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Tytuł:
Problemy ochrony zabytkowych mechanizmów wyciągowych
LES PROBLÈMES DE LA SAUVEGARDE DES APPAREILS DE LEVAGE ANCIENS
Autorzy:
Saładziak, Aleksander
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535385.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
wyciągi budowlane
dreptaki
żuraw dreptakowy
kołowroty
naczynia do podnoszenia materiałów budowlanych
mechanizmy studni
Opis:
Jusqu’à nos jours se sont conservés sur le terrain de la Pologne quelques dizaines d’appareils de levage, monuments de science technique provenant des époques reculées. Parmi eux il y a 3 grues à barres, 12 cabestans, plus de dix treuils et quelques intéressants dispositifs hydrauliques, des vieux puits. Les appareils de levage ci-dessous décrits se trouvent: les grues à barres à Henryków (ancien couvent des Cisterciens), Legnica (église Notre 'Dame), Pelplin (ancienne église des Cisterciens — actuellement Cathédrale). Les cabestans se trouvent à Frombork-église post-cathédrale, Gdańsk — église des Dominicains, deux dans l’église des Franciscains, Cracovie — deux dans l'église Notre Dame, un dans l’église du St. iSacrement, Pelplin — deux dans l’église cathédrale, Wrocław — trois dans l’église de Ste. Elisabeth. Les treuils se trouvent en premier lieu à Cracovie, dans l’église Notre Dame où il y en a douze, à Gdańsk, l’un dans l’église des Dominicains et deux dans l’église des Franciscains. Las recherches futures en révéleront sûrement d’autres encore. Tous ces grues, treuils et cabestans servaient en général aux travaux de construction. Pourtant un certain nombre de treuils est employé pour remonter ou baisser les lustres dans le but de changer les ampules, antérieurement les bougies. Les monte-charges qui avaient trait aux travaux de construction se trouvent dans les combles des hautes églises gothiques. Pour certains de ces aippareils on a retrouvé les bennes qui servaient pour haler les charges. Selon les chiffres théoréthiques, la plus grande de ces grues à barres pouvait haler environ 500 kg étant desservie par 2 hommes, tandis que le plus grand des cabestans, desservi par 4 hommes, env. 400 kg. ^ Les investigations qu’on a faites ont révélé jusqu’alors deux schémas-type de la disposition des cabestans dans le bâtiment. Selon le 1er type- le cabestan se trouve dans les combles de l’église au- dessus de la nef principale, 3 à 4 m de distance du pignon de la façade principale dans laquelle se trouve l’orifice pour faire entrer le matériel de la charge. Une poutre est placée au-dessus (fixée ou basculante) avec le rouleau qui commande la corde. Dans le second exemple le cabestan est placé au-dessus du choeur et la charge entre par l’orifice percé dans le toit. Au-dessus de l’orifice se trouve la poutre fixée ou basculante avec les rouleaux dirigeant les cordes. Les collatéraux dans les églises de plusieurs nefs , pouvaient avoir chacun leur cabestan ou treuil. Par ^ ex. Wrocław, église Ste. Elisabeth — les treuils sont placés au centre des combles. La grue à barres dans l’église de Pelplin se trouve à l’intersection du tran sept e t de la nef principale. A l’éta t actuel des recherches on ne peut encore mettre une date sur l’installation de ces appareils à la place qu’ils occupent actuellement. Il n ’y a que le treuil de Legnica qui possède un „acte de naissance” valable. Il fut aménagé au début du XIXe siècle pour des travaux ayant tra it à la reconstruction de l’église. Il semble être le plus récent parmi les autres ce qui est attesté d’ailleurs non seulement par sa forme, mais aussi par l’état de conservation dans lequel il se trouve. Quelques éléments de la façade de l’église et de sa toiture suggèrent un aménagement fait en prévision de l’installation susdite. L’état de conservation des treuils et des cabestans varie. Il est particulièrement déplorable quant au plus intéressant de ces dispositifs — celui de Henryków. Les autres, sauf celui de Legnica et ceux de Cracovie, démontrent des deffections plus ou moins poussées. L’état du matériel dont ils sont construits est satisfaisant. Tous les endommagements sont plutôt mécaniques. Les appareils de levage dont il s ’agit ne sont pas actuellement accessibles au public, mais seulement aux groupes restreints de visiteurs particulièrement intéressés. Avec quelques investissements peu coûteux et après quelques traitements de conservation, ils pourraient constituer un aimant pour les touristes. Uni autre et non moins important problème constitue la protection et conservation d’anciens dispositifs hydrauliques, de vieux puits aménagés dans les monastères et les châteaux. Déjà dans l’intervalle des deux guerres on commença à les remplacer par des pompes produites en serie. Ce procédé continue e t prend de l’extension après la dernière guerre. Dans les villages on a installé des conduites d’eau et des hydrophores. Les vieux puits ne furent entourés de protection qu’en cas exceptionnel et dans cette situation, d’ici quelques années il sera difficile de retrouver un monument de science technique de ce genre, il faudrait donc se décider et entreprendre une activité énergique de sauvegarde et de conservation. Au cas où la chose serait impossible „in situ” le vieux puits devrait être transporté dans un skansen.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 1; 55-71
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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