Informacja

Drogi użytkowniku, aplikacja do prawidłowego działania wymaga obsługi JavaScript. Proszę włącz obsługę JavaScript w Twojej przeglądarce.

Wyszukujesz frazę "Spiritual Care" wg kryterium: Temat


Wyświetlanie 1-1 z 1
Tytuł:
Dimension spirituelle en évidence dans le domaine de la santé par la profession des intervenants en soins spirituels (exemple du Québec)
Spiritual Dimension Highlighted in the Field of Health by the Profession of Spiritual Care Workers (Quebec Example)
Uwydatnienie wymiaru duchowego w dziedzinie zdrowia poprzez zawód pracowników opieki duchowej (przykład prowincji Quebec)
Autorzy:
Kryshtal, Halyna
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/2035018.pdf
Data publikacji:
2020-03-30
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Tematy:
integralna wizja osoby ludzkiej
duchowość
zdrowie
wsparcie duchowe
pracownicy opieki duchowej
cierpienie
choroba
sens życia
wartości ludzkie
integral vision of the human person
spirituality
health
spiritual support
spiritual care workers
suffering
illness
meaning of life
human values
Opis:
Obserwujemy ogromne zmiany w społeczeństwach, które wcześniej uchodziły za chrześcijańskie. Fala zeświecczenia doprowadziła do tego, że szkoły lub szpitale katolickie, prowadzone kiedyś przez zgromadzenia zakonne, znalazły się w rękach świeckiego państwa z odpowiednio świecką ideologią. Prowincja Quebec nie jest wyjątkiem. Właśnie Kościół Katolicki był tą instytucją, która dbała przede wszystkim o wymiar duchowy człowieka w powierzonych sobie ośrodkach. Opiekę duchową nad pacjentami sprawowali księża, udzielając sakramentów świętych, pocieszając i podtrzymując chorych oraz ich rodziny na duchu. Wskutek zredukowania roli Kościoła poprzez „spokojną rewolucję” i oddzielenie Kościoła od państwa kapelani szpitalni w Quebecu w większości zostali zastąpieni przez pracowników opieki duchowej. Kuriozalne jest zarazem to, że państwo tak laickie jak Kanada w swoich ustawach dotyczących opieki medycznej wymaga poszanowania prawa człowieka i zapewnienia mu opieki duchowej. Stąd też funkcjonuje oficjalny zawód opiekuna duchowego, przez co sfera duchowa człowieka zostaje niejako uwydatniona – i to jest rzeczą pozytywną. W tym artykule zostało podkreślone, że podmiotem opieki duchowej jest zawsze człowiek, postrzegany jako jedność cielesno-psychiczno-duchowa. Sfera duchowa jest trudna do zdefiniowania. Analizując różne definicje duchowości, można wyodrębnić kilka wspólnych elementów, takich jak poszukiwanie odpowiedzi na pytania: o tożsamość człowieka („kim jestem?”), o cel i sens życia („po co żyję?”), o sens cierpienia i śmierci („dlaczego mnie to spotkało?”). Wielu odpowiedzi na te pytania znajduje w religii, a więc w relacji z transcendencją/Siłą Wyższą/Bogiem. Niektórzy jednak rozpatrują duchowość w całkowitym oderwaniu od religii. Wówczas głównymi elementami sfery duchowej często są dla nich relacje z bliskimi oraz wartości ogólnoludzkie. Pracownicy opieki duchowej pomagają człowiekowi cierpiącemu w odnalezieniu sensu życia, odkryciu sensu cierpienia oraz przywróceniu równowagi życiowej poprzez zaakceptowanie ograniczeń i nauczenie się życia z nimi. W tej służbie człowiekowi choremu ważna jest obecność przy nim, aktywne słuchanie, dialog, solidarność, współczucie i miłość. Podkreśla się, że pracownikiem opieki duchowej może być każdy, niezależnie od płci, stanu cywilnego lub religijnej przynależności. Niektóre wydziały teologiczne oraz Instytuty religijne, przeżywające obecnie kryzys z powodu niedoboru studentów na kierunek filozofii czy teologii, po zreorganizowaniu się proponują programy kształcenia dla przyszłych pracowników opieki duchowej.   Dimension spirituelle en évidence dans le domaine de la santé par la profession des intervenants en soins spirituels (exemple du Québec) Beaucoup de sociétés au monde, auparavant profondément chrétiennes, sont devenues laïques dans les dernières décennies. La société québécoise n’est pas une exception, et les raisons pour cela sont diverses. Nous pouvons observer comment les écoles ou les hôpitaux dirigés par les ordres religieux sont devenus la propriété de l'État. L’Église catholique qui auparavant jouait un rôle important dans la société et prenait soin de l'aspect spirituel des personnes, ne joue presque plus ce rôle. Mais cela ne veut pas dire que les besoins spirituels des personnes et leur soif pour la transcendance soient disparus. Les besoins d'un équilibre global de vie se manifestent lors d’une crise causée par la maladie. C'est surtout dans les moments cruciaux, comme la souffrance, la maladie ou la proximité de la mort que les personnes posent beaucoup de questions sur la spiritualité. Un aspect positif est que la société laïque du Québec a un respect pour les droits des personnes et de leurs besoins spirituels. Pour répondre à ces besoins, une nouvelle profession a vu le jour et elle prend en compte la dimension spirituelle des personnes. Cette dimension doit être au cœur des pratiques de toutes les personnes engagées à donner un support aux malades. La personne dans son ensemble «corps-âme-esprit» doit être au centre pendant tous les soins médicaux. C'est pour cette raison qu'en premier lieu dans cet article, j'ai parlé de la conception de la personne dans laquelle prévalent l’approche globale et intégrative. Ensuite, je me suis concentrée sur la notion de la spiritualité. En démontrant la diversité des définitions de la spiritualité, j'ai souligné les éléments communs, tels que la recherche de réponses aux questions : l'identité d'un être humain („qui suis-je?”), le but et le sens de la vie („pourquoi j'existe?”), le sens de la souffrance et la mort („pourquoi cela m’arrive?”). Le problème du sens et du but de la vie est une question primordiale pour l'homme, même si elle demeure souvent inexprimée. Beaucoup de gens retrouvent les réponses à ces questions dans la religion, dans leurs rapports avec la transcendance / Être Suprême / Dieu. Certaines personnes, cependant, considèrent la spiritualité dans l'isolement complet de la religion. Ensuite, les principaux éléments de la sphère spirituelle sont souvent les relations avec les proches et les valeurs humaines. Les intervenants en soins spirituels aident les personnes souffrantes à retrouver le sens de la vie, de reconstruire un équilibre de vie global et/ou d'apprendre à «vivre avec» leurs limites. Par leur profession ils offrent l'écoute attentive, la possibilité du dialogue, la solidarité, la compassion et l'amour dont les personnes souffrantes ont tant besoin. Il est bien de mentionner que les facultés de théologie et les instituts d'études religieuses se sont réorientés pour proposer des programmes académiques afin de former les intervenants en soins spirituels.
Beaucoup de sociétés au monde, auparavant profondément chrétiennes, sont devenues laïques dans les dernières décennies. La société québécoise n’est pas une exception, et les raisons pour cela sont diverses. Nous pouvons observer comment les écoles ou les hôpitaux dirigés par les ordres religieux sont devenus la propriété de l'État. L’Église catholique qui auparavant jouait un rôle important dans la société et prenait soin de l'aspect spirituel des personnes, ne joue presque plus ce rôle. Mais cela ne veut pas dire que les besoins spirituels des personnes et leur soif pour la transcendance soient disparus. Les besoins d'un équilibre global de vie se manifestent lors d’une crise causée par la maladie. C'est surtout dans les moments cruciaux, comme la souffrance, la maladie ou la proximité de la mort que les personnes posent beaucoup de questions sur la spiritualité. Un aspect positif est que la société laïque du Québec a un respect pour les droits des personnes et de leurs besoins spirituels. Pour répondre à ces besoins, une nouvelle profession a vu le jour et elle prend en compte la dimension spirituelle des personnes. Cette dimension doit être au cœur des pratiques de toutes les personnes engagées à donner un support aux malades. La personne dans son ensemble «corps-âme-esprit» doit être au centre pendant tous les soins médicaux. C'est pour cette raison qu'en premier lieu dans cet article, j'ai parlé de la conception de la personne dans laquelle prévalent l’approche globale et intégrative. Ensuite, je me suis concentrée sur la notion de la spiritualité. En démontrant la diversité des définitions de la spiritualité, j'ai souligné les éléments communs, tels que la recherche de réponses aux questions : l'identité d'un être humain („qui suis-je?”), le but et le sens de la vie („pourquoi j'existe?”), le sens de la souffrance et la mort („pourquoi cela m’arrive?”). Le problème du sens et du but de la vie est une question primordiale pour l'homme, même si elle demeure souvent inexprimée. Beaucoup de gens retrouvent les réponses à ces questions dans la religion, dans leurs rapports avec la transcendance / Être Suprême / Dieu. Certaines personnes, cependant, considèrent la spiritualité dans l'isolement complet de la religion. Ensuite, les principaux éléments de la sphère spirituelle sont souvent les relations avec les proches et les valeurs humaines. Les intervenants en soins spirituels aident les personnes souffrantes à retrouver le sens de la vie, de reconstruire un équilibre de vie global et/ou d'apprendre à «vivre avec» leurs limites. Par leur profession ils offrent l'écoute attentive, la possibilité du dialogue, la solidarité, la compassion et l'amour dont les personnes souffrantes ont tant besoin. Il est bien de mentionner que les facultés de théologie et les instituts d'études religieuses se sont réorientés pour proposer des programmes académiques afin de former les intervenants en soins spirituels.
Many societies throughout the world, formerly deeply Christian, have become secular in recent decades. Quebec society is no exception, and the reasons for this are diverse. We can see how schools and hospitals once run by religious orders have become state property. In the past, the Catholic Church played an important role in society and took care of spiritual aspects of its people. Presently, it no longer provides these services. But this does not mean that people's spiritual needs and their thirst for transcendence have disappeared. Needs for an overall balance of life often manifest themselves in a crisis caused by illness. It is especially true in crucial moments, such as suffering, illness or closeness to death, that people ask many questions about spirituality. A positive aspect is that Quebec's secular society respects the rights of individuals and their spiritual needs. To meet these needs, a new profession has emerged and it highlights the spiritual dimension of people. It must be taken into account by all those committed to giving support to the sick. The person as a whole “soul-body” must be at the centre during all medical care. It is for this reason that in this article I spoke firstly about the concept of the person in which the holistic and integrative approach prevails. I then focused on the notion of spirituality. The spiritual sphere is difficult to define. By analyzing the different notions of spirituality, there are several common elements, such as seeking answers to the following questions: the identity of a human being (“who am I?”), the purpose and meaning of life (“why do I live”), the meaning of suffering and death (“Why does this happen to me?”). The problem of the meaning and purpose of life is a primordial question for man, even if it is often unexpressed. Many people find the answers to these questions in religion, in their relationship with transcendence / Supreme Being / God. Some people, however, consider spirituality in complete isolation from religion. Then, the main elements of the spiritual sphere are often relations with relatives and human values. Spiritual care workers help those suffering to regain the meaning of life, rebuild a global balance of life and/or learn to “live with” the limits. Through their profession they offer attentive listening, the possibility of dialogue, solidarity, compassion and love that the person so needs. It is noteworthy that theological faculties and institutes of religious studies have reoriented themselves to offer programs to train spiritual care workers.
Źródło:
Roczniki Teologiczne; 2020, 67, 3; 27-42
2353-7272
Pojawia się w:
Roczniki Teologiczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
    Wyświetlanie 1-1 z 1

    Ta witryna wykorzystuje pliki cookies do przechowywania informacji na Twoim komputerze. Pliki cookies stosujemy w celu świadczenia usług na najwyższym poziomie, w tym w sposób dostosowany do indywidualnych potrzeb. Korzystanie z witryny bez zmiany ustawień dotyczących cookies oznacza, że będą one zamieszczane w Twoim komputerze. W każdym momencie możesz dokonać zmiany ustawień dotyczących cookies