- Tytuł:
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Cesarz w politycznej teologii Euzebiusza z Cezarei i nauczaniu Jana Chryzostoma
L’Empereur dans la théologie politique d’Eusèbe de Césarée et dans la doctrine de Jean Chrysostome - Autorzy:
- Ceran, Waldemar
- Powiązania:
- https://bibliotekanauki.pl/articles/16538457.pdf
- Data publikacji:
- 1992
- Wydawca:
- Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
- Opis:
- La symbiose entre l’Empire et l'Eglise commencée par Constantin le Grand exigeait l'élaboration de la théologie politique chrétiemne. Cette oeuvre a été due à Eusèbe de Césarée. Selon sa conception l’empereur était une image et régent de Dieu sur la terre auquel Dieu a confié le gouvernement de l'Empire. L'empire était ta copie du Royaume Céleste et l’empereur une loi vivante qui en tant qu’interpretateur de Dieu et souverain de l’Eglise mène les fidèles jusqu’au salut. Cette conception coincidait avec le désir de Constantin le Grand et désormais elle était officiellement propagée par l’Etat. Les écclesiastiques ariens respectaient les droits de l’empereur au contrôle de l’Eglise, à la prise des décisions concernant sa vie et ils étaient même prêts à accepter sa supériorité face au concile. Les orthodoxes cependant exigeaient l'autonomie de l'Eglise et cela élait particulièrement fort accentué par les évêques occidentaux. Jean Chrysostonie (354-407) évêque de Constantinople exprime différemment au sujet de l’empereur, d’ailleurs il ne ue réfère pas du tout à Eusébe. Selon Jean Chrysostome, l’Etat et le pouvoir ont été crées pur Dieu (conformément à la doctrine de Saint-Paul) mais l'empereur n’est pas image et régent de Dieu sur la terre mais son collaborateur et serviteur. La nature ne lui a pas donné les dons singuliers par rapport à d’autres gens: il est élu car les gens depuis longtemps se rendaient compte de ses avantages face à la société. Une grande portée de son pouvoir exige de l’empereur les qualités spéciales, le savoir de maîtriser soi-même. Il doit aider l’Eglise mais également respecter ses lois tout en sachant que le pouvoir civil est inférieur à celui écclesiastique. Jean Chrysostome avec ses idées se sentait capable de critiquer la cour impériale et cela était une des causes de son bannissement. Le pouvoir fort centralisé à Byzance cherchait alors à se soumettre l’Eglise, à la transformer en institution étathique et ne tolérait pas les idées propagées par l’évêque tel comme Jean Chrysostome.
- Źródło:
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Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1992, 44; 13-27
0208-6050
2450-6990 - Pojawia się w:
- Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica
- Dostawca treści:
- Biblioteka Nauki