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Wyszukujesz frazę "Sawicki, Stefan." wg kryterium: Autor


Tytuł:
Przerzutnia u Mickiewicza
L’enjambement dans le vers de Mickiewicz
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2119661.pdf
Data publikacji:
1955
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
Au point de vue de méthode, ce travail appartient à ce type de recherches dans le domaine de la versification, qui tendent à décrire l’allure réelle du vers résultant d’une lutte entre les éléments rythmiques fixes et immuables et la formation basée sur la syntaxe, sur l’intonation et sur l’accent. Dans le cadre de ces principes, les phénomènes particuliers sont interprétés du point de vue de leur fonction. Pour faciliter le travail on a distingué 3 types d’enjambements: forts, plus faibles, les plus faibles, en prenant pour critère de division le degré d’affaiblissement de la limite rythmique (repos) à la fin du vers et la place de la coupure faite du point de vue de la syntaxe et de l’intonation, dans l’un des vers du distique à enjambement. L’étude traite surtout des enjambements forts. Pour mettre en relief les perspectives historiques du problème, l’auteur a mentionné les jugements portés sur l’enjambement par les représentants de la poétique pseudoclassique. Ils confirment un fait connu de l’histoire de la littérature: la poésie de cette période tend à la concordance de la syntaxe et de la structure rythmique, particulièrement à la fin du vers, et elle exploite les rares exceptions, en se servant de la loi du contraste, pour produire des effets particuliers. L’auteur de la présente étude se propose de montrer leâ changements quantitatifs et qualitatifs que subit l’enjambement dans la création littéraire de Mickiewicz. Les débuts de celle-ci portent l’empreinte de la poétique pseudoclassique, ce qui se manifestait, dans le domaine que nous étudions, par la tendance à faire coïncider à la fin du vers, la limite rythmique avec celle de la syntaxe et de l’intonation. Dans les cas extrêmes, cet accord ne connaissait pas d’exception (p. ex. le vers Walka miodowa). Les rares enjambements qu’on trouve dans sa poésie de cette époque étaient employés pour obtenir certains effets: ils mettaient en relief ou bien certaines significations ou bien les passages importants au point de vue de composition. En somme, ils ne dépassaient pas les règles de la poétique pseudoclassique. Tout en se servant, par la suite, de ce mode d’emploi de l’enjambement à des fins artistiques, Mickiewicz introduit plusieurs types d’enjambements pour rendre plus naturel l’allure du vers. Cette tendance persiste jusqu’à la fin dans ses oeuvres lyriques, elle est la plus nette dans les ïambes universels (Jamby powszechne) et dans certaines traductions de Byron (Le Rêve, Les Ténèbres) où Mickiewicz essaie de passer de l’exploitation des effets dûs à l’enjambement singulier à l’emploi d’un plus ou moins grand ensemble de ceux-ci. Les enjambements qui servaient à rendre plus naturelle l’allure du vers, et qui, employés dans les ïambes universels, étaient un phénomène rare dans les oeuvres de jeunesse, furent fréquemment employés à partir des traductions de Byron. Mais, à vrai dire, cette simplification de l’allure du vers de Mickiewicz était dûe à un plus haut degré encore à d’autres facteurs (et non seulement à l’enjambement) p. ex. on atteignait ce but par l’affaiblissement de la césure ou en plaçant des coupures syntaxiques très nettes, en dehors des limites rythmiques (césure et clausule). Mickiewicz à exploité cette sorte de fonction de l’enjambement pour rendre plus naturel le très long dialogue de la IIIe partie (surtout sc. VIII) des Aïeux. Dans les poétiques pseudoclassiques, on avait attribué à l’enjambement seulement une fonction „ancillaire”, le devoir de remettre en relief certaines significations. Associé à d’autres facteurs qui devaient rendre plus naturelle l’allure du vers, Tenjambement trouva une nouvelle fonction à remplir, plus naturelle et plus indépendante: il commença à influer sur l’allure du vers par sa „propre présence”, par le seul affaiblissement de la limite rythmique à la fin du vers. Ce fut une dérogation aux règles de la poétique pseudoclassique et aux usages des poètes du passé. Cette dérogation fut peu remarquée jusqu’au moment où Mickiewicz se décida d’attribuer une fonction collective aux enjambements. Il ne le fit que dans ses poèmes épiques: tout d’abord dans de courts passages formant un tout (Chant du Vaïdelote, La Redoute d'Ordon, le récit de Sobolewski dans la IIIe partie des Aïeux, Monsieur le Baron) et enfin il le fit sur une grande échelle dans Pan Tadeusz où le vers même a été mis au service de la conception épique du poème entier. Dans la fable Le roi malade et les renards, nous trouvons aussi cette fonction collective des enjambements qui servent ici à souligner l’humour et la parodie. Mais ce sont des enjambements d’une autre espèce. D’habitude, à l’aide de la syntaxe, l’enjambement „masque” la limite rythmique (pause) de la fin du vers. Dans la fable mentionnée ci-dessus, au contraire, c’est la pause de la fin du vers qui coupe les liens de la syntaxe, qui sont „rejetés” sur le vers suivant. La fable Le roi malade et les renards est un phénomène curieux mais exceptionnel. L’essentiel de la victoire remportée sur les restrictions de la poétique pseudoclassique, concernant l’enjambement, est dû à d’autres facteurs — comme on l’a dit plus haut — et cela mena à la simplicité et à la quotidienneté du monde poétique de Pan Tadeusz, exprimées avec maîtrise avec les ressources de la versification. Ainsi le principe de concordance de la syntaxe, de l’intonation et de la structure rythmique, observé par les poètes pseudoclassiques, fut définitivement aboli. Cela est confirmé par la création litt raire de Slowacki et par la poésie intellectuelle de Norwid, riche en enjambements
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1955, 5; 221-239
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Początki syntezy historycznoliterackiej w Polsce (O sposobach syntetycznego ujmowania literatury w 1. poł. w. XIX)
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1968191.pdf
Data publikacji:
1967
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1967, 15, 1; 19-46
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Sacrum w literaturze
The Sacred in Literature
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1965870.pdf
Data publikacji:
1980
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1980, 28, 1; 13-26
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Norwid w interpretacji teologa
Norwid Interpreted by a Theologian
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2117087.pdf
Data publikacji:
1988
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Studia Norwidiana; 1988, 5-6; 240-247
0860-0562
Pojawia się w:
Studia Norwidiana
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Nowe wydanie Promethidiona
A New Edition of Promethidion
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2117175.pdf
Data publikacji:
1992
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Studia Norwidiana; 1992, 9-10; 233-242
0860-0562
Pojawia się w:
Studia Norwidiana
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Pawłowy prorok. O obrazie autora w Promethidionie Cypriana Norwida
Pauline Prophet. On the Author's Image in Cyprian Norwid's Promethidion
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1963271.pdf
Data publikacji:
1997
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
Out of the texts making up Norwid's manifesto to society emerges above all the figure of the prophet. Undoubtedly, this extends the tradition of romanticism which popularized the prophetic attitude in literature. The romantic prophet was uniquely capable of seeing and understanding reality: the present and, especially, the past. At times he became in his omniscience and omnipotence a rival of God. Now Norwid understood prophecy as a conveyance of the objectivized truth, not his own, although the truth he perceived and experienced in his conscience. The direct source of that truth was not − as in the biblical tradition − God, but indirect "instances," but worldly "last rays of prophecies": the wisdom of the eternal man or the plebiscites of ages, purified and objectivized opinion of mankind. The prophet of Norwid is the interpreter of the "signs of the time" sensitivized by suffering, who prophesies to limit suffering and "unnecessitate offering." One of the many, of whom St Paul writes in the First Letter to Corinthians. The attitude of Pauline prophet seems to be the principal attitude in the Promethidion. Art, surpassing the dignity of the bard, though closer to him, is the main theme of the work. The prophet's attitude converges other Promethean plots: gladiator, Socrates, to whom − apart from the structural allusions − draws on an extract from VII Epilogue. Eventually there is Prometheus-Adam, identified in the work with the eternal man and binding ancient and Christian traditions. The attitude puts on a Christian sense on the Promethean problems, signalled in the title and abundant in European literature. It draws on to the two threads of the Promethean myth, fixed and conveyed to us by Aeschylus in his Prometheus Bound. The attitude preserves the motif of a prohuman revolt. The latter, however, is not aimed against God, as in Aeschylus and in many romantic embodiments of Prometheus (especially, in Shelley's Prometheus Unbound), but, on the contrary, in the name of God against everything that confines and hurts man. It also preserves a characteristic motif of talents and arts. They are, however, depicted not as a gift facilitating and making people happy on earth, but as a task supporting − in alliance with labour − the route of man and nation towards resurrection.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1997, 45, 1; 111-116
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Metody badań w logistyce
Autorzy:
Abt, Stefan.
Powiązania:
Zeszyty Naukowe Wyższej Szkoły Oficerskiej im. Stefana Czarnieckiego 1998, nr 2, s. 124-146
Współwytwórcy:
Dubas, Mariusz. Redakcja
Sawicki, Igor. Redakcja
Data publikacji:
1998
Tematy:
Logistyka metodologia materiały konferencyjne
Opis:
Rys.; Bibliogr.; Materiały z konferencji "Stan i kierunki rozwoju logistyki w Siłach Zbrojnych RP. Aspekty dydaktyczne i praktyczne" / pod red. Mariusza Dubasa i Igora Sawickiego.
Dostawca treści:
Bibliografia CBW
Artykuł
Tytuł:
Od strony słabszych
From the Point of View of the Weaker
Autorzy:
Sawicki, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1955910.pdf
Data publikacji:
1999
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
The world of Zbigniew Herbert's poetry that is characterised by its axiological element, is happening between the appearance of its official character and the truth of the secondary reality. The poet sympathises with that weaker reality and he surrounds it with “circles of sorrow”. Evangelical blessings are referred to as the interpretative context.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1999, 47, 1; 5-8
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł

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