Tytuł pozycji:
Ceduła na sąd boży z 1511 roku
- Tytuł:
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Ceduła na sąd boży z 1511 roku
Permission de certamen singulare en 1511
- Autorzy:
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Szymczak, Jan
- Powiązania:
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https://bibliotekanauki.pl/articles/16538461.pdf
- Data publikacji:
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1992
- Wydawca:
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Uniwersytet Łódzki. Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego
- Źródło:
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Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica; 1992, 44; 111-125
0208-6050
2450-6990
- Język:
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polski
- Prawa:
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Wszystkie prawa zastrzeżone. Swoboda użytkownika ograniczona do ustawowego zakresu dozwolonego użytku
- Dostawca treści:
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Biblioteka Nauki
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Les jugements en question apparaissent au Moyen Age dans le procès juridiques au moment où on manque de preuves directes de la culpabilité mais ils servaient également à résoudre les questions juridiques ou même les litiges politiques. Cerlamen .singulare ou duellum - car ainsi s’appelle dans les sources ce jugement-s'est transformé après en moyen de la défense de l’honneur en dehors des tribunaux et avait pour but de faire reculer les calomnies ou de se venger. Une telle lutte exigeait la permission d’un souverain qui d précisait également le temps, le lieu et les conditions dûn duel. Une telle permission écrite en polonais en 1511 vient du roi Sigismond le Vieux qui a permis à Nicolas Turski et Nicolas Smolikowski de résoudre leur litige dans sa cour et au moyen des armes. Cela a eu lieu dans la cour royale mardi vers 10 heures la 16 décembre. Dans ce but il fallait préparer le terain et surtout faire bâtir les lices en deux semaines. Sigismond le Vieux a parfaitement décrit les armes à la disposition des adversaires d’autant plus quelles étaient fort différentes par rapport aux celles employees dans un champ, de bataille. Les deux chevaliers devaient avoir des chavaux, leurs têtes devaient être couvertes des haumes, les thorax et les épaules des cottes de mailles sur lesquelles on mettaient en plus les cuirasses et les dossières. Les mains étaient protégées par les gantelets, les bras par les canons d'avant-bras. Les genoux des chevaliers étaient couverts des genouillères et sur les jambes ils étaient obligés de mettre les chausses de drap. Leurs armes c’étaient: lances, épées et coutella identifiée dans le texte avec thesak (thesak = kord). Pourtant il était absolument défendu d’avoir les dagues quelconques ou d'équiper les chevaux en faux pour empêcher de faire du mal aux chevaux ou aux chevaliers mai protégés dans la partie basse de leurs corps. Malheureusement le déroulement de duellum de même que sa fin nous sont inconnus.