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Tytuł:
Ochrona zabytków i historia sztuki w Słowenii po roku 1945
LA PROTECTION DES MONUMENTS HISTORIQUES ET L’HISTOIRE D’ART EN SLOVÉNIE APRÈS 1945
Autorzy:
Zadnikar, Marijan
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/535184.pdf
Data publikacji:
1963
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
ochrona zabytków w Słowenii
klasztor cystersów w Konstanjevicy
klasztor cysterski Stična
klasztor Żički
rotunda w Selu
malowidła w Ptuju
Opis:
L’article contient une revue des résultats a tteints par la conservation des monuments historiques en Slovénie après la dernière guerre et il souligne l’importance pour l’histoire de l’art national des découvertes faites pendant les travaux de conservation. La Slovénie située le plus à l’ouest de toutes les contrées yougoslaves, n’est pas bien vaste, mais son patrimoine artistique est particulièrement varié et intéressant, car les différents courants de l’art européen se croisaient et se pénétraient sur se terrain. La Slovénie diffère des autres républiques yougoslaves en ce qu’elle possède la tradition de la protection des monuments historiques; cette tradition date d’avant le première guerre mondiale lorsque la Slovénie appartenait à la monarchie d’Autriche- Hongrie. Entre les deux guerres mondiales la protection des monuments historiques en Slovénie a reçu de nouvelles formes d’organisation à l’échelle régionale; cette organisation a é té développée et perfectionnée après la dernière guerre. Ayant décrit les principes et les buts de l’organisation de la protection des monuments, l’auteur passe en revue les résultats des conservations et les découvertes des monuments architecturaux qui s’ensuivirent. Dans le domaine de l ’architecture on s ’est occupé surtout du Moyen-Age. Grâce aux travaux de conservation on a pu découvrir un grand nombre de monuments romanesques. Par conséquent leur nombre total a augmenté dix fois en comparaison à leur nombre d’avant la guerre et compte en ce moment vers 180. Du point de vue artistique l'architecture religieuse occupe la premiere place, surtout l’architecture cistercienne et l’architecture chartreuse. Les châteaux médiévaux sont des châteaux — tours ou des châteaux-forts. A part quelques exceptions, le niveau artistique des monuments architecturaux en Slovénie n’égale pas la moyenne européenne, mais par la variété de leur genre les monuments Slovènes constituent un complément de grande valeur aux monuments afiins de l ’Europe centrale. Les exemples, cités par l ’auteur, des travaux de conservation et de recherches scientifiques en sont la preuve. Ensuite l’auteur passe aux monuments de la sculpture. Grace au développement de l’école nationale de l’histoire d’art, les études et les recherches sur la sculpture ont fa it un grand progrès et ont apporté de nombreuses découvertes surtout en ce qui concerne les sculptures médiévales, les sculptures baroques de la Styrie et les sculptures en pierre du centre artistique à Loubliana. A la fin l ’auteur s’occupe des monuments historiques de la peinture. Les études et les analyses des peintures murales, surtout des peintures médiévales, ont abouti aux découvertes les plus nombreuses. Ces découvertes placent la Slovénie parmi les régions de l’Europe les plus riches sous ce rapport, particulièrement quant à l ’agglomération et à l ’état de préservation de ces peintures. Les peintures murales proviennent du XIII« siecle, de ,,1’age d’or” au XVe, ensuite lentement elles descendent au niveau d’ouvrages d’artisans au début de l’époque moderne. L’évolution de la peinture murale Slovène témoigne des rapports proches avec l’Europe centrale et de l ’influence des pays voisins. De même comme dans le domaine de l ’architecture et de la sculpture les travaux de conservation ont rendu possible de faire une quantité de découvertes importantes de peintures murales. Les exemples cités par l’auteur le confirment. Le fa it que les monuments historiques du Moyen- Age sont les plus travaillés s ’explique par les grandes possibilités de faire des découvertes. Ces possibilités sont beaucoup plus restreintes auprès des objets des époques plus récentes car ces monuments n ’ont point subi des transformations importantes. A mesure que les travaux de conservation progressent on étudie aussi les époques plus récentes. Les résultats de ces recherches scientifiques sont publiés dans des publications spéciales.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1963, 3; 16-29
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
Tytuł:
Nowoodkryte dekoracje malarskie
PEINTURES MURALES NOUVELLEMENT DÉCOUVERTES
Autorzy:
Dutkiewicz, Józef
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/539616.pdf
Data publikacji:
1948
Wydawca:
Narodowy Instytut Dziedzictwa
Tematy:
odkrycia polichromii ściennych w Polsce
kościół pw. św. Jakuba w Mieronicach
kościół oo. franciszkanów w Chęcinach
klasztor ojców benedyktynów w Tyńcu
kościół oo. cystersów w Mogile
Collegium Maius w Krakowie
Kaplica Batorego w Krakowie
Katedra w Krakowie
Zamek w Pieskowej Skale
dom przy ul. Szpitalnej 8 w Krakowie
Opis:
Les dernières découvertes de polychromie murale ont démontré la haute importance des travaux de conservation pour l’enrichissement de l’inventaire des peintures murales en Pologne. Presque toutes ces découvertes on été opérées au cours des travaux de conservation. L’une des plus anciennes polychromies est celle qui remonte au début du XlV-e s. dans l’église de Mi e roni c e , construite au XlII-e s. Elle représente le cycle de la Passion, la parabole des 5 Vierges Sages et les 12 apôtres. Vient ensuite un fragment du XlV-e s. dans l’église, désaffectée au XlX-e s., des Cordeliers à Chę ci n y, Ce fragment, de la moitié du XV-e a conservé la signature du peintre, le Frère Ange (Anioł), Cordelier. C’est la seule signature que l’on trouve en Pologne au bas d’une peinture murale. Au couvent des Bénédictins de Tyni e c , du XI—XVIlI-e s., actuellement en reconstruction, on a conservé dans la partie gothique des galeries des fragments de peintures de trois époques: des XV-e, XVI-e et XVIII-e s. Les fragments les plus anciens appartiennent à la décoration de l’ancien chapitre et représentent des saints. Les travaux de conservation, menés à grande échelle, à l’église des Cisterciens de Mogi ł a, du XIII-e s., ont amené la découverte, sous la polychromie, d’une nouvelle polychromie du XYI-e s. probablement exécutée par le Père Stanislas Samostrzelnik, Cistercien du lieu. On voit dans le choeur la scène de l’Annonciation, une décoration ornementale et des inscriptions. On a découvert en plusieurs endroits dans un bâtiment de la plus ancienne université de Pologne, celui qu’on appelle Co l l e g i um Maius , à Cracovie, des fragments de décoration murale. Certains d’entre eux, au rez-de-chaussée et à l’étage, remontent au XVI-e s., le reste, notamment ceux de la salle dite des Jagellons, remonte au XVIII-e et au début du XlX-e s. et datent d’avant l’époque de la reconstruction faussement historique. Dans l’ancienne chapelle de Notre-Dame de Cracovie, appelée plus tard c h ape l e de Ba t o r y, par suite de l’explosion d’une bombe qui tomba dans l’angle de la chapelle (1944), des peintures ont été mises à nu sur la voûte; elles proviennent de la décoration byzantine du XlV-e s., mais en majeure partie du XYI-e s. lorsque la reine Anne fit refaire à ses frais la décoration. Elles représentent le Christ au milieu des saints. Les fragments de peintures que l’on a découverts cette année au château de Pieskowa Skała, construit au dernier quart du XYI-e s., portent les caractères du début du XVII-e s.; leur sujet est intéressant du fait que, par la personne du propriétaire d’alors, Zebrzydowski, il se relie aux mouvements d’autres croyances et de révolte du début du XVII-e s. Une des dernières décorations citées est ici celle du plafond d’une maison bourgeoise de Cracovie. Il y a là des représentations allégoriques, la création du monde et les 4 éléments: l’eau, le feu, l’air et la terre. Cette décoration remonte au XVIII-e s. environ; la conception toute particulière de son sujet est une éloquente illustration du niveau culturel de la bourgeoisie de Cracovie d’alors.
Źródło:
Ochrona Zabytków; 1948, 2; 65-74, 94-95
0029-8247
Pojawia się w:
Ochrona Zabytków
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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