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Tytuł:
Studium odbudowy świątyni w Tafa
ETUDES SUR LA RESTAURATION DU TEMPLE DE TAFA
Autorzy:
Ostrasz, Antoni
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539336.pdf
Data publikacji:
1967
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
ratowanie zabytków Nubii
świątynia w Tafa
restytucja bloków
Opis:
Le démontaga du Temple de Tafa, en 1960, et le transport des blocs de pierre qui le constituaient sur l’île d’Eléphantine, près d’Assouan, constituèrent la première action de sauvetage des Monuments Nubiens. Le démontage fut execute par une équipe technique du Service des Antiquités de l’Egypte, sa direction scientifique — par Monsieur H. Ashiri, architecte du Centre de Documentation au Caire, et l’auteur da cet article, fut délégué par le Centre Polonais d’Archèologie de l’Université de Varsovie au Caire. Tel qu’on le voit à présent, le Temple de Tafa ne représente que la partie subsistante d’un sanctuaire plus vaste. Son importance historique est grande, du fait qu’il s’agit d’un des rares échantillons subsistants en Nubie da l’architecture sacrée d’époque romaine. Encore presqu’entièrement conservé au début du siècle, l’élévation du barrage d’Assouan en 1907—1912 lui fut fatale et précipita sa destruction. Lorsqu’il fut démonté en 1960 il était presque totalement en ruines. Pourtant, vu l’examen préliminaire des blocs et l’étude des possibilités de reconstruire le Temple à partir de ses elements originaux — d’après leur nombre et leur état — tous les espoirs sont parmis. Aussi, les méthodes appliquées au cours du démontage — particulièrement en ce qui touche à la minutie de la documentation — n’avaient pas seulement pour but da préserver les fragments du Temple, mais encore de recueillir le matériel le mieux fourni afin de permettre la reconstruction de ce monument de la façon la plus complète et la plus authentique. Le but fondamental de ces études fut la solution d’un problème duquel dépendait toute la reconstruction: retracer la position originelle des blocs provenant des parties ruinées, reconstituant ainsi, autant que possible, l’apparence du Temple avant sa destruction. La suite de cet article est consacrée à la description des méthodes utilisées afin d’obtenir ce but et à la justification des résultats obtenus. La position originelle des blocs a été déterminée par une sétie de classifications. En premier lieu, on a cherché à déterminer à quelle partie du Temple pouvait appartenir chaque bloc; ensuite, dans quelle assise il se trouvait et finalement la place qu’il occupait dans cette assise. Toute une série d’indices, du plus général au plus particulier, permet d’établir cette position. Selon ce processus méthodologique, voici l’ordre dans lequel on les interroge: a) point de la chute du bloc, b) sa forme et ses dimensions, c) méthode du découpage de chacune de ses faces, d) découpage même des joints. Les blocs furent classifiés en 17 groupes suivant leur caractère et leur emplacement primaire dans les parties respectives du Temple. Appliquant aux groupes les détails déterminés ci-dessus, les positions primaires de 254 blocs sur 395 préservés purent être retrouvés exactement. Quant aux 141 blocs encore à l’étude il est permis d’espèrer que l’on retrouvera leur place par la même méthode. Si l’on considère qu’au total de 157 blocs „in situ” et aux 254 à la position bien ‘établie on ajoute 141 provenant des murs dont la position même dans les assises peut être approximativement déterminée, on peut constater qu’on a 93% du material disponible à la reconstruction du Temple. Il n’y aurait donc besoin d’utiliser que 7 % — c’est à dire environ 40 blocs — des pierres neuves. A la lumière de cette étude il semble plainement justifié de croire que le temple de Tafa pourrait être entièrement reconstruit à partir de ses éléments originaux, comme il’a été signifié au début de cet article.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1967, 1; 19-32
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Ograniczenie wywozu dzieł sztuki w Polsce w świetle zalecenia UNESCO
LIMITATION DE L’EXPORTATION DES OEUVRES D’ART EN POLOGNE À LA LUMIÈRE DES RECOMMANDATIONS DE L’UNESCO
Autorzy:
Nieciówna, Halina
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/537410.pdf
Data publikacji:
1968
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
UNESCO
ograniczenie wywozu dzieł sztuki
dobra kulturalne
restytucja dóbr kultury
Opis:
L ’article présente une confrontation des procédés et des méthodes juridiques employées en Pologne en vue d’éliminer le trafic illicite des biens culturels avec ceux qui ont été instituées p a r la Conférence Générale de l’UNESCO en date de 19.XI.1964. La résolution de l’UNESCO est présentée sous forme judiciaire de recommandation appelée: „Recommandation concern an t les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’exportation, l’importation et le tran sfe rt de propriété illicites des biens culturels”. En examinant chaque ^problème en particulier l’au teu r soumet à l’analyse critique les opinions et les remarques d’autres pays présentées dans les commentaires au p ro je t de la recommandation. L ’article porte aussi su r des dissertations d’ordre général concernant le caractère juridique des recommandations de la Conférence Générale adressées aux pays membres de l’UNESCO. En tenant compte des prescriptions du s ta tu t de l’UNESCO, du règlement de la Conférence Générale et de la doctrine l’auteur arrive à la conclusion que ces recommandations ne sont que des directives destinées à oriente r la législation et la pratique des pays respectifs. Néanmoins, le fait d’avoir adopté la recommandation de l’UNESCO engendre dans les pays en question toute une série d’obligations strictement juridiques (comme p a r ex. la nécessité d’en faire éta t devant les organes compétents de leur pays ainsi que l’obligation de présenter à l’Organisation des rapports détaillés) qui p a r là-même constituent déjà l’in strumen t d’une „certaine pression morale exercée sur les états membres”, mis à la disposition de cette organisation. Les objectifs de la protection et sa portée sont in d iqués dans la recommandation de PUNESCO selon le modèle de la définition de la notion des biens culturels déterminés dans la Convention pour la Prote ction des Biens Culturels en cas de Conflit Armé de 1954. Les différences n ’ont qu’un caractère secondaire et elles résultent du fait que d ’autres motifs décident de la protection en temps de paix et d’autres — en temps de guerre. Toutefois il y a deux points essentiels qui sont identiques dans les deux définitions et ils spécifient que: 1. la 'liste des objectifs visés par la définition ne constitue qu’un relevé sommaire indiquant les catégories principales de ces objets, 2. l’obligation d e déterminer les critères selon lesquels l’objet donné sera ou ne sera pas soumis à la p ro tection, incombe à l’Etat auquel l ’objet donné appartient. La définition des biens culturels telle qu’elle fu t adoptée par la résolution éveilla des réserves surtout de la part des Etats-Unis, du Japon, de la Grande Bretagne et de la iSuisse. L’on a soulevé que la libe rté laissée aux Etats de remplir chacun pour sa p a rt cette définition d’un sens concret annulerait effectivement la possibilité d ’un contrôle de l’importation qui ne pourrait alors être exercé puisqu’il se ra it impossible d’exiger du service douanier la connaissance d’au tan t de variantes de la définition q u ’il y aura it de pays intéressés. Il est chose certaine q u ’en pratique ces conséquences ne se manifeste raient point vu que les documents annexés aux objets exportés constitueront la preuve matérielle de la vérification à laquelle ils ont é té soumis. Dans la loi polonaise du 15 février 1962 ,;Sur la protection des biens culturels et sur les musées” le législateur introduit, en plus de la notion du monument histo rique, celle du bien culturel, dont la définition comporte les éléments essentiels de la formule adoptée par la recommandation de PUNEiSOO. Toutefois si l’on considère l’ensemble des prescriptions de la dite loi la conclusion s’impose à savoir que ce qui répond à la notion du bien culturel défini par la recommandation de l’UNESCO c’est, dans notre loi, la notion du monument historique étan t donné que seuls les monuments historiques jouissent en Pologne de la protection judiciaire. P armi les sept règles indiquées par la recommandation, deux sont d ’une valeur toute particulière. L’essentiel de l’une d’elles repose su r la reconnaissance des restrictions faites aux principes par les législations des autres pays intéressés. L ’autre relève de la reconnaissance du droit de la revendication dans chaque cas d’exportation illicite des biens culturels. Une base judiciaire suffisamment solide garantit en Pologne le contrôle de l’exportation, mais il y manque, comme dans d’autres pays d ’ailleurs, de p re scriptions portant su r le contrôle de l’importation vue sous le même aspect et visée par la recommandation de l’UÎNESOO. Le fait d’avoir adopté par la Conférence Générale la recommandation témoigne d’unie bienveillance d’a ttitu d e générale des Etats envers l’initiative prise par l’UNEISCO, l’on a donc droit d’espérer que les législations des divers pays, parmi eux celle de la Pologne, seront complétés par des prescriptions réglant les questions de l’importation des biens culturels. Vu la complexité des problèmes concernant l’échange international des biens culturels, les accords in te rn a tionaux peuvent constituer l’instrument le plus efficace de coopération entre les pays déterminant les obligations et îles droits réciproques des parties contractantes. La Pologne se prononce pour cette forme de coopération.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1968, 2; 35-44
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Z problemów konserwacji zespołów zabytkowych
QUELQUES APERCUS SUR LES PROBLÈMES DE LA CONSERVATION DES ENSEMBLES HISTORIQUES
Autorzy:
Misiorowski, Andrzej
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539614.pdf
Data publikacji:
1969
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
konserwacja zespołów zabytkowych
zespoły osiedleńcze
zespoły wydzielone
zespoły rezydencyjne
restytucja
adaptacja
reintegracja
odbudowa
Opis:
L’évolution rapide des villes et le développement technique donnent l ’essor à d’incessantes transformations des aménagements urbains. A cet effet, les ensembles historiques de vieilles cités sont menacés soit d’une destruction totale soit de dégradation et de retranchement graduel de la vie courante. Il est donc indispensable de protéger et de conserver non seulement des objectifs isolés mais aussi des ensembles historiques dans leur totalité. Les premiers pas sur la voie de la conservation des sites historiques urbains ont été faits en Pologne avant la seconde guerre mondiale (Zamość, Sandomierz, Cracovie). Après la guerre — ce problème est devenu d’une actualité pressante. Pour ordonner les problèmes ayant trait au sujet précité, l ’auteur du présent article propose la classification ci-après des ensembles historiques: 1) Groupes d’habitations — en premier lieu donc, des centres urbains, mais aussi des agglomérations rurales pourvues de valeurs spéciales soit du fait de leur composition soit de leur histoire. L’on a pas le droit d’oublier aussi les aménagements urbains du XIXe siècle les plus susceptibles d’être détruits en raison de la modernisation des villes et pourtant dotés de valeurs réelles (Łódź, Zgierz). 2) Les unités architectoniques urbaines, c’est à dire les ensembles inclus dans le cadre d’un système d’architecture défini, affectés à une fonction générale indépendamment de leur situation dans la ville soit dans l ’agglomération, par ex. les couvents, les citadelles, les établissement industriels, les systèmes d’irrigation et d’eaux flottables. 3) Les ensembles résidentiels inclus dans le cadre du paysage. En première ligne ce sont les châteaux et les palais. Les valeurs du paysage résultent de la composition spatiale, soit encore, elles apparaissent fortuitement après l ’élévation du monument principal (la majorité des châteaux médiévaux). Cet état de fait appelle la protection de l ’entourage du monument, soit par un aménagement du terrain, soit par l’élévation d’autres bâtiments, soit encore par la composition d’un décor floral et des espaces verts. Afin de profiter d’une protection réelle, tous ces ensembles historiques, indépendamment de leur caractère doivent être inclus dans la vie courante de la société contemporaine et servir à ses besoins. A cet effet il est indispensable d’établir des programmes fonctionnels détaillés. La nécessité d’une participation de spécialistes-conservateurs des monuments s ’impose, quant aux travaux des organes chargés d’établir les plans d’aménagement de l’espace. Elle garantirait la mise en valeur de ces monuments ainsi que leur affectation à des services et buts utiles. Tous les traitements auquels ont été soumis les ensembles historiques jusqu’à ce temps ont été désignés par le mot d ’„assainissement”. Ledit terme manquant de précision, l’auteur en propose quelques autres dont chacun indiquerait un autre mode de traitement: 1. Dégagement (liberazione) — consiste à la démolition des elements parasites altérant la composition historique et la beauté du monument, y compris les éléments nuisibles aux conditions sanitaires du bâtiment et à son utilité '(bâtisses, masures, annexes etc.). 2) Restauration (ricostruzione) — consiste à dégager l ’ensemble historique et mettre en valeur sa composition en corrigeant les gabarits, créant des percées, bouchant des manques dans l’alignement des bâtiments, restituant les dominantes et les points culminants de son programme tels que: les dispositifs de défense, la „petite architecture”, les monuments commémoratifs etc. 3) Adaptation (rinovazione) — c’est le principal traitement pour la majorité de vieilles cités. L’adaptation s’effectue en diverses formes — elle est planifiée ou fortuite. Afin qu’elle constitue un traitement de conservation, elle doit être basée sur un programme d’affectation et de conservation de l ’ensemble visé. Un tel programme devra indiquer la fonction générale de l ’ensemble à l ’échelle de la municipalité, puis préciser les services affectoires de chaque pâté de maisons ou même de chaque bâtiment en particulier. Il sera strictement lié à la restauration, au complètement de l ’architecture et à l ’équipement technique de l ’ensemble afin de lui garantir l’utilité en vue de ses nouvelles fonctions. Au cours de l’adaptation il est indispensable d’inserrer l’ensemble historique dans le cadre de son entourage en prenant compte des services affectoires qui lui seront alloués. 4. La réintégration (reintegrazione) — constitue une opération réalisée sur l’objectif en question ou en dehors de cet objectif. Cette intervention consiste à la restauration et à l’adaptation de l’ensemble historique ainsi qu’à une transformation et recomposition de son entourage le plus proche, ce dernier devant lui former un cadre qui mettrait ses valeurs en lumière. Le programme fonctionnel, dans ce cas, joue aussi un rôle important. 5) Réaménagement (ricomposizione) — en principe, ce n’est pas un traitement de conservation, toutefois il empiète sur son domaine. Dans notre pays, l ’expérience démontre la nécessité d’une participation des conservateurs à l’oeuvre du réaménagement, qui ne devrait pas se traduire par une reconstruction architectonique mais seulement par le respect de la composition et la mise en valeur de l ’ensemble historique. Elle peut s’effectuer de différente manière, mais elle est indispensable quant il s ’agit d’un monument tombant en dégradation et toujours vivant grâce à ses valeurs historiques. Pour terminer, les suivantes conclusions s ’imposent: a) L’ensemble historique doit être lié à la vie courante, b) Pour qu’il profite des traitements de conservation, il faut qu’un programme fonctionnel soit établi à son sujet, c) Les nouvelles formes architectoniques dans le voisinage direct du l’ensemble historique ne seraient admises qu’avec la plus grande circonspection, d) Chaque intervention doit être précédée par des recherches historiques détaillées. L’article présent pose des motions et appelle à élargir les cadres de la discussion, au cours de laquelle les termes proposés pourraient être précisés et admis dans la science relative à la protection des monuments historiques.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1969, 3; 198-205
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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