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Wyszukujesz frazę "Sławińska, Irena" wg kryterium: Autor


Tytuł:
Jeden motyw antyczny w poezji Norwida: bruk rzymski
Un motif antique dans la poésie de Norwid: le pavé Romain
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2120106.pdf
Data publikacji:
1957
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
Le présent travail se propose d’envisager la fonction artistique d’un motif norwidien, à savoir celle du pavé romain. Ce motif — là a une signification bien étendue. C’est qu’il semble représenter la culture romaine toute entière: un petit fragment, un „grain de poussière" permet d’entrevoir l’empreinte de toute une histoire. Le pavé romain intéresse Norwid pour plusieurs raisons. Il est tout d’abord la pierre historique, témoin des vicissitudes de la Ville Éternelle appelée par Norwid le „cothurne terrestre du Christ". Les pierres de la rue romaine constituent une sorte de synthèse de l’art et de l’histoire de Rome: la vision du poète (Quidam) nous fait assister aux plaintes des pierres qui s’éveillent la nuit et qui rêvent à leurs demeures primitives — sarcophages, arcs, frontons de temple — d’où elles avaient été arrachées. C’est cependant une autre signification du pavé romain qui préoccupe davantage l’e3prit du poète. Ce pavé est inséparablement lié avec le monde chrétien. Il a été lavé par le sang des martyrs; cette pierre est devenue un vrai „martyrum lapis". Le pavé romain devait aussi abriter le monde souterrain des catacombes le monde de la vérité qui mûrissait secrètement. La fonction fondamentale du motif du pavé romain est sa fonction sémantique dont on vient de parler. On peut pourtant relever encore d’autres fonctions de ce motif: il joue un rôle important dans la création d’une métaphore originale, il engendre une image poétique. Cette image — là comporte également une fonction sémantique; elle est créée par le poète en vue d’expliquer certaines notions, par exemple celles de la vraie et de la fausse poésie. La juste perception de la poésie est celle qui ressent le frémissement des catacombes sous le pavé romain... Dans la dernière période de l’activité poétique de Norwid, le pavé romain est remplacé par les pierres du pavé varsovien qui revient à plusieurs reprises dans Le piano de Chopin — où le piano de l’artiste choit sur le pavé — ainsi que dans le Dédicace où nous voyons, sur le pavé de la capitale, briller des larmes et du sang. Le présent travail constitue un commentaire sur un mot de la langue poétique de Norwid; c’est une sorte de dévoloppement d'un article du dictionnaire norwidien à venir.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1957, 6, 2; 129-140
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
O strukturze słownej III cz. „Dziadów” (Zarys problematyki)
Dialogues et monologues dans la IIIe partie des Aïeux (Coup d’oeil sur l’ensemble des problèmes).
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2119658.pdf
Data publikacji:
1955
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
L’étude a un caractère postulateur: elle présente l’ensemble des problèmes à étudier, relatifs à la structure des dialogues et des monologues, dans la Ille partie des Aïeux, et constate dans l’introduction que ces problèmes n’ont pas encore été élaborés. L’auteur choisit comme point de départ le problème du vocabulaire de l’oeuvre, si souvent mentionné par les historiens. 11 attire l’attention sur la fonction particulière du barbarisme et du vulgarisme. Tous les deux, ils sont soumis à la loi de la „polarisation”: ils ont leur pôle négatif, qui exprime la satire, et le pôle positif, où à l’aide du vulgarisme et du barbarisme sera prononcée la sentence contre le monde des persécuteurs. Très importantes sont les „expressions figées”, souvent symboliques, revenant dans le texte comme un refrain, et les métaphores des Aïeux, qu’il faudrait étudier dans leur rapport avec la conception de l’oeuvre entière et comme élément de construction dramatique. A ce problème-là, il faut ajouter celui des grands „tableaux de mots” dans les scènes-visions. La construction des dialogues mérite une étude à part. Ceux-ci sont très riches, nombreux et différenciés. Ils sont aussi sujets à la règle de „polarisation”: l’auteur en donne un exemple, en analysant le type de dialogue „inquisiteur” (dialogue-instruction), réalisé dans la scène des exorcismes (pôle positif) et dans celle de l’interrogatoire de l’abbé Pierre (pôle négatif). Le dialogue-conversation est non moins différencié. Une analyse détaillée de la scène VIII, scène du bal chez le Sénateur, le montre suffisamment. On peut considérer comme motif central celui de Rollison, puisqu’il est toujours répété dans les conversations, dans les pensées, dans les jurons et dans les prières des personnages. Les passages épiques tiennent beaucoup de place dans la IIIe partie des Aïeax. Ce sont: les récits sur les martyrs, Y Episode de la IIIe partie des Aïeux, les paraboles, les fables. Ils remplissent différentes fonctions: exposition (ils introduisent le lecteur dans l’atmosphère des persécutions de la jeunesse de Wilno et de Varsovie), commentaire idéologique, et enfin — annonce dramatique. De nombreuses intercalations: chansons, vers, chants de Noël, récitatifs, parties de choeur, enfin les monologues, dont les plus grands — la Grande et la Petite Improvisation — ont été étudiés de plus près, tous ces détails ont causé bien de soucis aux investigateurs. Parmi ces formes de monologue c’est la prière qui dénote un dynamisme remarquable, revenant sans cesse dans des passages parfois assez longs, parfois très courts. Dans l’analyse de ces problèmes il faut recourir aux renseignements que les études sur la syntaxe et sur la versification peuvent fournir. Finalement il faudra se poser des questions générales auxquelles doivent aboutir les recherches: quelle sorte de drame représentent les Aïeux? Sont - ils un reportage historique ou un mystère? Pièce à écouter ou à voir? C’est sans doute une oeuvre complexe, mais certainement elle a été crée pour la’scène. L’auteur de la présente étude énonce la thèse suivante: nous avons affaire à une grande „théâtralisation” de la parole dans ce drame: il suffit d’indiquer les traits caractéristiques de la syntaxe, la présence d’indications sur la mise en scène et de souligner l’habileté du poète de créer des tensions dramatiques et la diversité des formes et des climats,
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1955, 5; 141-156
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
„Chrześcijańska drama” Norwida
Norwid’s “Christian Drama
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2109932.pdf
Data publikacji:
1986
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
In the first part o f this article Norwid's concept and use o f the term “Christian Dram a ” are discussed. The author also connects the term with Mickiewicz’s understanding o f it as exposed in the well-known Lesson 16 o f his Parisian course on Slavonic literatures. Both poets use the word in a very broad sense , in opposition to the pre-Christian period as well as to the anti-Christian contemporary theatre. N o formal criteria such as literary kinds (e .g . a mystery play or a liturgical drama) seem to be taken into account by them. Hence, all of Norwidian dramas may be considered and labelled as Christian, regardless o f their diversity. They all have in common the two basic constituents: the dramatic situation and the tragic hero. In each and every on e o f Norwid’s dramas, be it a mystery play, a tragedy or a high comedy, the hero has to cope with a powerful, aggressive and anti-Christian force, which eventually would kill him - but his is the final, everlasting victory. In every instance the hero incarnates the ideal man o f the eight beatitudes, being m e ek , silent, humble, poor, humiliated and se eking peace with his persecutors. The thesis can be substantiated by a closer insight into some spec imens o f Norwid's dramas or, rather, by a more synthetized examination o f som e groups o f dramatic works. The latter issue seems more effectual. Ther efore , three categories are discussed in turn: 1. mystery-plays, 2. high-comcdies, 3. the „super-Shakespearean” tragedy on Cleopatra and Caesar. Four o f Norwid’s early dramas (1845-1857) may be classified as mystery-plays; two o f them particularly well-known, being based on popular Polish legends: Wanda and K rakus. In both, as well as in the two others, the hero would perish, crushed by a h ostile power; howev e r , his death, which appears to be a voluntary sacrifice for the community, results in an imminent triumph.
Źródło:
Studia Norwidiana; 1986, 3-4; 57-74
0860-0562
Pojawia się w:
Studia Norwidiana
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
O języku komedii Norwida (Próba postawienia problematyki)
About the Language of Norwids Comedies (an attempt at formulating the problem)
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2117019.pdf
Data publikacji:
2007
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Tematy:
Norwid
komedia
teatr
dramat
dialog
język
postać
comedy
theater
drama
dialogue
language
character
Opis:
The study sketches in a general way the problem of language in Norwid's comedies. The concept of language is understood here very broadly and goes far beyond purely linguistic categories. The article discusses a number of selected issues. The first set of problems is connected with showing characters in Norwid's comedies by giving them their own kind of speech, by introducing comical “sayings” and a sort of refrains in conversations. Through characters' language Norwid assesses the 19th-century society, but also he leads the reader to much broader approaches connected with the civilization, social and cultural perspective. Another issue concerns the connection between language and the theatrical vision. It is first of all about commencement of conflicts in the dialogue, relating events, but also about analyzing the author's language as detached from the “speaking subjects”, and also about comparing Norwid's plays with the drama of the time. In the article it is pointed that in contemporary small dramas, close to the poetics of realism, Norwid concentrates on great issues of civilization. He subjects all his theatrical conception to this problem. Hence the problem appears not only in the situational dialogue, but also in the descriptive dialogue, and even in marginal texts (ones that serve showing characters' gestures and movements) Norwid's comedy differs from its Polish counterparts in richness of problems and in the synthetic assumption leading towards synthetic means of expression. Norwid finds them in the gnome, metaphor, poetical image, lyrical poem, and apart from this in extra-verbal means of expression – gesture, mime, intonation. He also differs from other dramatists in his own original conception of realism that comedy in Poland does not yet have. Norwid's theatre develops towards ever more intensive selection of words, subtle shades, calming down the pathos, and colorless informality that becomes important with parabolization of “specks”.
Źródło:
Studia Norwidiana; 2007, 24-25; 55-76
0860-0562
Pojawia się w:
Studia Norwidiana
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Claudel – homme de théâtre
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1968018.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1968, 16, 4; 55-71
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Współczesny teatr liturgiczny
Current Liturgical Drama
Autorzy:
Sławińska, Irena
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1965880.pdf
Data publikacji:
1980
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1980, 28, 1; 89-103
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł

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