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Tytuł:
Zabezpieczenia w kościele św. Anny (oo. bernardynów) w Warszawie
LA PRÉSERVATION DE L’ÉGLISE Ste ANNE (DES BERNARDINS) A VARSOVIE
Autorzy:
Biegański, Piotr
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539596.pdf
Data publikacji:
1950
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół św. Anny w Warszawie
zabezpieczenia kościoła św. Anny
zahamowanie zsuwu skarpy
zabezpieczenie ścian przed pękaniem
stabilizacja gruntu
elektroosmoza
bauksytyzacja gruntu
Opis:
Au cours de la construction de l’artère W—Z, des travaux furent entrepris pour enlever une partie de la pente de l’escarpe de yarsov ie. Vinrent ensuite de grandes pluies. Tout ceci causa un affai ssement de la hauteur sur laquel le était bâtie l ’église gothique ste Anne (1454) reconstruite au XVI I-e et au XVl I l - e s. Les expert s convoqués constatèrent le 29. IV. 1949 des fissures dans les murs de l’abside, la voûte du choeur, le dal lage et les caves. On pouva it clairement observer que le côt é nord-est se détachait en même temps que s ’affaissait la hauteur. Il I a l lait agir d'urgence et cela de deux m a nières: drainer la pente et arrêter l’aflaissement, mett ie les murs de l’égl ise à partir des fondations à l’abri de nouvelles fissures. Cette opération, ex t r ême ment diffici le à exécuter et à organiser, fut couronnée de succès au bout d ’un bref délai. En trente jours on parvint à stabiliser la ^erre, deux mois après J’église était ouverte au public. Pour stabiliser le sol, ou construisit au p.cd de la colline un mur de c iment de 4 m. de large. 6 ni. de haut eur et de plus de 30 m. de long. De plus on fixa deux rangs de pieus — pot eaux d ’acier, enfoncés à 15 et 17 m, de profondeur, eu tout 45 pot eaux. Ils étaient ciment és à l’i n t é rieur et à l’extérieur, recouverts de c i ment sous pression de 8 atmosphères. On arrêta ainsi l ’af fai ssement de la masse de terre. On opéra en même t emps à l’aide de l’électroosmose le drainage du terrain à l’entour et dans l’égliise même. On tira plus de 15 000 litres d ’eau. On fit aussi une hauxi ti sati on du sol à l’aide d’é l e c trodes d’aluminium. En outre, on injecta du ciment le long des fondat ions de l’église jusqu’à une profondeur de 8 m. et en des points situés de 1,5 m. en 1,5 m. On s ’occupa ensuite de garantir les murs de l’église contre de nouvel les fissures. On mesura l’a f fa i ssement avec les nivelleurs de Zeiss. En vue d ’arrêter, tout mouvement des murs, on construisit un anneau (d’env. 160 m. de long) immé di atement autour des fondat ions sous forme de baguettes d’acier. A hauteur d ’appui de la voûte on f ixa dos serres d’acier. Au cours des premiers jours la tension des serris était de 320 kg/ cm2; elle tomba à zéro au bout de 6 semaines. A l’intérieur de l’église, on étançonna les fragments relâchés et ceux qui menaçaient ruine; une fois qu’on eut constaté leur stabilité, on plaça des poutres de 1er: los fissures furent combl ées de ciment sous pression. Enfin, on construisit un toit de fer à couverture de tôle cuivrée. Au cours des travaux de conservation à l’intérieur, on opéra de nombreuses d é couvertes d’une grande impor tance pour l’histoire de l'art.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1950, 1; 60-67, 72
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Problemy związane z pracami konserwatorskimi przy kaplicy św. Trójcy na zamku w Lublinie
PROBLÈMES CONCERNANT LES TRAVAUX DE CONSERVATION DE LA CHAPELLE DE LA STE TRINITÉ DU CHÂTEAU À LUBLIN
Autorzy:
Rudniewski, Piotr
Samborski, Mieczysław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535846.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Kaplica św. Trójcy na zamku w Lublinie
konserwacja kaplicy św. Trójcy
donżon na zamku w Lublinie
malowidła ścienne w kaplicy św. Trójcy
naloty występujące na malowidłach
mikroklimat kaplicy św. Trójcy
Opis:
La chapelle de la Sainte Trinité du château à Lublin est l’un des deux plus anciens monuments historiques (moitié du XIV-е s.) existant sur le terrain du château dont l ’architecture et la composition spatiale des intérieurs sont restées en principe inchangées. Les peintures murales décorant l ’intérieur de la chapelle, exécutées en 1418, constituent un des peu nombreux exemples de la peinture du type bizantico-russe en Pologne. Durant les années 1954—1959 a été entreprise la conservation des peintures murales et également les travaux de construction et de conservation, englobant entre autres la restitution de l’ancienne forme des bâtiments par la reproduction des détails architectoniques en pierres et en briques. On a exécuté les protections de construction des bâtiments par l’application de tirants en acier, le réchauffement du grenier, etc. Après l ’exécution de la plupart des travaux de conservation et de construction, la lisibilité des peintures a diminué en raison de l’apparition sur leurs surfaces de dépôts. Les analyses effectuées ont démontré que sur un fragment d’un des murs de l’intérieur apparaît le champignon Torula murorum Corda. Les dépôts apparaissant sur une grande surface des peintures sont provoqués par la cristallisation des sels dilués dans l ’eau à réaction alcalique, dont la principale composition est le carbonate de sodium. Sur la base des expertises effectuées ainsi que sur la base de l ’analyse du microclimat de l ’intérieur et de l ’humidité des murs, on a établi les facteurs ayant une influence défavorable tant sur les peintures que sur la masse du bâtiment. 1) Atteinte de la composition statique de la construction provoquée par l ’humidité des couches de revêtement et par l ’infiltration du fondement de lesse du coteau en raison de la non mise en ordre du revêtement de la cour et du mauvais fonctionnement du système d’écoulement des eaux atmosphériques. 2) Les murs de la chapelle sont dans une grande mesure imprégnés d’humidité par les eaux atmosphériques, introduction de plus grandes quantités d’eau dans les travaux de construction et de conservation, par l ’humidité condensée sur les murs intérieurs, eaux souterraines, par les migrations périodiques de l ’humidité de l ’air des lieux inférieurs aux lieux supérieurs. 3) Grande amplitude des oscillations de l’humidité relative et de la température de l ’air, aussi bien journalière que dans les diverses périodes de l ’année à l ’intérieur de la construction insuffisamment réchauffée et aerée. 4) Glacement de certains éléments du bâtiment. Les conclusions de conservation présentées dans l ’ordre de leur réalisation tendent vers une stabilisation des conditions à l ’intérieur de la chapelle. L’atténuement de l’action destructive des sels dissolvants sur la couche de peinture peut être obtenu par le maintien de l ’humidité permanente et de la température à l ’intérieur de la chapelle au moyen d’une entière climatisation des intérieurs. L’élimination mécanique des sels de la surface des peintures et une petite retouche des travaux de conservation des peintures est prévue en tant qu’étape finale des travaux.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1968, 3; 15-30
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Działalność Okręgowej Pracowni Konserwatorskiej w Szydłowcu w latach 1969-1971
THE ACTIVITIES OF THE REGIONAL CONSERVATION ATELIER AT SZYDŁOWIEC IN THE YEARS 1969 — 1971
Autorzy:
Szunke, Norbert
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537420.pdf
Data publikacji:
1972
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Pracownia Konserwatorska w Szydłowcu
„Nawiedzenie” z kościoła św. Michała w Sandomierzu
„Paganini” Kowarskiego
„Klasztor na Św. Krzyżu” Szermętowskiego
„Orka” Chełmońskiego
„Św. Leonard”
Muzeum Świętokrzyskie w Kielcach
„Estera u króla Aswerusa” Giordano Luca
„Piotr Szreniawita”
Opis:
In a sh o rt re p o r t discussing th e a c tiv itie s of th e R e gional C o n se rv a tio n A te lie r a t Szydłowiec th e c o n se rv a tio n works a re listed w hich h av e been c a rrie d o u t w ith in th e p e rio d 1969—1971. A c e rta in n um b e r of concise in fo rm a tio n is given on p a in tin g s and th e co n se rv a tio n tr e a tm e n ts c a rried out. Ten o b je c ts w e re selected a n d th e ir sta te of p re s e rv a tio n discussed an d a t th e sam e tim e th e most im p o rta n t tre a tm e n ts lis ted. A tten tio n h a s b e en d raw n to th e most in te re s tin g fe a tu re s of th e r e s to r e r ’s w o rk as e.g. th e removing of tra c e s le f t by fire in th e p a in tin g “V is ita tio n ” or th a t of m u lti-la y e r plywood su p p o rt on w hich th e p a in tin g “T illag e ” by J. Chełmoński was fixed. A p a rtic u la rly d ifficu lt c rad lin g o p e ra tio n on th e Gothic p an e l p a in tin g “S a in t L e o n a rd ” h a s been shown a t w hich th e po ssib ility was le ft fo r th e wood pan e l to w o rk fre e ly to p re v e n t th e c ra ck in g s and also th e o p e ra tio n of rem o v in g of ex ten s iv e c ra ck in g s an d o v e rp a in tin g s in th e p a in tin g “S till Life w ith a P a lm ” from th e 17th c en tu ry . In view of discoverie s made d u rin g th e ir re s to ra tio n highly in te re s tin g h av e proved to be th e w o rk s c a r ried on a t th e two o th e r p a in tin g s. In th e p a in tin g by Giordano Luca (?) “E s th e r a t th e K in g ” by means of X -ra y in g w e re rev e a le d im p o rta n t a lte ra tio n s th a t h av e b e en m ad e by th e a r tis t h im self. The p h o to g rap h s ta k e n in in f ra -r e d lig h t from th e la n d s cape “Chęciny” by J . Szermętowski h e lp ed to rev e a l th e silh o u e tte of a dog being a compositional e lem en t which has p re sum a b ly been o v e rp a in ted by th e p a in te r himself. To th e same sh o rt re p o rt an in fo rm a tio n has been included concerning 18 field in v e s tig a tio n s an d sa fe g u a rd in g s of c u ltu ra l p ro p e rty w hich w e re mad e in th e te r rito ry of Kielce Voivodship by th e Regional A te lie r for C o n se rv a tio n , Szydłowiec.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1972, 3; 207-213
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
GOTYCKIE DEKORACJE MALARSKIE ELEWACJI KOŚCIOŁA PARAFIALNEGO P.W. ŚW. KATARZYNY ALEKSANDRYJSKIEJ W GOLUBIU Przyczynek do badań nad dekoracją maswerkową w architekturze Państwa Zakonnego w Prusach
GOTHIC PAINTED DECORATIONS ON THE ELEVATION OF THE CHURCH OF ST. CATHERINE OF ALEXANDRIA IN GOLUB. A Contribution to Studies about Tracery Decoration in the Architecture of the Teutonic Order State in Prussia
Autorzy:
Tuliszewski, Piotr
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/536670.pdf
Data publikacji:
2006
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
CHURCH OF ST. CATHERINE OF ALEXANDRIA (GOLUB)
GOTHIC DECORATIONS
POLYCHROME
TEUTONIC ORDER STATE
Opis:
The Gothic painted decorations of the plastered blind windows and friezes on the elevation of the parish church in Golub have been mentioned at the end of the nineteenth century by German conservators and historians of East Prussian architecture (J. Heise, A. Boetticher) in the catalogues of historical monuments written by them. Nonetheless, it was not until the research, drawings and measurements of the roof truss construction were carried out in December 2004 by the employees of ROBiDZ (Torun), that the presence of the titular painted decorations was unearthed. The discoveries were made in a rather inaccessible spot, i. e. under the roof of the chapel of the Holy Cross, covering part of the eastern axes of the northern elevation. The second stage of the measurements performed next to the bell tower disclosed remnants of identical engraved tracery decorations at the level of the fourth storey of the southern tower elevation. The excellent condition of the preserved compositions engraved on a thin layer of lime plaster made it possible to reconstruct their original form. This material, together with photographic documentation, was used for making inventory drawings based on a CAD-type programme. The documentation produced by ROBiDZ (Torun) classified four types of the originally polychromed tracery decoration. With the exception of a plastered band on the cornice, the other compositions share an identical tripartite division of the lower lancet sphere as well as a band above it, featuring a carpet pattern with a recurring four-leaf motif. Moreover, a characteristic feature of the Golub tracery is the fact that the classical three-, four- and five-leaf motifs occur next to each other, and have been executed both from petals cut out of a circle and those which are enclosed within a lancet. The presented article embarks upon an attempt at defining the provenance of the forms of the discovered compositions. A formal analysis has been unquestionably facilitated by the studies conducted by specialists as well as the conservation documentation of similar objects by, i. a. M. Poksinska and E. Pilecka. Golub, located in the territory of the Teutonic Order state, only 40 kms from Torun, must have found itself within the range of the impact exerted by this cultural centre, the second largest in Pomerania, a fact decisive for a search for analogous decorations in the buildings of Golub and its environs. We cannot exclude the probability that the described tracery should be attributed to a group of artists working not only Toruń but also in the provinces. They included representatives of various nationalities and assorted West European trends, influencing art in the region of Chełmno, Kujawy and Varmia. It must be added that the imposing number of architectural solutions and decorative motifs in the land of Chełmno makes it impossible to indicate a concrete source of inspiration for the solutions encountered in Golub. Cited analogies prove that fourteenth-century ornamental motifs were popularised in Toruń and the neighbouring regions by means of the pattern books and construction complexes which appeared in these terrains as part of a cultural exchange augmented by the intensive trade contacts maintained by the Baltic towns. The presented study does not propose an ultimate classification of all types of the tracery decorations originally executed on the elevation of the parish church in Golub. Within this context, the documented examples comprise only part of the whole repertoire of the ornamental blind windows in the church. Initial results of the examination of the chemical composition of lime mortar in the blind windows and tower cornice made it possible to identify the pigments used in the decorations, i. a. iron oxide red, ochre and plant black. The execution technology of the painted tracery could be ultimately explained after complex conservation studies. With all certainty, the tracery discovered in Golub in 2005, both engraved in plaster and painted, confirms the great popularity of this decoration technique in the state of the Teutonic Knights, used not only on sacral edifices but also on secular and town buildings. In turn, the immense variety of the types of compositions attests to the fact that the basic purpose of such ornaments was to enhance the decorativeness and prestige of the embellished objects.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2006, 1; 39-51
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Nowy Wiśnicz, barokowa fara pw. Wniebowzięcia NMP i św. Jana Chrzciciela. Zarys problematyki
Baroque architecture of Our Lady and John the Baptist Church in Nowy Wiśnicz. The outline of main issues
Autorzy:
Szlezynger, Piotr S.
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537350.pdf
Data publikacji:
2015
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
kościół
sklepienie
siły rozporu
fundamenty
atrybucja projektu
wystrój wnętrz
prace konserwatorskie
Małopolski Wojewódzki
Konserwator Zabytków
delegatura w Tarnowie
church
vault
expansion forces
foundations
design attribution
interior design
conservation works
Lesser Poland Voivodeship
Conservator of Monuments
Delegation in Tarnów
Opis:
In 1616 Stanisław Lubomirski founded the town Wiśnicz as a private town, a centre of vast latifundium in Cracow region. In 1620 he provided the funds to build a new stone-wall parish church which was consecrated in 1647. In the great fire of the town in 1863 the wooden buildings of the market square and the town hall were burnt down. The church, its belfry, rafter framing and parish archives also suffered from the fire. The presbytery of the church is semicircular, with adjacent vestibule, vestry and a small treasury. The nave is wider than the presbytery, rectangular and elongated of mannerist proportions with later addition on the east. Outside the nave there are buttresses in the form of giant volutes. Two-storey western elevation of the church is divided in its lower part into three fields of different widths by pilasters. In the middle field there is a portal with the coat-of-arms of Szreniawa in the pediment broken along the axis. The Palladian openings and conch niches are placed regularly. The upper storey, narrower, finished with a flattened arc is framed by a small volutes. Low pinnacles finish the part of the façade. The baroque forms in the façade are placed in a mannerist manner. The façade is divided by a huge mould separating the colossal pilasters from the gable divided in a different rhythm. The pilasters of the upper storey and towers are off the axes of the lower storey pilasters. The flat and linear architecture is supported by huge, almost bulging base. The barrel vault is emphasized by conspicuous entablature, and the interior is homogeneous in character. The elegant composition with few sculptural elements reminds one of the Carmelite church interior. In the façade the elegant forms are combined with sculpturally exaggerated ornamentations and the outline of framing is mannerist. Andrea Spezza, of Italian origin, probably architect of parish church in Wiśnicz, executed the baroque architecture in a very individual way but with strong mannerist impressions. The eastern frontage together with the parish church are a basic elements of the architectural complex of the former Carmelite monastery and castle, which dominate in the Wiśnicz skyline. Therefore its arrangement must be regulated, and the view of the parish church façade exposed. Translated by P.S. Szlezynger
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2015, 2; 93-113
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
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Biblioteka Nauki
Artykuł
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