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Wyszukujesz frazę "metody ochrony zabytków" wg kryterium: Temat


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Tytuł:
MARIAN ARSZYŃSKI, „IDEA – PAMIĘĆ – TROSKA. ROLA ZABYTKÓW W PRZESTRZENI SPOŁECZNEJ I FORMY DZIAŁAŃ NA RZECZ ICH ZACHOWANIA OD STAROŻYTNOŚCI DO POŁOWY XX WIEKU” Wyd. Muzeum Zamku w Malborku, Malbork 2007
MARIAN ARSZYŃSKI, “IDEA – MEMORY – CARE. THE ROLE OF HISTORICAL MONUMENTS AND FORMS OF ACTIVITY FOR THEIR PRESERVATION FROM ANTIQUITY TO THE MIDDLE OF THE TWENTIETH CENTURY” Wyd. Muzeum Zamkowe w Malborku, Malbork 2007
Autorzy:
Rymaszewski, Bohdan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536816.pdf
Data publikacji:
2007
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Marian Arszyński
Idea-Pamięć-Troska
rola zabytków w przestrzeni społecznej
kształtowanie mechanizmów konserwatorskich
istota zabytków
metody ochrony zabytków
Opis:
Marian Arszyński, an acclaimed historian of art and culture, discusses the progress of conservation reflections and methodology across the ages, together with conservation mechanisms, including those of an organisationallegal and practical nature. In doing so he refers to the views of numerous theoreticians such as E. Viollet-le-Duc A. Riegl, M. Dwořak, P. Edwards, and J. Ruskin. A presentation of the fate of selected examples of monuments originating from assorted historical motifs and parts of the world within their cultural, social, ideological and political context. The author considers the part played by monuments within social space and in a period spanning from antiquity to the middle of the last century, with special attention paid to Italy in the fifteenth-eighteenth century, and various undertakings for the sake of the preservation of monuments, in particular classical ones. The most copious part of the publication deals with the development of methods for the protection and restoration of monuments in Europe from the late eighteenth century to the middle of the last century. In conclusion the author indicates the process of granting conservation a truly scientific form and the academic training of restoration experts and conservators. The titular publication comprises an indispensable source of knowledge for conservation services, employees of schools of higher learning who teach conservators and architects, historians, experts on political studies and culture, sociologists, students as well as all lovers and co-guardians of cultural heritage.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2007, 4; 118-120
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
"Ochrona zabytków budownictwa tradycyjnego w Belgii" - wystawa w Warszawie
Autorzy:
Jankowski, Wojciech
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538543.pdf
Data publikacji:
1976
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
budownictwo tradycyjne w Belgii – wystawa 1976
wystawa o zabytkach w Belgii
Flamandzkie Muzeum na Wolnym Powietrzu
metody ochrony zabytków w Belgii
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1976, 3; 236-237
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Ochrona i konserwacja zabytków architektury na Węgrzech
PROTECTION ET CONSERVATION DES MONUMENTS HISTORIQÜES EN HONGRIE
Autorzy:
Kanclerz, Feliks
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537228.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
ochrona i konserwacja zabytków architektury na Węgrzech
dziedzictwo architektury węgierskiej
Krajowy Instytut Ochrony Zabytków
kryteria wartościowania zabytków
dobro kultury
pojęcie „dobra kultury”
kataster zabytków węgierskich
metody pracy konserwatorskiej na Węgrzech
adaptacja zabytków
Vargesztes w okręgu Tatabanya
zamek Esterhazych
Nagyvazsony nad Balatonem
ruina zamku Pal Kinizsich
Opis:
De nombreux monuments historiques se trouvent sur le te rrito ire de la Hongrie contemporaine. Ils relèvent de diverses époques depuis ceux dans les anciennes provinces romaines, en Pannonie et Transleithamie, datant du I-e r au Vl-ème siècle de n. e. Le Moyen-Age, époque des Arpades laisse en héritage de nombreux châteaux et églises, tandis que les époques ultérieures se manifestent par d’autres monuments religieux e t civils, notamment par un rich e apport d ’architecture bourgeoise. Le patrimoine de la Hongrie a souffert de d estructions fréquentes et parfois totales. Les invasions ta rta re s du XIII-e siècle, l'occupation des Turcs aux XVI-e e t XVII-e siècles, en tra în en t la ruine des monuments d ’époques antérieures. L ’étendue de ces destructions fu t élargie par une action d ’Etât intenté e su r l’o rd re de l’empereur autrichien au début du XVIII-e siècle e t ayant pour but de démolir entièrement les vieux bâtiments tels que châteaux et fortifications. En résultat, les plus anciens vestiges de la culture hongroise ne présentèren t bientôt q u ’un amas de débris e t lamentables ruines. La protection des monuments fu t entreprise en Hongrie en 1866 par la Commission Centrale Hongroise pour la protection des biens nationaux. On procéda alors à l’élaboration d’un règlement de base et on créa des institutions chargées de son application. Dans la première période de cette activité, seuls les vestiges les plus anciens étaient pris en considération (env,. 50 monuments) en laissant de côté, comme c’é tait d’usage d’ailleurs à cette époque, les monuments historiques d’époques plus récentes notamment du baroque e t du classicisme. Des modifications importantes fu ren t apportées à la législation relative à la sauvegarde des monuments, après l’année 1945, compte tenu de l’étendue des destructions subies p a r le patrimoine historique .au cours de la dernière guerre mondiale. En 1949 fu t votée la nouvelle loi concernant la protection •des monuments. Un In stitu t National fu t constitué .auprès du Ministère du Bâtiment pour la protection des monuments. L ’In stitu t sus-mentionné est compétent pour les projets, la direction et la ré a lisation des trav a u x de conservation. Les recherches scientifiques, notamment les fouilles archéologiques, la popularisation des idées sur la nécessité de la protection des biens culturels, le contrôle sur l’opportunité des adaptations des monuments aux b e soins de la vie contemporaine, fu ren t confiés au Ministère de l’Education. Il nous faut souligner a cette occasion la haute valeur des trav au x de r e cherches effectués par les archéologues, qui ont p a rticipé de cette façon à la protection des monuments. Le relevé des oeuvres d’architecture protegees par la loi compte env. 12.000 monuments, dont en viron 2.000 possèdent une valeur spéciale au point de vue historique, artistique e t architectural, 9.000 (env.) constituent des vestiges de l’histoire e t env. 1000 un élément de valeur dans l’apperçu général d ’une ville ou d ’un village. Parmi les critères de valorisation sont prises en considération les conditions matérielles, historiques (y compris la valeur spéciale des objets du culte) et esthétiques. Les formes et les règles de la conservation ne fu ren t arrêtées définitivement qu’a p rès des recherches complexes et variées auxquelles sont soumis les ensembles résidentiels et les centres urbains. En fin de compte, les monuments historiques furent inscrits dans le plan des aménagements spaciaux avec toutes les conséquences favorables qui en résultent. La protection des monuments et la réalisation des trav a u x de conservation, est mise en pratique, en premier lieu par l ’In s titu t de la Protection des Monuments. Son activité concerne d’abord les monuments les plus anciens, exigeant un programme de conservation compliqué. Des groupes de spécialistes sont constitués pour la réalisation de ces tr a vaux, à base d ’un devis de réalisation, donc ne jouant pas le rôle d ’un bureau d ’entreprises. Car on a pris pour règle générale que la protection des monuments fa it partie d ’activité culturelle et ne peut être conçue comme une entreprise de construction profitable. Le programme des trav au x de conservation se divise généralement en trois étapes: fouilles archéologiques et recherches historiques concernant l’oeuvre architecturale, protection des parties dévoilées du monument, avec projet et devis, trav a u x de conservation et de construction. Le traitem en t de conservation doit tenir compte des règles suivantes: 1. Conservation des vestiges „in situ ”. 2. Reconstruction des parties manquantes du monument pour des fins didactiques. 3. Adaptation du monument aux besoins de la vie contemporaine. Ces règles concernent surtout les châteaux en ruines, les palais etc. Toutefois un principe général s’impose: le devoir de conserver au monument au ta n t d’authenticité que possible, tout en adm ettant une modernisation rationnelle en vue des besoins de la vie contemporaine. Les réalisations suivantes, effectuées au cours des années récentes peuvent être considérées comme exemplaires: — église romane du XlI-e siècle à Ecserpuszta où la ru in e est conservée avec de très légères reconstructions; une partie de la ruine destinée au „lapida rium” recouverte par des toits de protection de construction légère. L’ensemble fut adapté à des fins touristiques, vu que le monument se trouve sur l’itinéraire du littoral du Balaton. — Château de Vârgesztes en ruine, érigé de pierre (XV-e—XVI-e siècle) où, après un tra item e n t de conservation, fu t aménagé un refuge touristique. Ces trav au x de conservation sont effectués avec une adaptation minime aux exigeamces modernes. Le caractère original des fortifications médiévales est mis en valeur en ne nuisant pas, pour autant, à son caractère de ruine romantique. — Château élevé en pierre à Nagyvâzsony (XlV-e— XVI-e siècle). Après avoir enlevé une couche épaisse de débris, on procéda à la conservation des fra g ments des murs du rez-de-chaussée. La chapelle fu t reconstruite en partie ainsi que la barbacane en employant un style n eu tre pour les parties rajoutées.. La tour qui constitue l’élément le plus ancien de cet édifice, fu t reconstruite e t aménagée en musée.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 2; 49-57
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Problemy ochrony i konserwacji budownictwa drewnianego w Polsce
PROBLÈMES DE LA PROTECTION ET DE LA CONSERVATION DES CONSTRUCTIONS EN BOIS EN POLOGNE
Autorzy:
Kalinowski, Wojciech
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535229.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
budownictwo drewniane w Polsce
przyszłość zabytków budownictwa drewnianego w Polsce
metody konserwacji budownictwa drewnianego
możliwości ochrony budynków drewnianych
muzea budownictwa ludowego
idea „wsi zabytkowych”
Opis:
La Pologne c’est un pays qui possède des monuments architecturaux en bois exceptionnellement nombreux, qu’il s’agisse d’églises de village, de temples d’autres conversions, de maisons campagnardes, de corps de ferme ou de bâtiments industriels. En dehors de la Pologne c’est seulement dans les pays Scandinaves et quelques régions du Nord de l’Union Soviétique que les constructions en bois furent aussi nombreuses. Le problème de la conservation des bâtiments en bois est beaucoup plus compliqué que celui des constructions en pierre ou en briques car la matière même, le bois est beaucoup plus susceptible d’être endommagé par l’humidité, les moisissures, les parasites, ou encore par les incendies. Nous avons déjà des essais-témoins fort réussis de la conservation des constructions en bois, mais dans de nombreux cas il était indispensable de démonter les parties en bois détériorées et de les remplacer. Mais les substances et les moyens utilisés pour la conservation du bois et dans les conditions du terrain sont encore insuffisants. Un autre problème difncile est causé par le progrès de la reconstruction économique et sociale des villages polonais suivie par le remembrement des terres et l’intensification agricole ainsi que par la modification de planification rurale et l’amélioration du standing des locaux d ’habitation. Cette re construction causera l ’inévitable destruction des milliers de maisons en bois qui ne répondent plus aux besoins des habitants. L’élimination des constructions existantes, même celles qui ne présentent aucun intérêt historique, modifiera le caractère de la campagne polonaise et son expression régionale. Dans ces circonstances il est absolument nécessaire d’organiser de nombreux musées de plein air qui présenteraient l’aspect traditionnel du village polonais aux générations futures. Ces musées déjà bien connus dans les pays Scandinaves, seraient très intéressants pour les touristes étrangers. Seul un nombre très limité des monuments architecturaux en bois pourraient être laissé sur place. Il s’agit surtout des églises en bois dont certaines datent de la fin du XVe et du début du X!VIe siècle et sont d’une grande valeur du point de vue historique et artistique .11 est possible d’utiliser les constructions plus grandes (auberges, greniers, gentilhommières etc.) pour les locaux d ’utilité publique p. ex. hôtels de tourisme, restaurants. Certains de ces bâtiments pourraient être transformés en musées locaux de l’art populaire. Le problème le plus ardu sera de préserver les maisons qui dans certaines régions de la Pologne pourront être adaptées aux nécessités contemporaines. Finalement le dernier problème sera d’organiser en Pologne les musées d’architecture où les fragments de constructions et de décoration des anciennes maisons en bois pourront être préservés et exposés.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 3; 3-10
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
    Wyświetlanie 1-4 z 4

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