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Wyszukujesz frazę "historia Kościoła" wg kryterium: Temat


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Tytuł:
Prace konserwatorskie w drewnianym kościele parafialnym w Boguszycach koło Rawy Mazowieckiej
Autorzy:
Prosnakowa, Joanna
Puciata, Maria
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538354.pdf
Data publikacji:
1961
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół parafialny w Boguszycach
historia kościoła w Boguszycach
prace konserwatorskie w Boguszycach
stan zachowania kościoła w Boguszycach
malowidła z kościoła w Boguszycach
Wojciech Wendrogowski
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1961, 3-4; 63-80
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Odbudowa zabytków Wrocławia : kościół św. Marii Magdaleny
Autorzy:
Broniewski, Tadeusz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539435.pdf
Data publikacji:
1952
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Marii Magdaleny
kościół św. Wojciecha
historia budowy kościoła św. Marii Magdaleny
zniszczenia kościoła św. Marii Magdaleny
zabezpieczanie budowli
zabytki Wrocławia
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1952, 4; 253-270
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Ruina jako obiekt turystyczny : koncepcja zabezpieczenia i udostępnienia na przykładzie kościoła NMP w Chojnie
CONSERVATION D’UN MONUMENT À L’ÉTAT DE RUINE À DES FINS TOURISTIQUES. CONCEPTION DE PROTECTION ET D’ACCESSIBILITÉ SUR L’EXEMPLE DE L’ÉGLISE NOTRE-DAME À CHOJNA
Autorzy:
Gruszecki, Andrzej
Widawski, Jarosław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536753.pdf
Data publikacji:
1965
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół NMP w Chojnie
trwała ruina
Henryk Brunsberg
kaplica Mariacka
lizeny
historia kościoła NMP w Chojnie
Chojna
konserwacja ruin
angielska szkoła konserwacji ruin
zabezpieczenie przed wpływami atmosferycznymi
Opis:
Le pro jet présenté dans ce compte-rendu et concernant la conservation de l’Église Notre-Dame à Chojna 'en forme de ruine permanente * constitue une solution-modèle, ayant pour but en même temps de sauver le monument e t de le ren d re accessible aux visites des touristes. Le projet fu t précédé par des recherches scientifiques. Ce sujet a été tra ité déjà avant la guerre dans un article dont l’auteur Voss considérait le bâtiment en question comme unité rep a rtie suivant les époques de sa construction, notamment en p artie orientale consacrée en 1407 et en partie-occidentale terminée en 1459. En résultat des recherches architecturales e t archéologiques effectuées sur pla ce par la Faculté de l’A rchitecture à Varsovie (Chaire de l’Architecture Polonaise) au cours des années 1960—1962 on a prouvé que l’ancienne tour é ta it probablement antérieure au corps principal de l’église et constituait un é lé ment de l’église du XlV-ème siècle connue jusqu’ici uniquement par des notes historiques. L ’église du XVe siècle fu t érigée probablement sur l’emplacement de la précédente dont la tour fu t annexée au nouvel édifice et surélevée d ’un étage au cours de son adaptation. L’église du XVe siècle se range parmi les monuments de haute valeur artistique et son architecture accuse des affinités avec les oeuvres de l’atelier d’Henri Brunsberg dont probablement elle est issue. A la fin du XVe siècle fu t annexée à cette église la chapelle St. Anne. Dans les siècles suivants la toiture de la tour a changé de forme. En 1859/61, après l’écroulement de l’an cienne tour on en éleva une autre à sa place, haute d e 95 m., néogothique, remaniée par suite ein 1932— 1933. Dans la seconde moitié du XIXe siècle l’inté rieu r de l’église fu t également reconstruit et en cet é ta t l’édifice est conservé jusqu’à la seconde guerre mondiale pendant laquelle les voûtes et les toitures fu re n t détruites en grande partie. Les murs quoique endommagés se sont conservés en général ju sq u ’à la corniche du couronnement. É tan t donné que l’église post-conventuelle du voisinage suffisait aux besoins du culte, il n ’y av a it aucune prémisse pour procéder à la reconstruction de l’Église Notre-Dame. Toutefois la haute valeur artistique de ce monument étant reconnue, on n e pouvait le laisser tomber en ruine sans entrep ren d re des mesures de protection. C’est pour cela qu’on adopta, en fin du compte, la solution de sa conservation à l’aspect de ruine en p ro je tan t d ’en ouvrir l’accès aux touristes. Le projet s’allie p a r sa conception à la meilleure des écoles de conservation contemporaines soit d it à l’école anglaise. Ses principes de base fu re n t su ivis de près compte tenu toutefois de certaines modifications nécessitées par des conditions spécifiques de notre climat. Donc, le principe selon lequel les murs ne doivent pas être reconstruits sauf quand l'exige l'é ta t technique de l’ensemble, n ’a pas pu ê tre suivi à la lettre. Le programme prévoyait la reconstruction p artielle des voûtes et des balustrades des tribunes pour ren d re possible les visites des touristes. On appliqua les principes anglais suivants: refection des m u rs e t des mortiers, à la surface; relèvement des planchers à leur niveau primitif; enlèvement des plantes e t de la mousse des murs, pour incruster l’ensemble de la ru in e dans le cadre de la verdure environnante. Dans le projet de l’aménagement des pelouses on introduisit certaines modifications. Compte tenu des difficultés d’en tretien d ’un gazon de verdure sans sentiers on p ro je ta de poser su r le chemin des visiteurs des dalles en béton dont les interstices seraient envahis par la mousse. Ce genre de tro tto ir semble être meilleur que les sentiers de gravier employés p ar les Anglais en prévision d’un trafic touristique animé. Le programme de l’aménagement des plantes hautes en ta n t que décor plastique de la ru in e n ’est qu’un développement de l’école anglaise selon laquelle la conception d ’un fond de verdure de plantes hautes à l'ex térieu r de la ruine ne fu t pas envisagée. Les principes anglais se trouvent complétés p a r un soulignement voulu de la ligne des interventions conservatrices, à l’aide d’un liant distinct ainsi que par une repa rtition d u bâtiment suivant la chronologie de sa construction. L ’attention fu t toutefois portée surtout à la p rép a ra tio n des services e t du mouvement touristique, dont les itinéraires fu re n t élaborés d’avance comme dans le cas des musées. On p ré para pour les touristes des postes de „prise de vue” et, pour g aran tir la continuité du mouvement to u ristique, on projeta deux cages d ’escalier supplémentaires, une en béton armé, l’au tre en acier. Outre les visites touristiques coutumières on a prévu des itinéraires spéciaux pour les historiens de l’a rt et pour les conservateurs. C’est ici que fu re n t e x posés les vestiges concernant la rép a rtitio n chronologique du bâtiment et les procédés de sa conservation. Pour principe général on adopta l’adjonction d’éléments exécutés dans un matériau nouveau de forme différenciée, quoique en harmonie avec le site historique. Comme matériau po u r les éléments nouveaux é tait prévu: le béton armé, la brique en silicate e t le fe r graphie, tandis que les délabrements dans les parties du bâtiment conservées seraient comblés p a r les matériaux récupérés.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1965, 2; 5-22
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Kościół św. Andrzeja w Krakowie
L’EGLISE ST ANDRÉ A CRACOVIE
Autorzy:
Świszczowski, Stefan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537443.pdf
Data publikacji:
1949
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
„Liber beneficiorum” Długosza
kościół św. Idziego i św. Adrzeja w Krakowie
kościół św. Andrzeja historia
charakter obronny kościoła
klaryski
Opis:
L'église st André à Cracovie, qui remonte à la fin du Xl-e s., est un des plus importants monuments romans de Pologne. Récemment encore, sa forme primitive était entièrement cachée par les constructions ajoutées au cours des siècles. Des travaux de conservation ont été entrepris en 1947. On devait conserver tous les monuments anciens ayant quelque valeur et éliminer tout ce qui déformait la masse de l’église. On a ainsi laissé la vieille constiuction du toit, probablement du XVII-e s., et le mur oriental supérieur de style gothique. On a recouvert la sacristie d’un toit peu élevé pour ne point cacher la frise romane des arcades. On a également retenu une petite chapelle baroque, en raison de précieux stucs. On a abaissé le terrain à l’entour de l'église. Le seul fragment entièrement reconstruit à neuf, c'est le faîte nord du transept; les autres travaux avaient surtout pour but de dégager la forme première et de l’assurer. On a enlevé _les pierres qui muraient les^ fenêtres de la tour qui, elle, a été renforcée par une construction en ciment armé. On a également démoli le grand porche du côté nord, les murailles au-dessus de la sacristie et entre la tour et le transept. On a mis à nu une fenêtre jumelle à trois compartiments de l'ancien faîte entre les tours, ainsi que presque toute la façade nord et une partie de la façade orientale. La masse principale de l'édifice a conservé sa forme primitive, cependant un certain nombre d ’impoitants fragments a complètement disparu; on ne peut les reconstiuire que par analogie avec les autres monuments. Le tympanon de la façade entre les tours pose un problème qu'il sera peutêtre possible de résoudre quand on aura enlevé le crépi. L'aspect des bases octogones des tours a également disparu. Enfin, la forme des grandes fenêtres du choeur et des nefs, agrandies au XVI-e et XVIII-e s.f demeure incertaine. On a découvert, au cours des travaux, quelques intéressants fragments lomans. Une petite fenêtre, ignorée jusqu’ici, trouvée à côté du portail baroque, va nous permettre de retrouver avec plus de certitude l'aspect primitif. L'examen détaillé des voûtes a démontré qu'il y avait au croisement des nefs despendentifs romans au-dessus desquels s’élevait la coupole. On n'a point trouvé jusqu'ici de stricte analogie avec l'église st André. Pour ce qui est des édifices cracoviens du XI-es., notamment la cathédrale du Wawel, on ne peut noter quelque ressemblance que dans les détails ou dans la technique des murailles et des voûtes. Le système des voûtes, c-à-d. l’application de berceaux en bras de croix avec une coupole au milieu, indique nettement des influences françaises, à savoir provençales et d’Aquitaine. II se peut que lorsque W. Herman, fondateur de cette église, fut envoyé en ambassade à l'abbaye de St Gilles, en 1084. des relations artistiques se soient établies. D’autre part, c’est fur les bords du Rhin que l’on voit le plus fouvent cette union du jet central à celui de la basilique. Ainsi donc, le problème des influences n’est point encore élucidé
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1949, 2; 93-108, 143-144
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
    Wyświetlanie 1-4 z 4

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