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Tytuł:
Odkrycie pozostałości zamku biskupów kamieńskich w Karlinie
LA DÉCOUVERTE DES RELIQUES DU CHÂTEAU DES ÉVÉQUES DE KAMIEŃ, À KARLINO
Autorzy:
Gartkiewicz, Przemysław
Widawski, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535988.pdf
Data publikacji:
1964
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zamek biskupi w Karlinie
konserwacja zamku w Karlinie
Karlino
Opis:
Ein 1959, pendant des fouilles effectuées su r le te rrito ire d e la voïevodie de Koszalin, on a découvert à Karlino les reliques d’un château médiéval ap p a rte nant aux évêques de Kamień, considéré par la scionce allemande comme disparu depuis longtemps. La p artie conservée se compose de l’étage inférieur d’une aile du château, où se trouvent deux salles gothiques avec portails, cheminées et voûte d ’arête, conservés. Le conservateur des monuments historiques de la voïevodie, appréciant à leur juste valeur les vestiges précités a chargé la Faculté de l ’Histoire d ’Architecture e t d’Art de l ’Ecole Polytechnique à Varsovie, d’effectu e r des recherches architectoniques ayant pour but d’élaborer des méthodes de trav au x de conservation à base d’une documentation scientifique.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1964, 4; 39-42
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Z problematyki konserwacji budowli szkieletowych : XVIII-wieczny dom w Złotowie
SUR LES PROBLÈMES DE LA CONSERVATION DES COLOMBAGES. LA MAISON Ä ZŁOTÓW (XVIIIe SIÈCLE)
Autorzy:
Gartkiewicz, Przemysław
Widawski, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536146.pdf
Data publikacji:
1966
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
konserwacja obiektów o konstrukcji szkieletowej
dom w Złotowie, ul. Wojska Polskiego 2a
konstrukcja mansardowa
szplisy
rekonstrukcja i odbudowa domu szkieletowego
Opis:
Le problème de la sauvegarde des monuments historiques en bois construits selon le système du colombage n ’a pas trouvé encore une solution satisfaisante. L’article décrit les travaux de conservation effectués sur le premier monument historique de ce type dans le département de Koszalin, notamment la maison bourgeoise de Złotów (rue Wojska Polskiego). Elle se trouvait dans un état de dégradation très poussée. D’autre part, étant donné sa valeur architecturale, ce monument fut désigné, en vertu d’une décision prise par les autorités compétentes, aux travaux de conservation, restauration et adaptation pour abriter le musée de la région. Les recherches préliminaires et le projet fut confié à la Faculté de l’Architecture de l’Ecole Polytechnique à Varsovie (Chaire de l’Histoire de l’Architecture). En 1963, les recherches préliminaires terminées et la conception du plan adoptée, v.n programme d’activités fut établi pour l’année 1964. Les investigations entreprises démontrèrent la nécessité d’approfondir les connaissances de l’objet. Des vestiges jusqu’alors inconnus, ayant trait à la structure originale du bâtiment, furent mis à jour. Ces révélations ont entraîné des modifications dans le programme de reconstruction déjà établi, qui fut ultérieurement changé par les projets techniques de la réalisation. _ _ Les recherches détaillées qui portaient sur l’architecture du bâtiment ont révélé l’histoire de cette construction. La maison de Złotów fut érigée, selon toute probabilité, dans la 1ère moitié du XVIIIe siècle et son architecture s’affilie au type de la maison artisanale de la Grande Pologne, issue du XVIIIe siècle. La construction d’ensemble,^ le jeu des volumes était le même à l’origine _ du bâtiment que maintenant, mais la disposition intérieure, la fonction de chaque pièce, au rez-de-chaussée comme au premier étage, les détails tels que la souche de la cheminée etc. différaient de leur é ta t actuel. Les premiers remaniements ont lieu probablement dans la 1ère moitié du XIXe siècle et concernent le rez-de-chausée, ainsi qu’une modernisation de la cuisine. En 1875 une nouvelle dépendance remplace l’ancienne e t au début du XXe siècle le fond du grand vestibule est élargi par l’annexe qui y est incorporé et constitue [dès lors] une pièce nouvelle qui sert d ’atelier. En 1925 une maison de location est érigée le long du côté est de la maison ancienne. Les deux bâtiments sont ralliés l’un à l’autre, et les rez-de-chaussées adaptés à des fins commerciales. Les combles, qui d’abord abritaient une seule pièce, maintenant furent aménagés en appartements. Le projet de la restauration ne vise point la pleine restitution de l’état original. Il tient compte de l’inconvenance d’une reconstruction des éléments inexistants. Toutefois l’ensemble du bâtiment recouvrira sa forme primitive. L'annexe du côté de la cour qui l’enlaidissait, sera abattu et les deux façades, celle du devant et celle de l’arrière qui ont conservé la plupart des éléments de leur origine seront restaurés. Dans l’aménagement intérieur, le projet se référé à l’état du bâtiment tel qu’il fut après les premiers remaniements subis, ce qui n’entraine qu’un nombre relativement restraint de modifications dans la structure du monument conservée. La porte principale retrouve son emplacement original et la partie est du rez-de-chaussée abritera dès lors une pièce spacieuse jouant le rôle d’un hall d’entrée. La superficie utilisable du bâtiment est agrandie grâce à l’adaptation d’un sous-sol aux buts muséologiques et d’une nouvelle pièce au second étage sous les combles. Ceci entraîne la nécessité d’un service d’escalier plus développé, desservant les deux étages. Pour les bâtiments des dépendances, l’on décida de les entretenir dans leur forme première. Au sous-sol fut aménagée une chambre des chaudières. Selon le projet, la charpente du colombage sera conservée et ses défections comblées, sauf quelques éléments détruits, remplacés par d ’autres, nouveaux. Pour les travaux du charpentier, le projet recommande vivement, de prendre modèle de la charpente conservée et des moyens employés dans sa construction originale. Les travaux de réalisation, suivis de près par les auteurs du projet, s’effectuent par plusieurs étapes. En premier lieu, l’on procéda au démontage de l’an nexe du côté de la cour et des parties basses ultérieurement reconstruites dans la façade frontale e t dans la façade de l’arrière. Le matériel de remplissage fut enlevé des cloisons et des plafonds et l’on débarassa la cave des gravois accumulés. Dans la seconde étape des travaux l’on procéda à la restauration de la charpente. Vu l’état du délabrement de la façade frontale il a fallu procéder à un remaniement complet. La cloison démontée fut posée à plat par terre et la nouvelle construction fut effectuée sur ce support en copiant directement l’original. Dans les autres cloisons l’on échangea les parties détruites en les remplaçant par des éléments nouveaux, sans recourir au démontage. La plupart des poutres originales de la construction des combles et des refends a été conservée. Tous les éléments en bois furent soumis à un traitement d’imprégnation. Le bâtiment reçut de nouveaux soubassements et une isolation horizontale. Au cours de la (troisième étape l’on procéda au remplissage des cloisons, des planchers et des plafonds pour les enduire ensuite de crépi nouveau. Le remaniement des dépendances posa d ’autres problèmes. Malgré la destruction des murs en briques du rez-de-chaussée, l’étage supérieur construit en colombage fut conservé. Etayant la charpente, l’on remplaça successivement les parties du mur endommagées en les reconstruisant en même temps que ceux de la chambre des chaudières. Selon le programme, les travaux de construction doivent être terminés en 1966. L’expérience faite à l’occasion de cette entreprise démontre la nécessité des recherches architeCtoniques approfondies pour étayer les travaux de restauration. Ces recherches conditionnent les projets architec toniques. A l’orée des travaux entrepris un inventaire du monument historique devrait être établi ainsi qu’une analyse de discernement et un plan d’ensemble, dont le tracé se précisera peu à peu au cours des investigations qui doivent suivre le sillon des travaux de restauration savemment programmés. Dans la conservation du monument ainsi conçue, la responsabilité est sciemment reportée du projetant sur celui qui contrôle et réalise le projet de la restauration.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1966, 1; 32-54
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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