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Tytuł:
"Przegląd zabytków miasta Poznania (urbanistyka, architektura, budownictwo)", Izabela Jasiecka, Henryk Kondziela, Poznań 1965 : [recenzja]
Autorzy:
Jakimowicz, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536979.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
"Przegląd zabytków miasta Poznania (urbanistyka, architektura, budownictwo)"
Izabela Jasiecka
Henryk Kondziela
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 1; 94-95
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Viollet-le-Duc, architekt-konserwator i jego związki z Polską
VIOLLET-LE-DUC, ARCHITECTE-RESTAURATEUR DES MONUMENTS HISTORIQUES ET SES RELATIONS AVEC LA POLOGNE
Autorzy:
Jakimowicz, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537284.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Eugèn Viollet-le-Duc
wystawa „Viollet-le-Duc 1814—1879”
kościół La Madeleine
pojęcie restauracji zabytków
zamek w Gołuchowie
Opis:
Les problèmes de la conservation s ’imposant de plus en plus après la seconde guerre mondiale, le développement des connaissances théoriques de l’histoire de l’art et l ’épanouissement de l’architecture contemporaine ont attiré l’attention des historiens d ’art et d’architecture sur Viollet-le-Duc — créateur des bases scientifiques dans le domaine de la restauration des monuments historiques et de l’archéologie moderne et précurseur du constructionisme. L’exposition „Viollet-le-Duc 1814—1879” organisée à Paris au printemps de 1965 par la Direction de l ’Architecture constitue le point de départ à la future étude critique sur l’oeuvre de Viollet-le-Duc. L’auteur du scénario et du catalogue de cette exposition est Pierre-Marie Auzas, inspecteur principal des Monuments historiques en France. L’exposition se base principalement sur les riches archives de la famille de Viollet-le-Duc (Fonds Viollet-le-Duc pour la première fois mis à la portée des chercheurs et élaborés dans leur ensemble. L’exposition fournit une documentation complète de multiples activités de Viollet-le-Duc. Voilà leurs aspects principaux: les grandes restaurations, son activité de constructeur et de décorateur, d’écrivain et de pédagogue, le rôle qu’il a joué auprès de la Cour Impériale et du Conseil municipal, influence de son oeuvre sur l ’architecture de divers pays de l’Europe et des Etats-Unis. Chacun de ces problèmes a une documentation sous forme de dessins originaux, de projets, d’inventaires de plans de réalisation, de registres des travaux de construction, de notices historiques, de correspondance et d’objets- souvenirs. Le catalogue dont s ’accompagne l’exposition constitue en même temps la chronique de la vie et de l’oeuvre de Viollet-le Duc. Pour nous le plus essentiel c’est l’aspect qui illustre son travail de conservateur. La doctrine communément connue de Viollet-le-Duc formulée dans l’article „La Restauration” dans le „Dictionnaire Raisonné de l’Architecture” relève d’une pratique de plus de vingt années de son travail assidu, d’architecte des monuments historiques, d ’archéologue, de constructeur et de théoricien. Les mêmes expériences lui ont permis de créer la théorie de ,,1’architecture raisonnée” et le „rationnalisme médiéval” et d ’elaborer les méthodes de l’analyse dans le domaine de l’architecture qui justifient pleinement le nom qui lui fut octroyé de „père de l’archéologie moderne”. La plus intéressante réalisation de l’exposition du point de vue des conservateurs semble être l’atelier de travail de Viollet-le-Duc. Ces méthodes sont proches, malgré différences des moyens de celles de l’atelier de conservation contemporain. L’exposition permet d’apporter une correcte aux opinions qui existaient jusqu’à ce jour sur les rejaillissements de l’art de Viollet-le-Duc en Pologne. Les documents français ne confirment point la tradition polonaise peu claire du voyage de Viollet-le- -Duc à Cracovie et à Gołuchów en 1875. Il s ’avéra que ce voyage a été effectué par le disciple et en même temps le gendre du célèbre architecte Maurice- Auguste Ouradou. Néanmoins, on peut lier quelques réalisations en Pologne à l’activité de Viollet- -le-Duc. Elles furent effectuées grâce au mécénat du prince Vladislas Czartoryski et de sa soeur la comtesse Isabelle Działyńska. Ce sont notamment: en 1860 — le projet de l’école polonaise, Bd Montparnasse, à Paris. Aux environs de 1870, les projets de la restauration du château de Gołuchów —· malheureusement disparus. Leur existence et le fait qu’ils ont été l’oeuvre de Viollet-le-Duc, est confirmé par les archives de 1871/74 (lettre de Działyński). En 1876 — projet du maître-autel néoroman dans la crypte St. Léonard dans la cathédrale de Wawel à Craoovie. Viollet-le-Duc donne des consultations sur les problèmes de la restauration du château de Gołuchów et de la transformation du Collège des Piaristes en Musée Czartoryski à Cracovie. Les projets pour les deux bâtiments précités ont été exécutés par Maurice Ouradou. Le château Renaissance de Gołuchów a été restauré entre 1875 et 1885 dans le sty le François Ier. Le Musée Czartoryski pris la forme du néo-gothique français (1875—84). Ces deux réalisations n’avaient aucun rapport avec l’architecture polonaise et n’ont aucun ascendant sur la conservation des monuments en Pologne ni même sur l’architecture polonaise de la fin du XIXe siècle. Par contre, le problème s’impose de l’influençe de la doctrine de Viollet-le-Duc sur la restauration des monuments historiques en Pologne. La restauration des monuments historiques depuis la 3ème décennie du XIXe siècle est devenu un problème aussi lancinant en Pologne (surtout à Cracovie) qu’en France. Toutefois, il lui manquait la base scientifique et les architectes de monuments historiques en Pologne ont longtemps procédé dans l’esprit d’un patriotisme empreint de romantisme. Néanmoins, dès la moitié du XIXe siècle, se précise à Cracovie la notion de la différence entre la restauration et la conservation des monuments historiques tout en estimant hautement cette dernière. Le „Dictionnaire de l’Architecture” était aussi très connu des architectes polonais. Néanmoins, ce n ’est qu’en 1881 qu’il est possible d ’observer une influence directe de l’idée présentée dans l’article „La Restauration” et ceci dans le programme formulé par W. Luszczkiewicz de la reconstruction de la Cathédrale du Wawel à Cracovie. Les directives de Viollet- le-Duc sont complétées par Luszczkiewicz par le postuilat de lui garder une „ambiance poétique”. De quelque façon que nous jugions dans la perspective du siècle écoulé, la doctrine de Viollet-le- -Duc il faut toujours convenir que son importance consiste non seulement au fait qu’elle fut la première théorie scientifique concernant la restauration des monuments historiques. Une acquisition durable et toujours actuelle de Viollet-le-Duc est le fait d’avoir exigé la compétence et la probité de l’atelier de conservation. Il fut le premier à formuler cette motion et à la réaliser avec conséquence dans sa pratique.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 3; 3-12
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Odbudowa pałacu Górków w Poznaniu
LA RESTAURATION DU PALAIS DES GÓRKA À POZNAŃ
Autorzy:
Jakimowicz, Teresa
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537959.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
pałac Górków w Poznaniu
klasztor benedyktynek
Poznań
Juliusz Minutoli
portal renesansowy
Muzeum Archeologiczne
Opis:
be palais des Górka est ila seule à Poznań, maison seigneuriale érigée dans te style Renaissance. Au cours du XVIe siècle, il appartient à la famille Górka au blason Łodzią de la haute noblesse et les plus hauts dignitaires de la Grande Pologne. Vers l ’année 1540, Andrzej Górka, starostę général et palatin entreprend la reconstruction des maisons gothiques qui lui appartiennent le long de la rue Wodna pour les relier, en un 'seul palais. Les détails de ce remaniement ne sont pas connus. Mais, en conséquence l ’on voit naître le nouveau programme architectonique d’un palais pourvu d’une cour intérieure entourée d ’arcades. Le palais des Górka à Poznań a joué un rôle important en tant que centre de la Réforme dont les membres de la famille étaient de puissants protecteurs. En 1Θ05, il devient la propriété des bénédictines de Chełmno, ordre qui possède depuis peu un couvent affilié à Poznań. Pendant les années 1605—1613 le corps de l ’ancien palais est remanié en chapelle et bâtiments conventuels. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles deux maisons adjacentes lui sont adjointes et il en résulté, vers le millieu du XVIIIe siècle, un agrandissement de la chapelle et du couvent. Lorsqu’après la cassation du couvent survenue en 1828, l ’édifice est octroyé à la fondation scolaire de Louise Radziwiłł, le remaniement qui suivit efface toute trace du style précédent. Le changement de l ’édifice en immeuble de location, à la fin du XIXe siècle, consomme la perte définitive de ses valeurs historiques. Du palais il n’est resté que le portail datant de 1548 et un fragment de colonne dans l ’ancienne cour. Les activités de la dernière guerre mondiale en 1945 réduisent île palais en ruines. Le monument historique méritait une reconstruction ne fut-ce que pour sa valeur historique locale. En outre, au cours des recherches anchitectoniques et archéologiques entreprises sur l’initiative du Conservateur Général de la Ville, après l’évacuation du gravat, grâce aux études historiques on a découvert sur le terrain dégagé divers vestiges rehaussant la valeur historique du bâtiment. On a également pu constater la distribution du terrain en lots à l ’époque gothique ainsi que, dans une certaine mesure, la disposition des maisons sur la base desquelles fut en son temps érigé le palais. Le tracé originaire du palais (XVIe s.) fut presque entièrement mis à jour ainsi que sa disposition. Les six colonnes sculptées provenant de la Renaissance et dévoilées au cours des travaux constituent une découverte précieuse. Elles soutiennent les arcades de la cour, qui constitue, comme il est bon de le souligner, l’unique cour à arcades connue dans l'architecture du XVIe siècle à Poznań. D’autres vestiges de moindre im,portance provenant du décor sculpté Renaissance ont été retrouvés dans les ruines de l ’ancien patlais. Mais un élément de premier ordre manqua à sa reconstruction: les résultats des investigations n’apportèrent aucune lumière en ce qui concerne l ’aspect de ses façades. Seules sont connues les façades baroques du couvent des bénédictines après son agrandissement (moitié du XVIIIe siècle), ceci d ’après le detsisin de Jules Minutoli (1833). Deux versions de la restauration du palais furent donc envisagées. Notamment celle de conserver le programme Renaissance de l’ordonnance spatiale du rez-de-chaussée et du premier étage en y joignant une façade simple d’architecture moderne. La seconde solution, adoptée entre autres pour la place du Vieux Marché de Poznań, consistait à suivre les principes de conservation des premières années d ’après-guerre et de reconstruire les façades selon la documentation antérieure aux travaux de remaniement du XIXe siècle, autrement dit, de reconstruire le couvent des bénédictines en conservant bien entendu, les éléments de la Renaissance. On a choisi cette seconde alternative. Le compromis exigé en ce cas par les nécessités de la conservation de l ’ordonnance et des vestiges de l’architecture du XVIe siècle et par la reconstruction des façades d’ensemble du XVIIIe siècle et son affectation à un but utille, d ’autre part, a été obtenu au prix d’une unification de l’ancien palais et des maisons qui lui furent jointes par l’ordre des bénédictines. Ceci concerne tant l’aspect de l ’ensemble que les intérieurs. Mais malgré cela et pour autant que l ’a permis le programme initial, la reconstruction de cet édifice reste en harmonie avec la conservation des éléments authentiques et historiques (surtout en ce qui concerne la cour intérieure). Toutefois, il semble discutable que la reconstruction des façades ait adopté les lignes baroques seyant à un modeste couvent provincial pour un monument dont la valeur historique principale consistait en sa disposition originaire de palais résidentiel du XVIe sècle. Actuellement, la reconstruction du 'paOEaiis des Górka touche à sa fin. Le bâtiment a été affecté au service du Musée Archéologique de Poznań.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 3; 13-21
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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