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Tytuł:
„Hymn” Słowackiego — Smutno mi Boże
L’hymne de Słowacki Smutno mi Boże (Je suis triste, o Dieu)
Autorzy:
Zgorzelski, Czesław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1969061.pdf
Data publikacji:
1958
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
L’essai entreprend l’analyse des éléments de cette poésie ainsi que l’analyse des relations grâce auxquelles ces ' éléments constituent un organisme poétique homogène. L’ auteur part des considérations touchent le genre; il souligne le caractère élégiaque de l’énoncé que l’auteur appelle „hymne”. Le fait que le texte porte précisément ce titre — là n’est pas. non plus sans importance le titre en question relève, - ennoblit et élargit le sens de la poésie; la méditation élégiaque. se trouve transformée en contemplation recueillie de la vie et de la mort, C’ est en vertu de son titre que la poésie devient un aveu (Mickiewicz l’aurait peut-être appelé „colloque du soir” avec Dieu), quoïqu’ ici le problème essentiel soit l’expérience vécue de la tristesse, l’expérience à laquelle s’ajoute le sentiment du temps s’écoulant dans l'éternité, et de la présence de Celui, qui tient dans sa main leis destins de l'homme. C’est dans la partie centrale de la poésie que cette tristesse revêt ides nuances d’une nostalgie davantage concrétisée de la patrie et de la famille, pour revenir à la fin a.ux perspectives universelles de la première partie. Les strophes mises au début et à la fin de la poésie, ont pour fonction de généraliser des valeurs' lyriques énoncées, de mettre l’expérience individualisée de la. nostalgie du* pays dans de catégories de la tristesse tout court, dans de cadres des méditations mélancoliques sur le néant de l’homme posé devant l’immuable immensité de la nature. L’observation de la langue nous amène à des conclusions analogues la poétisation des expressions, la tendance à ne pas appeler les choses*par. leur nom, le penchant ou métaphorique non masqué-tout cela découle ici de la façon romantique de voir le monde dans des perspectives de l’infini. Toutes ces tendances — là constituent aussi le résultat d’un effort à l’élargissement de l’énoncé sur des sphères d’expériences vécue®, de sentiments et de réflexions difficiles à définir qui échappent au vocabulaire courant. D’une manière analogue se présentent des relations syntaxiques du vers. On peut y déceler deux tendances. L’ufie* s’ efforce d’unir davantage les éléments de la poésie et de la clore d’une strophe qui ait asser de force pour jouer le rôle de l’accent final; c’est cette même tendance qui soulignait les valeurs lyriques individualisées et uniques. — I/ąutre qui élargit les perspectives die sens de l’énoncé^essaie de conférer à là poésie tous les caractères d’une confession non fermée, d’une lyrique offrant les traits d’une structure ouverte, coupée pas le point d’une fin épigramma- tique. L’analyse de la langue découvre trois facteurs de l’homogénéité de l’Hymne: 1° les répétitions anaphoriques, 2e le refrain, 3° le même schéma de la strophe, à peine modifié: 4 + 2. Il faut y ajouter encore un quatrième facteur, c’est à dire l’homogénéité de la versification, la coopération -du s-chème métrique opportunément choisi, et ‘de la méthode des parallélismes et des concordances de facteurs rythmiques non réglés; en même temps intervient le souci de briser la monotonie à l’aide de la différentiation intérieure des vers dans la strophe. Nous observons la même chose s’il s’agit de l’intonation: l’établissement dans la strophe, du point cul-, minant d’intonation, ainsi que principe général de la montée du tout jusqu’au cinquième vers y. compris; en même temps les modes de réalisation de ce principe varient tout au long de la ligne d’intonation. Les relations sont analogues en oe qui concerne l’organisation instrumentale de l’énonce basant sur la répétition (¡plus fréquente que de règle) des voyelles „a”, „O”; la faculté de celles — ci d’être ressenties plus fortement, croît à mesure que se reposent sur elles les accents des ensembles. C’est encore une preuve quasi dans Ce domaine. L’iiymne constitue une organisation linguistique d’ ordre supérieur et que l'harmonisation instrumentale correspond à l’unité d’atmosphère de 1a. poésie; il importe cependant de noter que le motif fondamental (et qui se répète) de la configuration de sons dans le refrain est à isoler des accords, iimtrastrpphi- ques. Les considérations finales de l’essai se proposent de préciser la physionomie poétique individualisée de l’Hymne. En ce qui concerne l’organisation stylistique de l'énoncé, l’auteiur avance le principe du contour délicat et nuancé, de l’harmonie, de l’équilibre de tous les1 facteurs de sa „résonance” artistique; en même temps sont brisés les sichèmiesi et la monotonie, dangereuses .conséquences dlu principe .stylistique réalisé. De la physionomie individuelle de la poésie décident encore ses rapports avec le romantisme: l’attitude romantique de la personne qui parle, de l’homme mis en face die l’écoulement universel, sentant ¡sa fragilité devant la perspective étemelle de l’homme qui vit tout cela dans un monde de tristesse, de rancune et de nostalgie. 11 faut relever en outre-.les perspectives romantique® s’ouvrant sur des horizons plus vastes des sens Inachevés, et enfin la méthode romantique de poétiser" le monde présenté dans la poésie. L’essai termine .ses considérations par une mise en relief hypothétique des facteurs auxquels nous devons lé fait que l’Hymne a gardé encore aujourd’hui la faculté de provoquer un résonnement.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1958, 7, 1; 133-159
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Wobec „śmierci Boga”. Sytuacje młodopolskie
En présence de „la mort de Dieu”. Les propositions de la Jeune Pologne
Autorzy:
Gutowski, Wojciech
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1963280.pdf
Data publikacji:
1997
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Opis:
L'auteur analyse plusieurs formes de l'expérience de „la mort de Dieu”, profondement enracinée dans la conscience du XIX-e siècle (Jean Paul, Hegel, Heine, Nietzsche). Les écrivains polonais de la Jeune Pologne expliquaient parfois „la mort de Dieu” comme un élément évident de l'évolution de la culture (p. ex: T. Miciński La nuit du rabbin, B. Leśmian Bonhomme de neige). Ils percevaient plus souvent „la mort de Dieu” comme l'événement décisif augmentant le catastrophisme décadant (p. ex: J. Kasprowicz, T. Miciński, K. Przerwa--Tetmajer, A. Szandlerowski). L'expérience du désespoir et de la solitude était exprimée par de nombreuses images du vide, de la vacuite, du désert, des cimetières et les actions du „vide actif”. Les propositions de L. Staff (Adam) et de M. Komornicka (Seigneur expire) occupent une place particulière. Staff perçoit „la mort de Dieu” comme une condition de la naissance de l'Homme-Dieu. Dans le texte de Komornicka, Dieu est tué par le vide du monde qu'il a créé, ce qui annonce Son régénération et l'intensification de la vie.
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1997, 45, 1; 151-164
0035-7707
Pojawia się w:
Roczniki Humanistyczne
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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