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Wyszukujesz frazę "STĘPIEŃ, Jan" wg kryterium: Autor


Tytuł:
Nauka św. Pawła o śmierci
Autorzy:
Stępień, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/670280.pdf
Data publikacji:
1962
Wydawca:
Polskie Towarzystwo Teologiczne
Opis:
-
Źródło:
Ruch Biblijny i Liturgiczny; 1962, 15, 5
2391-8497
0209-0872
Pojawia się w:
Ruch Biblijny i Liturgiczny
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Apostolstwo w ujęciu biblijnym
Autorzy:
Stępień, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/672290.pdf
Data publikacji:
1973
Wydawca:
Polskie Towarzystwo Teologiczne
Opis:
-
Źródło:
Ruch Biblijny i Liturgiczny; 1973, 26, 5–6
2391-8497
0209-0872
Pojawia się w:
Ruch Biblijny i Liturgiczny
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Czas paruzji w Listach św. Pawła
Autorzy:
Stępień, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/670135.pdf
Data publikacji:
1961
Wydawca:
Polskie Towarzystwo Teologiczne
Opis:
-
Źródło:
Ruch Biblijny i Liturgiczny; 1961, 14, 6
2391-8497
0209-0872
Pojawia się w:
Ruch Biblijny i Liturgiczny
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kościół a Kościoły w doktrynie św. Pawła
Autorzy:
Stępień, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1163567.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
Kościół
eklezjologia
nauczanie Pawła
Church
ecclesiology
Paul's teaching
Opis:
Je me limite au problème de la valeur sémantique du terme ekklēsia et de son utilisation dans les épîtres de St Paul en tentant de démontrer que, contrairement à ce que maintient L. Cerfaux reprenant ainsi la théorie de J. Weiss et des critiques protestants, ce terme dans le sens d’Église universelle apparaît déjà dans les grandes épîtres antérieures à celles que 1’apôtre avait écrites en prison.I. LES ,,ÉGLISES” DANS LES ÉPITRES DE ST PAULLe terme ekklēsia se répète chez St Paul 64 fois (dont deux fois dans Hebr.), et notamment: 31 fois dans le sens d’église locale, 12 fois — d’assemblée religieuse de fidèles (dont 1 fois dans Hebr.), 5 fois — „d’église domestique” et 16 fois — d’Église universelle (dont 1 fois dans Hebr.). Bien que des „églises” soient placées au premier rang dans les premiers écrits de St Paul et dans ses grandes épîtres, il ne fait toutefois pas de doute que 1’Église universelle en tant qu’idée était plus ancienne que les églises locales et les assemblées religieuses. La communauté chrétienne ne faisait que représenter, dans un endroit donné, l’Église universelle. Les premiers chrétiens adoptèrent le terme ekklēsia non pas dans le sens qu’il possèdait dans la langue courante grecque (assemblée du peuple), mais dans celui que conféra à ce terme Jésus Christ en disant à Pierre qu’il édifierait sur lui son Église (Math. 16,18—19). L’Église du Christ était conformément à la volonté du Sauveur une et universelle (Matth. 28, 19: Marc. 16,16). Cette toute première signification du terme ekklēsia parmi les premiers chrétiens trouve par la suite sa confirmation dans les mots avec lesquels St Paul, dans ses épîtres, remplace ou explique ce terme, dans les mots tels que, par exemple, „les saints”, „les élus” qui reprennent du Vieux Testament ses définitions du peuple de Dieu (qāhāl) et que la version des Septante explique justement par ekklēsia dans son sens cependant universel. Cette Église universelle s’identifiait au début avec 1'église de Jérusalem. Puis lorsque d’autres communautés chrétiennes apparurent et qu’il fallut les différencier les unes des autres, on se servit du nom „Église” dans son sens local. L’apôtre reprit donc du vocabulaire chrétien les deux significations du terme ekklēsia: Église universelle et église locale, et non seulement cette deuxième, ainsi que le maintient L. Cerfaux. Par contre, c’est sous l’influence du milieu grec où le mot ekklēsia signifiait une assemblée du peuple dans le sens actif qu’à Corinthe, les réunions religieuses des fidèles furent appelées églises. Et comme ces assemblées du peuple pouvaient également avoir lieu dans des maisons privées, les chrétiens adoptèrent donc le nom d’ „églises domestiques”.II. EKKLĒSIA EN TANT QU’ÉGLISE UNIVERSELLE DANS LES ÉPITRES DE ST PAULL. Cerfaux, reprenant J. Weiss et les critiques protestants, tente de démontrer que ce n’est que dans ses épîtres écrites en prison que Paul employa le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle. Pour argumenter cette thèse, L. Cerfaux souligne le caractère particulier de ces épîtres (Eph. et Col.) qui témoignent que leur auteur d’une part avait tenu compte des spéculalions gnostiques des communautés de l’Asie Mineure et que, d’autre part, à l’occasion de son troisième voyage il avait assisté à une nouvelle manifestation de 1’unité des païens et des juifs au sein de l’Église du Christ qui s’était produite lors de la grande collecte menée en faveur de 1’église à Jérusalem. Les arguments de L. Cerfaux, bien que justes en tant que tels, ne suffisent cependant pas à eux seuls pour nous convaincre de la justesse de la thèse de 1’auteur. Nul ne peut nier que c’est parce qu’il prenait en considération les besoins des communautés chrétiennes de l’Asie Mineure que Paul, dans son épître aux habitants d’Ephèse, posa le problème de l’Église à 1’échelle cosmique, universelle. Et c’est ce qui explique, entre autres, pourquoi dans la-dite épître, le terme ekklēsia apparait toujours dans le sens d’Église universelle. Mais de là à conclure que 1’apôtre n’ait jamais auparavant employé ce terme dans ce sens — il y a loin et ceci d’autant plus loin que Paul avait toujours vécu avec l’idée de l’Église universelle. La grande collecte avait certainement été pour lui une source de joie et il avait pû voir en elle le signe de 1’unité des grecs et des juifs dans l’Église, mais ce signe ne pouvait être qu’extérieur, ne pouvait être que l’expression que 1’enseignement antérieur de Paul sur 1’unité de l’Église s’était réalisé (le baptême étant le signe essentiel de cette unité). Cet événement heureux pour 1’apôtre non seulement n’exclue pas l’éventualité que Paul se soit servi plus tôt du terme dans son sens universel, mais au contraire la fait sous-entendre: si l’apôtre est heureux de cette manifestation concrète de la fraternisation des grecs et des juifs au sein de 1’Église, c’est parce que dès le début il enseignait cette unité et parce qu’il la désirait de tout son être, ainsi que le prouvent indiscutablement ses épîtres (Gal 1, Cor., Rom.). L. Cerfaux maintient que Paul n’avait pas pû employer le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle dans ses premiers écrits et dans ses grandes épîtres parce qu’à l’époque où ces épîtres furent écrites, ce terme désignait l’église locale et les assemblées religieuses. Personne ne met en doute que telle était alors la signification de ce terme. Mais était-ce l’unique? L. Cerfaux, tout en admettant que le terme ekklēsia possèdait à son origine un sens universel, n’a nulle part ailleurs prouvé que ce sens eût par la suite entièrement disparu cèdant place au sens local. Pourquoi ces deux significations n’auraient-elles pas pû coexister puisque cette coexistence, nous l’observons aussi bien dans les épîtres écrites en prison (Phil., Col.) que dans les épîtres pastorales (1 Tit.), et puisqu’aussi bien les temps ultérieurs à Paul que les temps actuels la confirment indiscutablement? Si 1’apôtre connaissait et alimentait constamment en lui l’idée de l’Église universelle, et ceci L. Cerfaux le maintient également, et s’il savait que le terme ekklēsia signifiait à ses origines l’Église universelle, et il ne pouvait pas ignorer ce fait, pourquoi dans ce cas-là devrions-nous lui refuser le droit de se servir de ce terme à son gré? Notre jugement se voit d’ailleurs confirmé par des textes connus: Gal. 1, 13; I Cor. 15, 9 et I Cor. 12,26 qui, de l’avis de la presque totalité des exégètes, employaient le terme ekklēsia dans le sens d’Église universelle. Les tentatives de L. Cerfaux en vue d’imposer aux paroles de Paul le sens dont cet auleur a besoin pour prouver la justesse d’une thèse acceptée à priori, semblent être menées avec un trop grand déploiement artistique et font mettre en doute la sincérité de leur auteur et de sa foi en ce qu’il s’efforce de démontrer (voir par ex. Théologie de l’Église, p. 81 en confrontation avec la p. 144; p. 147 ss. p. 151). Il reste encore à expliquer un fait frappant: pourquoi le terme ekklēsia dans le sens l’Église universelle domine-t-il dans les épîtres écrites en prison, rien que dans Ef il est employé dans ce sens 9 fois? Les arguments employés par L. Cerfaux expliquent en partie ce fait. Il semble toutefois que la meilleure explication réside dans la circonstance que 1’apôtre écrivit ces épîtres en prison. La souffrance endurée dans la solitude est propice à la formation de la synthèse et à une classification des problèmes d’après l’hiérarchie de leurs valeurs, cette constatation est encore plus valable quand on dispose de riches matériaux dûs à de nombreuses expériences. Paul — missionnaire et père dont la vie s’identifiait avec celle des églises qu’il avait fondées, voyait mieux à distance toutes leurs „grandeurs” et toutes leurs „misères”. Ce dernier aspect ne se laissait pas de le tourmenter. Il cherchait une fois de plus les raisons des disputes et des discordes qui règnaient dans les différentes communautés. Il avait toujours prêché l’Église universelle, mais l’avait-il fait d’une manière satisfaisante? L’emploi du terme ekklēsia dans le sens d’église locale et d’assemblée religieuse n’avait-il pas effacé dans l’ombre le trait essentiel de 1’Église, c’est à dire, son unité et son universalité? Quand Paul considérait ces problèmes, il n’était pas seulement un simple missionnaire et un prêtre, mais surtout 1’apôtre de Jésus Christ et 1’instrument dans la main de Dieu, un instrument qui, dans la solitude, devient plus sensible et plus exposé à l’action divine. C’est dans ces conditions qu’il crée la synthèse de 1’enseignement sur 1’église, sur l’Église une et universelle qui est le corps du Christ et la „Plénitude” de Celui qui remplit tous en tous. Et les destinataires de la lettre aux Ephésiens sont les premiers à qui il expose cet enseignement par écrit.
Źródło:
The Biblical Annals; 1964, 11, 1; 93-106
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł

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