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Tytuł:
Pracownie konserwacji zabytków (Kilka danych liczbowych)*
LES ATELIERS DE CONSERVATION DES MONUMENTS HISTORIQUES (QUELQUES DONNÉES EN CHIFFRES)*
Autorzy:
Polak, Tadeusz
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535806.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Pracownie Konserwacji Zabytków
zadania PKZ
zakres działań PKZ
Opis:
Les Ateliers de Conservation des Monuments Historiques en tant qu’entreprises d’Etat ont été institués en vertu de l ’Ordonnance du Ministre de la Culture et des Arts du 25 août 1950, et ont commencé leur activité le 1 mars 1951. L’initiative de créer l ’institution centrale, s ’occupant de la conservation des monuments historiques, a été prise à la Direction Générale des Musées et de la Protection des Monuments et plus précisément à l ’Office Central de Conservation, dirigé par le professeur dr Jan Zachwatowicz. L’entreprise nouvellement créée a engagé dans la première phase de son activité, des cadres de spécialistes, travaillant jusqu’à présent dans des petits centres de documentation historique, architectonique et de conservation des oeuvres d’art, mis sur pied à partir de il945 près de la Direction Générale des Musées %et de Protection des Monuments historiques et des ateliers de conservation des monuments des voïvodies. Dans cette période l ’organisation centralisée des Ateliers (PKZ) couvrait à peine 1/4 du territoire du pays et les possibilités économiques de la conservation ne dépassaient point 2,5 mlns de zlotys par an. Actuellement les travaux de conservation de cette entreprise très spécialisée s’expriment par la somme de 280 mlns de zlotys à l ’échelle annuelle (1968), et son organisation englobe tout le territoire du pays. Il existe à présent 7 sections, celles de Varsovie, Gdańsk, Cracovie, Lublin, Poznań, Szczecin et Wrocław. Dans les voïvodies où il n existe pas de section on a constitué des établissements affiliés aux sections de Jarosław, Kielce, Olsztyn et Toruń. Dans les autres voïvodies il’y a des centres plus modestes — des groupes de travaux de conservation. Aussi bien les sections que les établissements possèdent une série de départements permettant de rassembler la documentation, de dresser des projets et de procéder à la conservation de l ’architecture et du mobilier ancien. Une organisation de ce genre permet de prendre une décision rapide et efficace, indispensable pour la réalisation des travaux de conservation et en même temps d’effectuer les travaux dans le temps prévu avec l ’application des méthodes modernes. Les Ateliers PKZ représentent actuellement toutes les disciplines fondamentales de conservation; ils possèdent 8 centres de documentation scientifico-historique, 10 ateliers architectoniques de projet, 12 ateliers de conservation des biens mobiliers (conservation des peintures murales et de chevalet, des sculptures en pierre, en bois et des ornements en stuc, du métal, du papier, des tissus, des vitraux, etc.), 3 ateliers archéologiques de conservation et de recherche, 3 laboratoires scientifiques et de recherche (outre les services courants pour les ateliers respectifs ils élaborent de nouvelles méthodes et suivent les résultats des travaux de conservation) ainsi que 26 groupes de travaux de conservation architectonique. En plus il existe nombre de services auxiliaires, à savoir: des ateliers photographiques, des bibliothèques, des sections de formation. Les Ateliers PKZ emploient actuellement 3000 personnes, dont de nombreux spécialistes éminents. Pour illustrer la portée des travaux effectués au cours des 17 ans d’existence de l’entreprise, nous citerons les chiffres suivants: reconstruction de 4260 objectifs architectoniques, conservation de 5816 biens mobiliers, élaboration de la documentation technique et de conservation pour 2013 objectifs et scientifico- -historique pour 2004 objectifs, élaboration d’études urbanistiques pour 408 ensembles urbains historiques. Au total on a effectué au cours de cette période — des travaux de conservation pour la somme de 1803 millions de zlotys. Les articles et les communiqués contenus dans ce numéro donnent une certaine notion de l ’étendue et des méthodes de travail de certaines unités des Ateliers. Quoique ce ne sont que des exemples, ils peuvent illustrer la complexité et la diversité des problèmes que notre entreprise rencontre dans son travail quotidien.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1968, 3; 4-5
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Rada do Spraw Ochrony Zabytków przy Ministrze Kultury i Dziedzictwa Narodowego
Autorzy:
Dobosz, Piotr
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537999.pdf
Data publikacji:
2001
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Rada do Spraw Ochrony Zabytków
Rada Ochrony Zabytków
zakres działania Rady ds. Ochrony Zabytków
Źródło:
Ochrona Zabytków; 2001, 1; 111
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Potrzeba i drogi ochrony obiektów architektury najnowszej
NECESSITE ET MODES DE PROTECTION DES OBJECTIFS D’ARCHITECTURE NOUVELLE
Autorzy:
Bieniecki, Zdzisław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537785.pdf
Data publikacji:
1969
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zakres czasowy opieki nad zabytkami
zagrożenie dla architektury najnowszej
źródła zagrożenia dla architektury
kryteria oceny wartości zabytkowej
opieka konserwatorska
Opis:
Au fil des années, la portée temporelle de la protection des monuments historiques s ’élargit, englobant les périodes historiques révolues de plus en plus proches. Avant la seconde guerre mondiale, la date limite généralement reconnue de la protection des objectifs architecturaux fixée à l’année 1850 — le terme approximatif d’environ „un demi-siècle” — résultait des opinions courantes adoptées à l’époque dans le domaine de l’histoire de l’architecture. La conséquence regrettable de telles opinions inspirées par le primat des éléments esthétiques et historiques, ce fut d’éliminer les étapes ultérieures dont le patrimoine a rtistique fut considéré comme dépourvu de valeurs a rtistiques, sans qu’aucune valeur historique lui fut déjà acquise. Ce n’est que bien plus tard, dans la perspective des années écoulées depuis la deuxième moitié du XIXe siècle et l’intersection des XIX« et XXe, que l’appréciation de l’architecture de cette époque subit un changement du fait de l’évolution des points de vue esthétiques. L’évolution des opinions dans ce domaine a déterminé sur le plan de l’architecture ûne intensification d’intérêt porté sur la période ultérieure à la seconde moitié du siècle écoulé. Les résultats obtenus à l’issue de ces recherches ont Créé une justification des valeurs, de ce patrimoine architectonique en tant que document de l ’époque, ainsi que chaînon indispensable à la continuité de la tradition culturelle. La prise de conscience de la valeur historique de ce patrimoine et la nécessité de la sauvegarde ainsi que de la conservation qui en découlait se diffusait au fur et à mesure de l ’accroissement de l ’appréciation desdites valeurs. En même temps que s ’élargit la portée temporelle de la protection des monuments historiques, elle englobe les ressources de nouveaux objectifs sujets à cette protection. Mais pour qu’ils puissent être protégés, ils faut qu’ils existent et ceci dans leur forme pure et originale. Et cependant, à cause de la durabilité des opinions conventionnelles, pendant assez longtemps l’on ne portait pas assez d’intérêt à la sauvegarde des objectifs relevant de cette période, surtout en ce qui concerne les bâtiments particulièrement caractéristiques pour la révolution industrielle et technique tels que les grands magasins, les fabriques, les gares et les pavillons d’exposition qui, parfois, constituaient les étapes du développement de l ’architecture ouvrant la voie à la formation de l’architecture contemporaine. Aux pertes occasionnées par la démolition ayant pour but la transformation de la matière du bâtiment, et causées par les besoins de la communication, en Europe et particulièrement en 'Pologne, se sont ajoutées encore d’autres à la suite de la guerre. A côté de la destruction totale, survient souvent la dégradation partielle des objectifs de l ’architecture la plus récente qui abolit ou tout au moins amoindrit leur valeur. L’on peut donc constater, en même temps qu’un changement avantageux des opinions sur le patrimoine de l’architecture de l’époque envisagée et des efforts sommaires entrepris en vue de la conservation de ses monuments les plus représentatifs, le phénomène indésirable de la destruction, totale ou partielle, d’autres objectifs non moins représentatifs — ce qui témoigne d’un manque de conception générale et d’une large portée quant à la protection de ces monuments. En Pologne, le fait que de tels bâtiments sont menacés de ruine et que l’état de leur conservation est de plus en plus mauvais, démontre que leur conservation laisse à désirer et ne manque point d ’inquiéter en ce qui concerne la survivance de ceux qui sont dignes cependant d’être sauvegardés. Les c a u s e s des changements survenus dans l’état de conservation sont les suivantes: — le démontage du bâtiment, complet ou partiel; ■— l'absence de traitements de conservation courante; — les reconstructions et les restaurations défectueuses; — les adaptations intempestives; — les transformations; — les agrandissements et les superconstructions; — une „modernisation” mal conçue, dont les effets les plus fréquents sont la destruction ou la simplification du décor authentique à l’extérieur ou à l ’intérieur du bâtiment. A l’encontre des bâtiments du culte, de la culture et de la science qui sont les moins menacés parce qu’utilisés conformément à leur affectation originale et soumis à la conservation, les objectifs de l’architecture industrielle, de la communication, celle du commerce, des services et de l’habitat sont les plus exposés au péril de la destruction. La situation est particulièrement alarmante dans le domaine de l’habitat où les pertes sont les plus sensibles du fait de l’usure et du manque de conservation journalière. De même dans les autres domaines de l ’architecture susmentionnés une réelle menace existe quant à la possibilité de la perte des objectifs de valeur, ce qui crée la nécessité d’une contre-action par la sauvegarde des bâtiments et la recherche des moyens pratiques de l ’effectuer. Pour que la protection porte effet, il faut en déterminer l ’objet, les sources des changements dans l ’état de la conservation ainsi qu’indiquer les moyens d’intervention efficaces. O b j e t de la protection. En égard à la nécessité d’établir un répertoire exhaustif des monuments historiques présentant le plus d’intérêt et de valeur, la protection devrait avoir une portée temporelle s ’étendant jusqu’à l ’année 1939 et couvrir le territoire tout entier de notre pays. Toutefois il serait impossible et même inutile de protéger tous les objectifs relevant de la période considérée. Il est donc nécessaire de choisir dans la totalité ceux qui présentent le plus de valeur. En vue d’un sélectionnement adéquat, il faudrait établir d’abord les c r i t è r e s de la valorisation. Ces critères se répartissent en deux groupes: les critères fondamentaux et les critères auxiliaires. Parmi les critères objectifs fondamentaux deux sections se distinguent, et notamment: — les critères d’ordre pratique tels que: le degré de survivance, l ’état technique, la disponibilité, la connexité avec les prévisions de la planification spatiale; — les critères d’ordre théorique (de valeur scientifique) qui se composent des facteurs suivants: l ’âge du monument, le fait qu’il constitue un objectif rare ou même unique en son genre, la réalisation-type, le caractère progressiste par rapport au développement du pays et au progrès universel, la représentativité du monument du fait de son caractère spécifique vu à l ’échelle régionale ou nationale, sa provenance en tant qu’oeuvre d’artistes éminents, sa valeur historique. Dans le groupe des critères auxiliaires se trouvent — toujours lié s au facteur du subjectivisme puisque basés sur des caractères formels, les critères suivants: valeurs esthétiques et représentatives de l ’époque de la création, tendances dominantes pour le style de l ’époque, ascendance artistique, etc. Le bien fondé du sélectionnement dépend de la pleine connaissance de l’état actuel des ressources entrant en ligne de compte dans l ’exécution du choix. Ce choix judicieux dépend, en outre, de l ’universalité du sélectionnement qui doit tenir compte des monuments de tout genre et de toutes les variantes de l ’orientation artistique apparaissant à l ’époque donnée. Ainsi donc, la protection devrait s ’étendre sur les exemples les plus valables parmi les objectifs d’avant 1939, sur le territoire actuel de notre pays, sélectionnés sur la base de tous les critères de valorisation, d’une pleine connaissance de nos ressources et d’un sé le c tionnement envisagé sous les aspects les plus divers. Les facteurs suivants constituent les s o u r c e s des changements survenus dans l ’état de conservation: l ’insuffisance des recherches effectuées concernant la période envisagée ainsi que la diffusion restreinte des résultats de ces recherches, l ’inconscience de la valeur des objectifs réalisés à cette époque, le manque d’appréciation de leur valeur en tant que monuments historiques et de la nécessité de les protéger, les conditions juridiques formelles, l ’application erronée des décisions concernant la récupération des matériaux de construction et le déblaiement, l ’utilisation condamnable des monuments, les considérations d’ordre o rg a n isa tio n a l et économique dans les conditions dans lesquelles les travaux de construction et de restauration sont réalisés de nos jours, le manque de solidité de certains de ces objectifs ou de leurs éléments de construction soit d’ornementation, la diversité et la complexité des éléments architecturaux et décoratifs propre à certains de ces monuments et la variété des matériaux dont on s ’est servi pour les ériger. Comme m e s u r e s p r é v e n t i v e s il est indiqué de: — établir la portée temporelle et territoriale de la protection; — posséder une pleine connaissance des ressources de notre patrimoine entrant en cause quant à la protection des monuments dans le cadre de la portée envisagée; — adopter des critères d’appréciation mis en vigueur et, sur la base de ces principes, effectuer le sélectionnement des objectifs destinés à être soumis à la protection; — couvrir de cette protection les objectifs choisis en publiant des décisions formelles en égard à leur mise sous la protection (en vertu de la loi de 1932, actuellement en vigueur); — lutter contre les dégradations dans l ’éta t de conservation des monuments en empêchant les démolitions, garantissant l’utilisation correcte et créant des conditions facilitant la conservation courante ainsi que l ’exécution adéquate des réparations immédiates et des réparations capitales; — entreprendre une action d’initiation et de vulg a risation sur la base du développement des recherches scientifiques et en se servant des moyens de diffusion dans le grand public; — en cas d’impossibilité de la conservation des objectifs qualifiés pour la protection, procéder à leur fixation par l ’établissement d’un relevé complexe. Ta solution du problème traité n’est possible qu’à l ’issue d’un effort collectif de toutes les institutiońs intéressées avec la coopération de toute la société. Toutefois, rien ne pourra libérer la génération contemporaine du devoir de trouver une solution qui, telle quelle, sera jugée par la postérité. Le manque d’une contre-action énergique fait que, sans cesse, la création architectonique d’une époque, à l ’importance décisive sous divers rapports, continue à être dévastée par suite de l ’ignorance, des idées préconçues et d’une économie malvenue. Il nous faut donc aller vite avec les mesures de protection de ce patrimoine afin que la postérité ne nous reproche pas d ’avoir failli à notre devoir qui est de transférer ce patrimoine aux générations futures. N’oublions pas que notre époque se prépare un mauvais té moignage si, en négligeant le passé, elle occasionne une perte de continuité dans le développement cu lturel en enlevant à ce passé l ’un de ses chaînons indispensables.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1969, 2; 83-116
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Pracownie budowlano-konserwatorskie w pracowniach konserwacji zabytków
Autorzy:
Terlecki, Władysław
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/538162.pdf
Data publikacji:
1955
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
zakres działania Pracowni Konserwacji Zabytków
dział budowlano-konserwatorski PKZ
Państwowe Przedsiębiorstwo Budowlane
Zjednoczenia Budowlane
zadania Pracowni Konserwacji Zabytków
konserwacja zabytków architektury
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1955, 4; 217-220
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Zakład Badawczo-Rozwojowy PKZ
Autorzy:
Misiorowski, Andrzej
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535307.pdf
Data publikacji:
1981
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
Zakład Badawczo-Rozwojowy PKZ
zakres działania Zakładu Badawczo-Rozwojowego PKZ
plany rozwoju Zakładu Badawczo-Rozwojowego PKZ
program działalności Zakładu Badawczo-Rozwojowego PKZ
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1981, 3-4; 223-225
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Organizacja prac i profil działalności Pracowni Konserwacji Murów PP PKZ - Oddział w Szczecinie
Autorzy:
Teszner, Wojciech
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537277.pdf
Data publikacji:
1981
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
działalność Pracowni Konserwacji Murów PP PKZ
Pracownia Konserwacji Murów PP PKZ
PP PKZ Oddział w Szczecinie
zmiany fizykochemiczne materiału budowlanego
„schorzenia” murów i tynków
zawilgocenie i zasolenie murów
zakres działań Pracowni Konserwacji Murów
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1981, 3-4; 221-223
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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