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Tytuł:
Struktura literacka perykopy o wskrzeszeniu Łazarza (J 11,1-44) i jej funkcja teologiczna
Autorzy:
Szlaga, Jan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1177507.pdf
Data publikacji:
1980
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
struktura literacka
Łazarz
J 11
1-44
literary structure
Lazarus
Jn 11
Opis:
Der Artikel hat zum Gegenstand die Absonderung der Strukturelementen von der Perikope J 11,1-44 und Bestimmung ihrer theologischen Funktion. Der Verfasser stützt sich auf den Kriterien von Aktionsort, Wortschatz und Gegenwirkung der Zeugen des Ereignisses, und kommt zum Schluss, dass im Zentrum der Erzählung das Gespräch Jesu mit Martha sich befindet, und Jesus ist als Auferstehung und Leben dargestellt. Das Lazarus Fortgehen aus dem Grabe ist eine Exemplifikation der Jesu eigentümlichen Kraft als Lebengebers und Auferstehungsstifters. Die ganze Perikope J 11,1-44, erfüllt mit dem Krankheits-, Tod-, und Grabwortschatz, ist von der Darstellung Jesu als Lebens und Auferstehung beherrscht.
Źródło:
The Biblical Annals; 1980, 27, 1; 81-91
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kontekst perykopy o winnym krzewie (J 15, 1-11)
Autorzy:
Pisarek, Stanisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1162434.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II
Tematy:
Ewangelia według św. Jana
przypowieść
J 15
1-11
John
parable
Jn 15
Opis:
Le contexte historique, psychologique et littéraire du passage de Jn 15,1—11 ou 1—17 est l’une des questions préliminaires qu’il y a lieu de considérer dans 1’interprétation de ce fragment du 4me évangile sous l’aspect théologique. Concernant le contexte historique des derniers discours du Christ (Jn 13—17), certains auteurs (p. ex. J. Maldonat, A . Bisping, J. M. Bover) acceptent la localisation et la chronologie traditionnelle (Cénacle, Dernière Cène). Selon d’autres exégètes (L. Cl. Fillion, F. Godet, B. Schwank, J. Vosté, B. F. Westcott), le second discours d’adieu fut prononcé sur le chemin de Gethsémani. L’occasion peut en avoir été fournie par un sarment de vigne à la fenêtre du Cénacle, le calice de vin à la Dernière Cène, les vignes le long du chemin vers Gethsémani, le cep d’or sur le mur du sanctuaire dans le tempie d’Hérode (J. Pickl), voire le Ps. 128 (P. Dörpinghaus). L e fragment étudié ici reçoit des localisations diverses dans le temps et dans l’espace: Gethsémani (M. Miguéns), contexte défini par I Cor. 15,6 (I. Hammer, R. Ernst), Cénacle après la Résurrection (V. M. Breton), contexte décrit par Jn 20, 19-23 (P. Guichou) ou par Mt 10 (J. M. Lagrange). Les recherches confirment l’opinion traditionnelle. Le contexte psychologique (sentiments de Jésus et des disciples) a retenu surtout l’attention de V. M. Breton, P. Dörpinghaus et P. W. von Keppler. L’ambiance affective de ce dernier soir était le produit de plusieurs faits: lavement des mains, annonce de la trahison de Judas, Eucharistie, proximité de la Passion et de la Mort du Christ. La simultanéité de sentiments opposés dans l’âme des participants était rendue possible grâce a l’anticipation (tristesse présente, joie future). Dans l’examen du contexte affectif de la parabole du cep il y a lieu de faire appel aussi aux textes suivants: Jn 12,27; 13,21; 14,1.27; 16,6. Le contexte psychologique du langage figuré de cette péricope laisse transparaitre les sentiments qui accompagnent d’ordinaire les adieux (regret causé par la séparation imminente, désir d’éveiller des sentiments d’union et de charité, de réconfort et de confiance). Tout cet ensemble affectif suggère que Jn 15,1—17 soit laissé en son contexte traditionnel historique et littéraire (après le chapitre XIV de l’Evangile johannique). L ’analyse générale des chapitres 13 à 17 et la division de cette section en parties plus petites montrent que le texte n’y est pas homogene (davantage de thèmes, dialogue, monologue). Il en résulte que nous ne sommes pas en présence d’un discours uni, continu. Les différences que l’on vient d’indiquer sont diversement expliquées selon les auteurs: les uns (P. Dörpinghaus, V. M. Breton, P. Guichou) proposent une solution objective, appuyée sur le contexte historique et psychologique; d’autres en donnent une solution subjective ou littéraire à l’aide de l’hypothèse de deux rédactions (G. M. Behler, J. M. Bover, R. Bultmann, R. Van den Bussche, St. Gallo, P. Gächter, J. M. Lagrange, B. Schwank, A. Wikenhauser). Selon ces derniers auteurs, le chapitre XIV ferait partie de la première rédaction de l’Evangile de St. Jean, tandis que les chapitres suivants (15, 16 et 17) auraient été ajoutés dans une sećonde rédaction. Parmi les tenants de l’hypothèse subjective certains n’admettent aucun complément, d’autres indiquent la possibilité d’additions, de 1’apocalypse synoptique en particulier, dans la section des discours d’adieux. La péricope du cep de la vigne n’est pas de la poésie (contrairement à D. H. Müller), il faut pourtant lui reconnaitre la forme de discours lié (J. M. Bover, P. Gächter). Dans son appréciation des hypothèses subjectives 1’auteur de l’articie marque qu’elles ne sont pas contraires à l’inspiration car elles constituent l’application de la méthode historique et critique à l’examen d’un fragment concret de l’Evangile. Il est possible que les souvenirs de St. Jean concernant le Dernier Souper aient été redigés par un secrétaire de l’Apôtre. La Cène avec 1’Eucharistie semble former le meilleur contexte pour les chapitres 15 et 16, encore qu’en raison du sens ecclésiologique fondamental dans la péricope du cep et des sarments, le contexte de Mt 10 serait possible pour cette dernière (J. M. Lagrange). Au nombre des résultats des recherches menées il y a lieu de placer les constatations que le noyau des enseignements contenus dans Jn 13—17 appartient au Jeudi Saint, avec existence d’additions possibles provenant d’un autre contexte historique, et qu’il existe, sous le rapport littéraire, une analogie entre Mt 5 s. (Sermon sur la Montagne) et Jn 13 s. (discours d’adieux). Les difficultés que pose cette section, entre autres la continuité entre Jn 14, 31 et Jn 18, 1, et le manque d’unité avec 15, 1 sont mieux expliquées par les hypothèses subjectives que par les hypothèses objectives.
Źródło:
The Biblical Annals; 1968, 15, 1; 77-96
2083-2222
2451-2168
Pojawia się w:
The Biblical Annals
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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