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Wyszukujesz frazę "Górecka, Joanna" wg kryterium: Autor


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Tytuł:
"Menbre vus, raïne Isolt?" Wspomnienie i jego funkcje w dwunastowiecznych powieściach o Tristanie
« Menbre vus, raïne Isolt ? » Le souvenir et ses fonctions dans les romans de Tristan au XIIe siècle
Autorzy:
Gorecka-Kalita, Joanna
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/19322619.pdf
Data publikacji:
2013
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Tematy:
wspomnienie
powieści o Tristanie
Béroul
Thomas d'Angleterre
Opis:
Partant d’une réflexion générale sur la signification de la mémoire au Moyen Âge, l’article propose une analyse approfondie des fonctions du souvenir dans le Roman de Tristan de Béroul et dans celui de Thomas d’Angleterre. Le rôle du souvenir, prédominant dans les deux œuvres, s’avère en fait fondamentalement différent dans les deux cas. Chez Béroul, les amants vivent sous l’emprise du philtre amoureux qui les cantonne dans le présent et ne leur permet de penser qu’à un futur immédiat ; ainsi, le souvenir sera traité par eux de manière instrumentale, dépourvue de toute valeur sentimentale : il est une arme dont ils se servent pour convaincre le roi de leur innocence, et pour inverser une situation a priori défavorable. Les héros du roman de Thomas d’Angleterre, par contre, vivent leur séparation en vacillant entre un présent fallacieux – celui des erreurs et des doutes – et un passé mythique, celui de leur amour idéalisé. Le souvenir acquiert une autonomie au point de renverser le cours de l’action, en s’imposant aux protagonistes pour ainsi dire malgré eux ; il est capable de transmuer la réalité désolante et decevante en un rêve consolant, vivant dans le passé transformé par la mémoire. C’est aussi, semble-t-il, la même consolation que Thomas propose (et d’autres auteurs avec lui, peut-être) à ses lecteurs / auditeurs : celle de l’activité artistique, capable de transformer la réalité en une œuvre d’art.
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica; 2013, 008; 49-59
1505-9065
2449-8831
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Diabeł straszniejszy niż go malują. Lęk przed diabłem w XIII-wiecznym zbiorze Vie des peres
Fear of Devil in 13th Century’s Collection of Vie des peres
La peur du diable dans Vie des peres (XIIIe siècle)
Autorzy:
Gorecka-Kalita, Joanna
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/31339719.pdf
Data publikacji:
2022
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Tematy:
diable
peur
laideur
monstruosité
littérature médiévale
contes pieux
Vie des peres
devil
fear
ugliness
monstrosity
medieval literature
pious tales
Opis:
L’article analyse la vision du diable dans les contes choisis de la Vie des peres, recueil de contes pieux du XIIIe siècle, librement inspiré de la littérature patristique et des exempla médiévaux. La période de la rédaction du recueil, le treizième siècle, marque la transition entre le haut et le bas Moyen Âge : c’est une époque où la perception du diable évolue et où celui-ci devient de plus en plus redouté. L’analyse se focalise surtout sur quatre récits dans lesquels le diable est au centre de l’histoire, et où son image même est source de peur et élément clé du récit : « Gueule du diable », « Vision de diables » et deux versions d’« Image du diable ». La vision du diable dans ces histoires coïncide avec la vision tératologique qui domine dans l’iconographie, à laquelle les histoires citées font d’ailleurs directement allusion. Le message de ces histoires est généralement positif : les protagonistes parviennent presque toujours à surmonter leurs peurs et à se libérer du pouvoir du diable. Les auteurs évitent ainsi le piège du manichéisme : le diable, malgré sa ruse et sa sophistication, n’est finalement qu’une caricature d’ange, incapable de s’opposer efficacement à Dieu. La peur du diable apparaît à plusieurs reprises sur les pages de la Vie des peres, mais c’est le message d’espoir qui domine.
The article analyses the vision of the devil in the selected tales of the Vie des peres, a collection of pious tales from the thirteenth century, freely inspired by patristic literature and medieval exempla. The period in which the collection was written, the thirteenth century, bridges the gap between the early and late Middle Ages: it is a time when the perception of the devil is changing, and he is becoming increasingly feared. The analysis focuses mainly on four stories in which the devil is at the centre of the story, and in which his very image is a source of fear and a key element of the story: ‘Devil’s Mouth’, ‘Devils Vision’ and two versions of ‘Devil’s Image’. The vision of the devil in these stories coincides with the teratological vision that is dominant in the iconography, to which the stories directly allude. The message of these stories is generally positive: the protagonists almost always manage to overcome their fears and free themselves from the power of the devil. In this way, the authors avoid the trap of Manichaeism: the devil, despite his cunning and sophistication, is in the end only a caricature of an angel, unable to oppose God effectively. The fear of the devil appears several times on the pages of Vie des peres, but it is the message of hope that dominates.
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica; 2022, 17, 2; 63-77
1505-9065
2449-8831
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
« Chascun qui entre est entaiez ». Le mépris dans le Tristan de Béroul
Autorzy:
Gorecka-Kalita, Joanna
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1912421.pdf
Data publikacji:
2020-12-30
Wydawca:
Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
Tematy:
Béroul
Tristan et Iseut
passion
mépris
lèpre
saleté
Tristan and Isolde
contempt
leprosy
dirt
Opis:
L’article analyse la place du mépris dans Le Roman de Tristan de Béroul. Dès son apparition dans la littérature, l’amour de Tristan et d’Iseut est l’objet d’une double perception : image valorisée du « martyre d’amour » d’une part, et d’autre part celle, nettement moins positive, d’une passion dégradante, voire méprisable. Il est intéressant de constater que le mépris n’apparaît pas seulement dans les œuvres polémiques, mais qu’il est au contraire bien présent déjà dans le texte-source, surtout dans la version de Béroul. Une étude approfondie des termes utilisés pour qualifier la passion (y compris ceux qu’emploient les protagonistes eux-mêmes), l’analyse du jeu de masques et des épisodes qui mettent en scène les situations particulièrement humiliantes, dans lesquelles se retrouvent tous les personnages sans exception, révèle un regard ironique et narquois de l’auteur, et met en valeur une tonalité parfois brutale, voire cynique, de l’œuvre. L’analyse s’organise autour des grands épisodes du récit : le « rendez-vous épié », le déguisement de Tristan en lépreux et le « serment ambigu » d’Iseut (le passage du marais).
The article analyses the place of contempt in Béroul’s Romance of Tristan. Since its appearance in literature, the love of Tristan and Isolde has been the object of a double perception: on the one hand, a valued image of the “martyrdom of love”, and on the other hand, the much less positive image of a degrading, even despicable passion. It is interesting to note that contempt does not only appear in polemical works, but is, on the contrary, already present in the source text, especially in Béroul’s version. An in-depth study of the terms used to describe passion (including those used by the protagonists themselves), an analysis of the play of masks and of the episodes that stage the particularly humiliating situations in which all the characters without exception find themselves, reveals an ironic and sarcastic look by the author, and highlights the sometimes brutal, even cynical tone of the work. The analysis focuses on the major episodes of the story: the scene of the “clandestine rendezvous”, Tristan’s disguise as a leper and Isolde’s “ambiguous oath” (the crossing of the marsh).
Źródło:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica; 2020, 15; 13-25
1505-9065
2449-8831
Pojawia się w:
Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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