Konflikt nad Chałchyn goł - teoria i praktyka sowieckiej myśli wojskowej

Artykuł niniejszy poświęcony jest wyłącznie militarnej stronie konfliktu. Należy jednak pokrótce zarysować jego tło polityczne. Azjatyckie tereny Związku Sowieckiego i Mongolia od daw na znajdowały się w orbicie zainteresowań Japonii (tzw. koncepcja „uderzenia na północ”). Przygotowując się do urzeczywistnienia planów zdobycia tych obszarów Japończycy rozpoczęli w Mandżurii budowę sieci kolejowej, niezbędnej do przerzutu dużych oddziałów wojska wraz z zaopatrzeniem. Jedna z linii przebiegać miała w pobliżu granicy mongolsko-mandżurskiej w okolicach rzeki Chałchyn goł (znajdowała się zatem w zasięgu ognia artyleryjskiego, który mógł być prowadzony z terytorium MRL). Ponieważ ze względów geograficznych nie można było zmienić przebiegu linii kolejowej, należało „przesunąć” granicę Mongolii tak daleko na zachód, aby uniemożliwić ewentualne próby przerwania ciągłości trakcji. Pretekstem do rozpoczęcia działań zbrojnych stała się sporna kwestia przebiegu linii granicznej.

L’essai de présenter l’état des recherches concernant le déroulement et les consequences du conflit de frontière soviétique-mongolique-japonais au bord de la Chałchyn goł en 1939 constitue le but de cet article. Dans la conscience d’un lecteur ordinaire ces événements sont très peu connus, malgré que leur effet ail beaucoup influencé l’histoire politique et militaire de la région citée. Ce qui ne veut pas dire que les événements en Mongilie n’ont pas marqué l’historiographie. Le plus grand nombre de publications liées à ce sujet-là a été crée (ce qui est compréhensible) à l’Union Soviétique. Nous y pouvons énumérer surtout des publications spéciales d’un caractère d’analyses militaires, les articles et les souvenirs des combattants. La lecture attentive des publications périodiques consacrées aux activités en Mongolie montre deux sujets autour desquels des historiens se sont groupés: les buts de l’agression japonaise en Mongolie et l’influence du conflit sur le developpment de la pensée et de la technique militaires. Dans le cas de l’historiographie consacrée à la confrontation militaire il faut aussi citer la littérature présentant le point de vue de l’opposition, dans ce cas-là japonaise. Face à la barrière de langue on peut se servir, comme le fait l’auteur de l’article, de la méthode indirecte-c’est à dire profiter des oeuvres écrites en langues de conférence, dont les auteurs se servent des publications japonaises, en les citant parfois. À l’Ouest le conflit de Chałchyn goł a aussi attendu beaucoup de publications-en tant que des monographies et aussi dans les publications périodiques. L’historiographie polonaise liée à ces événements est très pauvre en confrontation avec les autres (sans compter les traductions, surtout du russe). Elle ne se compose que de deux éditions de caractère populaire et d’un article écrit par le participant des combats.