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Tytuł:
Rentgenografia obrazów. Nowe polskie urządzenia i metody
NOUVELLE MÉTHODE DE L’AITLI - CATIONS DES RAYONS X POUR L’EXAMEN DES PEINTURES
Autorzy:
Marconi, Bohdan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539561.pdf
Data publikacji:
1949
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
rentgenografia obrazów
badanie dzieł sztuki promieniami Roentgena
ustalanie autentyczności
„Centralix”
tomograf
planigrafia
serioskopia
radiotomia
Opis:
L'auteur nous fait connaître une méthode nouvelle pour l’examen des peintures à l’aide des rayons X, méthode qu’il a inventée. El le fut appliqué e pour la première fois au Musée National de Varsovie, ainsi qu’au Laboratoire (l’État pour la Conservation des Peintures Historiques. Afin d’éviter tout (langer d’abîmer un tableau examiné en position horizontale, l ’auteur a inventé le moyen de maintenir debout le Centralix-Philips-Portable, de sorte que les tableaux peuvent être examinés dans la position verticale. Cette construction se compose de trois parties: un châssis sur caoutchoucs, une glissière avec l’appareil et l’écran, une coulisse pour soutenir le tableau. L’auteur décrit en détail le côté technique de cette invention qui, au cours de deux ans, s ’est avérée très commode, d’un emploi facile é liminant toute possibilité (l’endommager le tableau examiné. Le châssis de l’appareil est en fer angulaire. La glissière consiste en un cadre qui glis se horizontalement le long du sommet du châssis et de deux paires de barres de glissage en tu y au x nickelés. L’appareil est placé sur les deux barres de glis sage à l’arrière, sur celles de devant est placé l’écran qui peut être incliné en avant et une coulisse pour la cassette. L’appareil et l’écran peuvent sc mouvoir perpendiculairement, en un mouvement synchronisé au moyen d’un sy s tème de chaînes qui fait que, dans toutes les positions, l’écran reçoit les rayons émis par l’appareil. Le second appareil inventé par l’auteur a permis, pour la première fois, de résoutire la difficulté qui consistait à d é chiffrer, sous une nouvelle couche, la peinture originelle d ’un tableau peint des deux côtés de la planche. Cette invention est de prendre une photographie à l’aide des rayons X du Centralix - Philips - Portable mis en mouve ment rotatoire pendant l’exposition aux rayons. Le but de cette méthode est d’éliminer du tableau examiné, les ombres du tableau peint de l’autre côté. Ce moyen, qui dépend entièrement de la mobilité de l ’appareil même n’a rien de cdmmun avec les méthodes de rayons X connus en médecine (Thomographie). L’auteur décrit avec précision comment il faut faire pour prendre une photographie rotatoire à l’aide d ’une simple application. On place le tableau entre deux tables, le côté repeint en-dessus. L’écran est posé sur le tableau à l’endroit que l’on veut examiner. Sur le plancher, sous le tableau on plac e une seconde construction qui sert d’a x e de rotation. L’appareil à rayons X est f ix é obliquement dans l’emboîture de la manche de rotation, de sorte que l’axe du point focal tombe au centre du film. Pendant l ’exposition, on tourne l ’appareil à la main; un sys tème d’horlogerie interrompt l ’exposition dès que l’appareil est de retour à son point de départ. Par suite de la direction oblique des rayons et du mouvement de rotation de l’appareil, l’ombre de la couche inférieure, séparée de celle qu’on examine par l’épais seur de la planche, est altérée et à peine visible. L’ombre de chaque particule de peinture a formé un cercle sur le film. La peinture examiné e et sa seconde couche étant placées directement sous le film, ne sont qu'imperceptiblement altérées sur la photographie. La différence d’altération de l’ombre de la peinture sur les deux côtés de la planche est si grande qu’on voit à peine le tableau du fond, tandis que celui que l’on examine n’a que peu perdu de sa netteté. Au cas où les deux côtés d’un tableau auraient été repeints, on doit prendre deux photographies, en tournant chaque face vers le film. L’auteur considère que les résultats obtenus sont 'satisfaisants, mais ne pense pas qu’il faille en rester là.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1949, 1; 25-30, 69-70
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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