish representatives in international works (e.g. in ICOMOS). The author concludes that each school is linked with a definite philosophical doctrine which the Poles have not created but only applied the methods o f monuments conservation necessary in a given situation.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1981, 1-2; 4-10
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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