Tytuł pozycji:
Historia, dzieje, dekonstrukcja. Jak Tomasz Burek i Ryszard Koziołek czytali "Prolog" II części "Twarzy księżyca" Teodora Parnickiego
- Tytuł:
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Historia, dzieje, dekonstrukcja. Jak Tomasz Burek i Ryszard Koziołek czytali "Prolog" II części "Twarzy księżyca" Teodora Parnickiego
The history, deconstruction. How Tomasz Burek and Ryszard Koziołek read the "Prologue" to the second part of the "Face of the Moon" by Teodor Parnicki
Histoire, annales, déconstruction. Sur la façon dont Tomasz Burek et Ryszard Koziołek ont lu "Prolog" IIe partie de "Twarz księżyca" de Teodor Parnicki
- Autorzy:
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Uniłowski, Krzysztof
- Powiązania:
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https://bibliotekanauki.pl/articles/534659.pdf
- Data publikacji:
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2011
- Wydawca:
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Wydawnictwo Uniwersytetu Śląskiego
- Źródło:
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Śląskie Studia Polonistyczne; 2011, 1, 1; 85-95
2084-0772
2353-0928
- Język:
-
polski
- Prawa:
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Wszystkie prawa zastrzeżone. Swoboda użytkownika ograniczona do ustawowego zakresu dozwolonego użytku
- Dostawca treści:
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Biblioteka Nauki
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A large Prologue to the second part of the Face of the Moon by Teodor Parnicki shows
a mechanism of a complicated bureaucratic‑counterintelligence
in Byzantium in the
middle of the fifth century. The task of agents (recruited among unemployed rhetoricians)
is to make the most precise reports, however, as Tomasz Burek, a critic, has
noticed, they do not follow the course of events. After years, similar remarks were
made by Ryszard Koziołek in his work devoted to Parnicki’s trilogy. Referring to these
remarks, the author of the article claims that a dynamic relation between an event and
word in Parnicki’s novel is similar to a „source difference” typical of a language of deconstruction.
Thus, one can speak of analogies between Parnicki’s prose from the 1960s
and Jacques Derrida’s deconstruction deriving from the criticism of phenomenology
at the same time. Eventually, the history taking place seems to be an event muddle in
Parnicki’s works, around which something happens, though, we cannot definitely say
what happens in fact.
Reality, „ungraspable and unembraceable” becomes marked with stereotypical
female features, taking on the status of an unapproachable object of desire. At the
same time, it is being constantly disciplined by écriture masculine, an institutionalised
discourse of a patriarchal culture while a monstrous SCHOLA AGENTORUM from the
Prologue to Parnicki’s novel may successfully be considered a hyperbole of such a discourse.
Maksymian, the main protagonist, chooses another discourse which is confronted
with a Nietzschean principle of vita femina.
Dans un large Prolog de la IIe partie de Twarz księżyca Teodor Parnicki montre le
fonctionnement de la machine bureaucratique et contre-espionnage à Byzance dans la moitié du Ve siècle. Le travail des agents (recrutés parmi des rhéteurs au chômage)
consiste à dresser des rapports les plus précises possible, cependant comme l’a
remarqué Tomasz Burek, ils ne rattrapent pas des événements. Après des années
Ryszard Koziołek présente une opinion semblable dans son étude sur la trilogie de
Parnicki. En se référant à ces réflexions l’auteur de l’article constate que la relation
dynamique entre l’événement et la parole dans le roman de Parnicki ressemble à la
« différance » caractéristique pour la langue de déconstruction. Nous pouvons alors
remarquer des analogies entre la prose de Parnicki des années 60. du XXe siècle et
la déconstruction de Jacques Derrida, née dans la même époque de la critique de la
phénoménologie. Finalement l’histoire qui se passe semble être dans les romans de
Parnicki une nébuleuse factuelle, dans laquelle, bien que quelque chose se passe nous
ne pouvons pas définir sûrement ce qui se passe.
La réalité « insaisissable et fugitive » est désignée par des traits stéréotypés féminins,
en revêtant le statut d’un objet de désir inaccessible. Elle est également disciplinée
sans cesse par l’écriture masculine, le discours institutionnalisé de la culture patriarcale,
et la SCHOLA AGENTORUM monstrueuse peut être considérée avec succès comme
une hyperbole d’un tel discours. Le héros principal, Maksymian, choisit alors un autre
discours, qui est comparé dans l’article avec la formule nietzschéenne vita femina.