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Tytuł pozycji:

Dżamia i dżamid ‘meczet’ w języku polskim

Tytuł:
Dżamia i dżamid ‘meczet’ w języku polskim
Dżamia et dżamid mosquée dans la langue polonaise
Autorzy:
Duda, Henryk
Powiązania:
https://bibliotekanauki.pl/articles/1963664.pdf
Data publikacji:
1995
Wydawca:
Katolicki Uniwersytet Lubelski Jana Pawła II. Towarzystwo Naukowe KUL
Źródło:
Roczniki Humanistyczne; 1995, 43, 6; 71-84
0035-7707
Język:
polski
Prawa:
CC BY-NC-ND: Creative Commons Uznanie autorstwa - Użycie niekomercyjne - Bez utworów zależnych 4.0
Dostawca treści:
Biblioteka Nauki
Artykuł
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Dans l’article cité en référence on a présenté l’histoire de deux emprunts orientaux en polonais. Il est question du mot dżamia ’mosquée’ qui apparut à la fin du XVIIIe siècle et fit employé au XIXe siècle, ainsi que de dżamid dont le sens est le même et qu’on ne connaît que des Sonnets de Crimée d’A. Mickiewicz. L’auteur envisage le problème de savoir par quels chemins les mots orientaux pouvaient pénétrer dans la langue polonaise, en attirant surtout l’attention sur la possibilité d’emprun ter les mots orientaux à la langue des Tartares de Lituanie et sur le développement considérable de l’intérêt pour les langues orientales au début du siècle dernier dans les milieux universitaires en Pologne et notamment à l’Université de Vilnius. Pour ce qui concerne le sens des deux termes, l’auteur prétend qu’il sont synonymes du mot mosquée, car, selon lui, l’étymologie, qu’il s’agisse d’un mot propre à une langue que d’un emprunt, ne peut préjuger de sa signification. Recherchant la réponse d’où vient le d à la fin du mot dżamid , l’auteur a rappelé l’explication, déjà oubliée, mais pertinente, du chercheur connu en langues et littératures orientales du XIXe siècle, W. Kazimirski: „la déclinaison d’un mot qui prend la consonne d à la fin est plus commode” (il n’existe pas dans la flexion polonaise de radicaux terminés par une voyelle). Les mots dżamia et dżamid ne sont plus utilisés dans la langue polonaise, il n’est cependant pas exclu qu’ils y réapparaissent sous quelque forme que ce soit. Car la quantité des ouvrages orientaux ainsi que de ceux qui concernent l’Orient augmente et ils deviennent plus accessibles en polonais. Pour en donner un exemple, on trouve dans la traduction polonaise du roman Les versets de Satan de S. Rushdi des expressions comme: Dżame Masdżid, Dżama Masdżid. Certes, ces citations ne sont pas encore assimilées, mais, souvent répétées, elles peuvent entrer pour de bon dans notre vocabulaire.

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